Tout est sombre pour celui qui n'a rien à voir...
*
Alors que la bataille fait rage, un silence brutal vint perturber les combats...
Une seconde... un millénaire.. une éternité... un instant...
une blancheur éclatente vient troubler les combats...
Lorsque les aventuriers ré-ouvre leurs yeux, chacun luttant du coté de la lumière on crut entendre une bruissement... un murmure... une réalité dans leur esprit si fugasse qu'ils n'en comprènent que des bribes informes...
"Ramenez... mon . . ... . . corps... hhh... mathh..."
Puis chacun retourna vivement à son combat...
*
Dès la mort de Grosbill, le visage encore ruisselant de larmes, Nenya s'éloigna légèrement du combat. Elle portait aussi bien que faire se peut le corps inerte de son Seigneur Amai Ethen.
Les perles de tristesse, qui ne semblaient vouloir s'arrêter de couler des grands yeux tristes de Nenya, venaient parfois s'échouer sur le visage blême du chef des Renards, et, on eut dit qu'il pleurait également.
*
Eomer se battait déjà contre des gelées, dès sa sortie du temple... Il avait encore les stigmates de con combat contre les démons... ces immondes créatures au sabot d'airain avait trouver un chef... qui avait tué et qui était toujours en train de tuer, un bon nombre des amis du jeune Primus...
Tout à coup, il senti une douce chaleur... et ses blessures se refermèrent...
Lorsqu'il se retourna, il vit un esprit se dissipé doucement... et il ne compris que lorsqu'il eu totalement disparut de qu'il s'agissait...
*
[Chronique du Renard]
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Exirel
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Depuis quelque temps tout semblait calme sur l’hôpital du –4. Sous la gestion des prêtres, toujours très présent dans les souterrains, les âmes des aventuriers tombés au combat était rattraper, et les morts revenait à la vie...
Mais alors, c’est une vague d’aventurier qui arriva... chacun parlait, ou pensait, au démon… Ingo dit l’Implacable… il était déjà la cause de nombreux morts.
A coté du temple, dehors, il n’y avait presque plus de combat, les aventuriers présent, notamment le groupe FeAr des Renards Mercenaires venaient d’arriver et nettoyaient la zone des quelques tas de gelées traînant par-ci par-là.
Black Rider et Eomer discutaient ensemble, de divers choses, dont une qui les avaient surpris… une force inconnue les avait soigné, mais bien qu’Eomer se doute de qui cela pouvais bien être, rien n’était pourtant certain… Tout comme Wish, c’était une douce chaleur qui les avait enivré quelque instant, avant de les laisser, soigner de la plus grande partie de leurs blessures.
De son coté, la jeune Nenya désespérait. Elle passait de longues heures à veiller le corps de son seigneur, personne n’avait réussit à l’en empêcher. Malgré ses prières, personnes ne semblait l’écouter... la seule chose étrange était que le corps d’Amaï restait froid de façon constante, mais rien ne semblait ni le salir ni l’atteindre...
Mais un soir, alors qu’elle dormait, elle fit un rêve étrange... Elle se voyait dans une immense salle aux colonnes de marbre blanc, sur une stèle de pierre au centre de la pièce. Tout était comme au travers d’un filtre bleuté, les bordures et reliefs ondulant, tel l’entré d’un monde spectral au point de rendez-vous de la réalité.
Tout a coup venant de nul part, un point de lumière intense arriva du plafond, et se mit à tournoyer autour de la jeune fille, la frôlant de plus en plus de ses étincelles scintillantes, avant que tout ne commence à s’assombrir…
Peu à peu, tout devint noir, seul subsistait légèrement le halo de lumière autour de l’écuyère.
Et c’est là, au centre de ce gouffre de noirceur qu’apparurent… deux yeux rouges, avide...
Puis une autre paire, et encore une autre, et bientôt tout fut rempli de petits yeux rouges, avec ce même regard tourner vers le centre...
Elle porta sa main sur son flanc droit, pour tirer son glaive, lorsqu’elle se rendit compte avec effroi qu’elle ne le portait pas… il n’y avait rien, elle était désarmé, seule, la lumière à coté d’elle était faible, presque éteinte…
De cet amas sombre sorti un bras, un doigt tendu vers elle, il était difforme, crochu, et long, une aura en émanait qui ne laissait rien présager de bon, c’est alors que tout se ressera autour d’elle, et ce qui lui fit face…
- Nenya : « DES DEMONNNNNNNSSss !!! » Hurla t’elle, en sueur, haletante.
Alors qu’elle veillait sur un banc, elle avait du s’endormir… maintenant, elle avait peur, et savait qu’elle ne pourrait trouver le sommeil de la nuit...
Un prêtre arriva quelque instant plus tard…
- Prêtre : "Vous ne devriez pas veiller ainsi… vous aller prendre froid."
Elle ne répondit pas…
- Prêtre : "Nenya…" Pas de réponse. "Nenya… nous avons du nouveau semble t’il… venez, suivez moi..."
Elle se leva, et parti à la suite du petit homme gras...
Mais alors, c’est une vague d’aventurier qui arriva... chacun parlait, ou pensait, au démon… Ingo dit l’Implacable… il était déjà la cause de nombreux morts.
A coté du temple, dehors, il n’y avait presque plus de combat, les aventuriers présent, notamment le groupe FeAr des Renards Mercenaires venaient d’arriver et nettoyaient la zone des quelques tas de gelées traînant par-ci par-là.
Black Rider et Eomer discutaient ensemble, de divers choses, dont une qui les avaient surpris… une force inconnue les avait soigné, mais bien qu’Eomer se doute de qui cela pouvais bien être, rien n’était pourtant certain… Tout comme Wish, c’était une douce chaleur qui les avait enivré quelque instant, avant de les laisser, soigner de la plus grande partie de leurs blessures.
De son coté, la jeune Nenya désespérait. Elle passait de longues heures à veiller le corps de son seigneur, personne n’avait réussit à l’en empêcher. Malgré ses prières, personnes ne semblait l’écouter... la seule chose étrange était que le corps d’Amaï restait froid de façon constante, mais rien ne semblait ni le salir ni l’atteindre...
Mais un soir, alors qu’elle dormait, elle fit un rêve étrange... Elle se voyait dans une immense salle aux colonnes de marbre blanc, sur une stèle de pierre au centre de la pièce. Tout était comme au travers d’un filtre bleuté, les bordures et reliefs ondulant, tel l’entré d’un monde spectral au point de rendez-vous de la réalité.
Tout a coup venant de nul part, un point de lumière intense arriva du plafond, et se mit à tournoyer autour de la jeune fille, la frôlant de plus en plus de ses étincelles scintillantes, avant que tout ne commence à s’assombrir…
Peu à peu, tout devint noir, seul subsistait légèrement le halo de lumière autour de l’écuyère.
Et c’est là, au centre de ce gouffre de noirceur qu’apparurent… deux yeux rouges, avide...
Puis une autre paire, et encore une autre, et bientôt tout fut rempli de petits yeux rouges, avec ce même regard tourner vers le centre...
Elle porta sa main sur son flanc droit, pour tirer son glaive, lorsqu’elle se rendit compte avec effroi qu’elle ne le portait pas… il n’y avait rien, elle était désarmé, seule, la lumière à coté d’elle était faible, presque éteinte…
De cet amas sombre sorti un bras, un doigt tendu vers elle, il était difforme, crochu, et long, une aura en émanait qui ne laissait rien présager de bon, c’est alors que tout se ressera autour d’elle, et ce qui lui fit face…
- Nenya : « DES DEMONNNNNNNSSss !!! » Hurla t’elle, en sueur, haletante.
Alors qu’elle veillait sur un banc, elle avait du s’endormir… maintenant, elle avait peur, et savait qu’elle ne pourrait trouver le sommeil de la nuit...
Un prêtre arriva quelque instant plus tard…
- Prêtre : "Vous ne devriez pas veiller ainsi… vous aller prendre froid."
Elle ne répondit pas…
- Prêtre : "Nenya…" Pas de réponse. "Nenya… nous avons du nouveau semble t’il… venez, suivez moi..."
Elle se leva, et parti à la suite du petit homme gras...
-- Epilogue --
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
[Les autres] ???
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
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Elles allongèrent leurs corps sur les deux stèles de marbre blanc de la grande salle, selon les indications du grand prêtre, puis les frères du temple firent sortir tout le monde, laissant seuls les deux jeunes demoiselles, et les corps d’Amaï et de Math, et le grand prêtre, qui vint ensuite se placer entre les deux pierres pour bénir les deux corps.
- "Tenez leur la main... "
Sa voix était douce, mais autoritaire.
Le vielle homme corpulent se tourna ensuite vers Aléria, il ne souriait pas, d’ailleurs, personne ne l’avait vu sourire depuis le début l’arriver des aventuriers au temple.
- "Mademoiselle, Math… n’est plus vraiment parmi nous. Nous ne pouvions pas récupérer son âme seul... c’est pourquoi cet elfe est parti le chercher au péril de son âme. Je ne sais pas comment il sera à son retour, soyez forte, et j’espère que les liens qui l’unisse à vous sont très fort. Priez pour lui..."
Puis il se tourna vers Nenya.
- "Mademoiselle, Amaï a été retenu dans les limbes, pour une raison inconnu, mais nous avons repérer son esprit tourmenté… proche de là où se trouve Math…
Semble t’il qu’il soit parti le chercher, nous ne savons pas comment, cela nous semble impossible. Mais toujours est-il que notre oracle nous a prévenu de ce qu’il faut faire… ses mots ont été étrange, il a parler avec énigme, rien n’est certain. Tout ce que nous savons…" (Il se tourna alors pour faire face aux deux demoiselles à la fois.) "C’est qu’il faut que vous soyez présente, et sûre que le lien qui vous tient à eux soit très fort, en amitié pour vous Nenya, en parenté vous Aléria."
Il marqua une pause, il avait vu les larmes pointé au yeux de Nenya.
- "Votre tâche est simple, tenez leur la main, et priez fort pour leur salut de tout vos sentiments pour eux. Vous serez comme des phares pour leurs esprit perdu, c’est ce qui les sauvera… peut être…"
Regardant une dernière fois le visage de Math, il poussa un léger soupir, puis pris les mains des deux demoiselles, et commença la prière qui ramènerait l’âme perdu des deus aventuriers.
Sa voix monocorde s’éleva doucement dans l’immense coupole de la grande salle, puis il modula peu à peu, du grave à l’aigu, d’un volume faible, puis en un créscendo lent, vers des sonorités très puissantes, vibrantes dans l’air qui commença à s’alourdir d’énergie, l’atmosphère même semblait plus grasse, la lumière plus scintillante, les contours plus lisse et ondulant. Puis il prononça les derniers mots, sa voix était claire et limpide, puissante, et c’est alors que des prêtres dans des alcôves sur le coté reprirent en cœur sa litanie, pour lui redonner de la puissance.
Deux colonnes de lumière bleuté s’élevèrent des corps des deux jeunes Seigneurs Renards, en un souffle crissant dans l’air. On aurait dit les tourbillons des âmes revenant sur terre, comme un conduit pour les âmes. Les contours de salle commencèrent à onduler dangereusement, tout semblait entre l’iréel et le réel, chaque chose se dédoublait, s’étirait, la puissante magie faisait coïncider par instant les deux plans d’existance…
Deux points lumineux intense, un flash d’une silence assourdissant, vint clore la cérémonie en plongeant du plafond vers les deux corps sans vie...
- "Tenez leur la main... "
Sa voix était douce, mais autoritaire.
Le vielle homme corpulent se tourna ensuite vers Aléria, il ne souriait pas, d’ailleurs, personne ne l’avait vu sourire depuis le début l’arriver des aventuriers au temple.
- "Mademoiselle, Math… n’est plus vraiment parmi nous. Nous ne pouvions pas récupérer son âme seul... c’est pourquoi cet elfe est parti le chercher au péril de son âme. Je ne sais pas comment il sera à son retour, soyez forte, et j’espère que les liens qui l’unisse à vous sont très fort. Priez pour lui..."
Puis il se tourna vers Nenya.
- "Mademoiselle, Amaï a été retenu dans les limbes, pour une raison inconnu, mais nous avons repérer son esprit tourmenté… proche de là où se trouve Math…
Semble t’il qu’il soit parti le chercher, nous ne savons pas comment, cela nous semble impossible. Mais toujours est-il que notre oracle nous a prévenu de ce qu’il faut faire… ses mots ont été étrange, il a parler avec énigme, rien n’est certain. Tout ce que nous savons…" (Il se tourna alors pour faire face aux deux demoiselles à la fois.) "C’est qu’il faut que vous soyez présente, et sûre que le lien qui vous tient à eux soit très fort, en amitié pour vous Nenya, en parenté vous Aléria."
Il marqua une pause, il avait vu les larmes pointé au yeux de Nenya.
- "Votre tâche est simple, tenez leur la main, et priez fort pour leur salut de tout vos sentiments pour eux. Vous serez comme des phares pour leurs esprit perdu, c’est ce qui les sauvera… peut être…"
Regardant une dernière fois le visage de Math, il poussa un léger soupir, puis pris les mains des deux demoiselles, et commença la prière qui ramènerait l’âme perdu des deus aventuriers.
Sa voix monocorde s’éleva doucement dans l’immense coupole de la grande salle, puis il modula peu à peu, du grave à l’aigu, d’un volume faible, puis en un créscendo lent, vers des sonorités très puissantes, vibrantes dans l’air qui commença à s’alourdir d’énergie, l’atmosphère même semblait plus grasse, la lumière plus scintillante, les contours plus lisse et ondulant. Puis il prononça les derniers mots, sa voix était claire et limpide, puissante, et c’est alors que des prêtres dans des alcôves sur le coté reprirent en cœur sa litanie, pour lui redonner de la puissance.
Deux colonnes de lumière bleuté s’élevèrent des corps des deux jeunes Seigneurs Renards, en un souffle crissant dans l’air. On aurait dit les tourbillons des âmes revenant sur terre, comme un conduit pour les âmes. Les contours de salle commencèrent à onduler dangereusement, tout semblait entre l’iréel et le réel, chaque chose se dédoublait, s’étirait, la puissante magie faisait coïncider par instant les deux plans d’existance…
Deux points lumineux intense, un flash d’une silence assourdissant, vint clore la cérémonie en plongeant du plafond vers les deux corps sans vie...
-- Epilogue --
[Amaï Ethen] Disparu
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Exirel
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Tout se passait à peu près bien pour Eléria, malgré une pointe de tristesse qui ne la quittait pas, un sentiment étrange de mal-être permanent, les combats restaient sous contrôle des De Profundis.
Depuis quelque temps, elle aidait du mieux qu’elle pouvais le chevalier Galarion, fier De Profundis qui avait su déjà lui faire oublier les mots lancer dans l’exaspération par certain de ses compagnons, à qui elle avait tout pardonner. Elle utilisait de sa magie sur lui, pour le rendre plus fort, et même si elle avait bien faillit perdre connaissance à la suite d’une surcharge qu’elle n’avait contrôler, sa magie était utile...
Dernièrement, elle avait réussit d’une seule flèche entre les deux yeux, à débarrasser le plancher d’un Guerrier Troll qui s’en était pris à Galarion.
Alors qu’elle préparait une autre salve de flèche et cherchait des yeux une cible convenable, une voix lui parla gentiment. C’était le Seigneur Althéos, des De Profundis, qui la félicitait, elle, pour avoir tuer le troll ! Elle était émue qu’on lui dise cela, surtout de la part d’une aussi importante personne. Elle répondit par un timide merci… et avant qu’il ne reparte vers son combat, elle lui demanda d’une voix émue, son admission aux De Profundis, même si elle n’osait vraiment mérité cela.
Bien au contraire, Althéos en fut ravi, et lui indiqua la démarche à suivre : demander à Delekth pour les détails et s’inscrire tout d’abord comme Cadet (Cadette) De Profundis...
Elle reçut rapidement une réponse positive… elle arborait maintenant l’insigne des Cadets De Profundis avec fierté...
Mais sa joie fut vite contrarié… de mauvais nouvelle, très mauvaise…
Akitène était partit plus au Sud, pour aller chercher des runes… elle ne l’avait pas suivit, en prise avec les monstres et à aider de sa magie et de ses flèches les combattants, mais maintenant elle le regrettait amèrement…
La nouvelle était venu de la bouche de Galarion : Akitène avait trouvé la mort… attaquer par un troupeau de basilic affamé...
Elle cru défaillir, et pleura amèrement...
Depuis quelque temps, elle aidait du mieux qu’elle pouvais le chevalier Galarion, fier De Profundis qui avait su déjà lui faire oublier les mots lancer dans l’exaspération par certain de ses compagnons, à qui elle avait tout pardonner. Elle utilisait de sa magie sur lui, pour le rendre plus fort, et même si elle avait bien faillit perdre connaissance à la suite d’une surcharge qu’elle n’avait contrôler, sa magie était utile...
Dernièrement, elle avait réussit d’une seule flèche entre les deux yeux, à débarrasser le plancher d’un Guerrier Troll qui s’en était pris à Galarion.
Alors qu’elle préparait une autre salve de flèche et cherchait des yeux une cible convenable, une voix lui parla gentiment. C’était le Seigneur Althéos, des De Profundis, qui la félicitait, elle, pour avoir tuer le troll ! Elle était émue qu’on lui dise cela, surtout de la part d’une aussi importante personne. Elle répondit par un timide merci… et avant qu’il ne reparte vers son combat, elle lui demanda d’une voix émue, son admission aux De Profundis, même si elle n’osait vraiment mérité cela.
Bien au contraire, Althéos en fut ravi, et lui indiqua la démarche à suivre : demander à Delekth pour les détails et s’inscrire tout d’abord comme Cadet (Cadette) De Profundis...
Elle reçut rapidement une réponse positive… elle arborait maintenant l’insigne des Cadets De Profundis avec fierté...
Mais sa joie fut vite contrarié… de mauvais nouvelle, très mauvaise…
Akitène était partit plus au Sud, pour aller chercher des runes… elle ne l’avait pas suivit, en prise avec les monstres et à aider de sa magie et de ses flèches les combattants, mais maintenant elle le regrettait amèrement…
La nouvelle était venu de la bouche de Galarion : Akitène avait trouvé la mort… attaquer par un troupeau de basilic affamé...
Elle cru défaillir, et pleura amèrement...
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La cérémonie était terminer, Math et Amaï dormaient tous les deux…
Lorsque Amaï se réveilla, il était couché dans un lit, dans une chambre, seul. Il se leva, et pris le glaive et la cotte de maille qu’il enfila machinalement sur lui.
Puis lorsqu’il fut près, il sortit de la chambre de repos, et parti dans les couloirs de l’hôpital à la recherche de Math.
Alors qu’il est en train de parler avec un des prêtres, il ne le regarde, il ne regarde rien en réalité... son regard est plutôt vide.
Pendant ce temps, Nenya n’était pas très loin... mais elle l’évita, partant dans une autre direction… fait mine de revenir vers lui, puis décide finalement de partir vers un autre endroit. Ses regards sont fuyant pour celui qu’elle nome son Seigneur... elle se souvenait de ce petit éclat dans les yeux d’Amaï à son... retour... ce reflet...
Quelque temps après, ils se retrouvèrent tous dans une salle commune, avant le départ. Nenya ne savait trop comment aborder Amaï, qui n’avait semble t’il, pas prononcer un seul mot à personne, à part à Virginie qui était passé pour le voir, alors qu’elle dirigeait son groupe.
Nenya avait les yeux éteints, et le teint pâle, la fatigue de ses nuits de veilles se ressentait sur son si joli visage, d’habitude orné de son sourire. Elle fit mine de vouloir approcher Amaï... qui restait silencieusement adossé à un mur de la sale, la tête baissée vers le sol et le regard vide.
Tout à coup, il remarqua son « manège » et l’interpella.
- Amaï : "Nenya ?
- Nenya : Seigneur ?
Elle s’était rapproché, et commença à s’incliner pour le saluer.
- Amaï : Oh... non relève-toi.
Elle se releva, les yeux baissés.
- Amaï : … je… e… allons plutôt dans un endroit plus calme.
Elle le suivit alors dans une alcôve du cloître des prêtres, comme il était l’heure de dormir, il n’y avait plus personne. Il se retourna vers elle, à côté d’un banc, toujours le regard baissé vers le sol.
- Amaï : Je suis désolé Nenya...
- Nenya : Vous n'avez pas à l'être Seigneur... j'ai failli à mon devoir d'écuyère...
- Amaï : Non... non, tu as été exemplaire... c'est moi qui ai été imprudent... je voulais... ...
- Nenya : j'aurai tellement voulu vous aider .............
- Amaï : Tu ne pouvais pas, personne ne pouvait... j'ai été fou de faire cela... de partir ainsi... mais... j'étais comme attiré... vers Math...
- Nenya : Vous vouliez le sauver c'est tout à votre honneur
Il marqua une légère pause.
- Amaï : Je ne sais pas trop si l'honneur y était pour quelque chose...
- Nenya : Comment va le seigneur Matheleven?
- Amaï : Je ne sais pas... il dort toujours... semble t'il... Je ne sais pas si j'ai réussit... ...
- Nenya : Je suis confiante, vous avez un esprit fort
- Amaï : Pas assez... c'était affreux Nenya... chaque chose là bas... est tout et son contraire...
- Nenya : Je crois en avoir entrevu une parcelle dans mes songes seigneur
- Amaï : Lorsque j'ai trouvé Math... il ne restait plus qu'une parcelle de lui...
Tes songes ??
Elle frémie légèrement au souvenir de ce mauvais rêve.
- Nenya : Oui j'ai fais un cauchemar étrange en vous veillant. C'était confus... des lumières éclatantes... mais surtout ses doigts griffus et malveillants. Cela m'a retourné le cœur. Mais cela n'est rien comparé à ce que vous avez fait.
- Amaï (péniblement) : Je ne sais pas... je suis rester un temps indéfini... cela a pu durer une seconde... ou une éternité je n'aurais rien vu...
Ils parurent gêner l’un l’autre.
- Nenya : Seigneur qu'attendez-vous de nous désormais, vos Renards se languissent d'entendre les ordres de leur chef . (Elle continua après l’absence de réponse d’Amaï). Voulez-vous que je les fasse rassembler ?
- Amaï : Je ne sais pas... je ne me sens plus moi-même Nenya...
- Nenya : Vous avez encore besoin de vous reposer... voulez-vous que je veille sur votre sommeil ?
- Amaï (après un certain temps) : ...non ce n'est pas... ça... je ne suis pas vraiment fatigué... ...
Son visage s’assombri encore, sa voix trahissait son inquiétude grandissante.
- Nenya : Etes vous frappé d'un mal obscur ? En rapport avec votre... voyage. Vous me paraissez si las.
Il ne répondit pas, regardant dans le vide.
- Nenya : parlez-moi ... J'ai besoin de comprendre. (plus fort) J'ai besoin de te comprendre !!!
Elle dit ces derniers mots avec une vague présence de désespoir, et baissa les yeux...
Amaï ne resta pas insensible aux paroles de son écuyère.
- Amaï : Je... je ne sais que dire... Je ne sais pas si tu me regarderas comme avant...
- Nenya : dites-moi simplement que tout va redevenir comme avant, cela me suffit...
Elle voulait une affirmation, cherchant des repères dans les paroles d’habitudes plus assurées de son Seigneur.
- Amaï : Rien... rien ne pourra plus être comme avant... plus rien...
Il s’assit sur le banc, ses coudes appuyés sur ses genoux, les mains sur le visage, les larmes aux yeux. Puis après une pause, il reprit d’une voix presque murmurante.
- Amaï : Je sais qu'il est là... quelque part...
- Nenya (interloquée) : Qui donc ?
- Amaï : Ils cherchent à rentrer dans notre monde... j'étais là à chercher Math... je les sentais. Je sais que tous ne m'on pas laisser tranquille...
- Nenya : Des esprits néfastes ?
Il resta silencieux un moment.
- Amaï : Je ne veux pas te faire courir de risque... à personne... à plus personne...
Le ton de la voix de son écuyère changea légèrement, elle voulait le rassurer.
- Nenya : Amaï... Je crois qu'il est temps que tu arrêtes de penser aux autres avant tout prend d'abord soin de toi, sinon comment crois-tu pouvoir venir en aide aux autres. Comment crois-tu pouvoir ?
Elle avait les larmes aux yeux... le désespoir s’emparait lentement d’elle et elle ne voulait pas, elle voulait aider... le comprendre...
A son nom, Amaï fut interloqué... et touché de cette attention toute particulière, elle ne l’appelait que rarement par son prénom, la politesse et le respect qu’elle avait pour lui lui faisait toujours dire Seigneur.
- Amaï : Je... (ses mots étaient comme bloqués dans sa bouche). Ma guilde... les Renards Mercenaires... Je dois les quitter...
Elle resta ébahit... les larmes commencèrent à couler doucement sur les joues d’Amaï qui les cachaient de ses mains.
- Nenya : QUOI ???
Mais… mais
Elle resta sans voix... incapable de dire ce qu’elle voulait dire... puis tenta de se calmer.
- Amaï : Je sais que tu ne comprends pas... Je ne te le demande pas c'est normal... c'est moi qui ne le suis pas... plus...
- Nenya : Plus quoi ?
- Amaï : Je ne peux pas te regarder dans les yeux... je te ferais peur... mais ces...
ces choses quels qu'elles soient... une me surveille... elle est là... je ne peux pas mettre plus encore la vie des autres en danger... et je ne peux plus m'occuper des Renards...
- Nenya : Mais que vont-ils devenir ?
- Amaï : Virginie, Kaldéric, et les autres... Ils prendront le relais.
- Nenya : Et moi ?
Elle avait dit cela presque en criant. Lui gardait une voix presque cassée, triste.
- Amaï : Toi... tu es libre Nenya... je ne peux pas t'obliger à faire ce que tu ne veux pas... je tiens à toi Nenya... mais si...
Il ne termina pas sa phrase.
- Amaï : J'aurais voulu ne pas te décevoir... maintenant je ne suis plus rien...
- Nenya : Je vous suivrai seigneur ....quant aux renards, je ne sais pas !
- Amaï : Je ne peux plus m'en occuper... je ne suis plus moi-même... et toi... tu es libre de choisir... ma voie sera difficile... je risque de me retrouver seul...
- Nenya : Le temps décidera Seigneur
- Amaï : Celle des Renards m'est encore inconnue... mais je sais que les Chefs Renards seront forts... ils ont toujours su s'occuper de la guilde quand je ne le pouvais pas...
- Nenya : Si je peux les aider je ferai de mon mieux, j'ai beaucoup appris sur la façon de diriger les hommes à vos côtés. Mais, (sa voix était triste) pour l'heure, je crois que j'ai également besoin de réfléchir à tout ça...
Elle se mit à pleurer doucement, tout en s’écartant légèrement d’Amaï.
Puis elle dit, d’une voix qu’elle espérait plus dans une mesure normale.
- Nenya : Puis-je me retirer Seigneur ?
- Amaï (toujours assis le regard au sol) : Tu es libre..."
Elle s’inclina légèrement, et juste avant de faire volte face, Amai peut entrevoir un regard de Nenya... un regard qui en dit long sur les sentiments de la jeune fille. Puis, elle s’éloigne alors, pendant qu’il se mit à pleurer... longtemps... amèrement... il était désespéré...
Lorsque Amaï se réveilla, il était couché dans un lit, dans une chambre, seul. Il se leva, et pris le glaive et la cotte de maille qu’il enfila machinalement sur lui.
Puis lorsqu’il fut près, il sortit de la chambre de repos, et parti dans les couloirs de l’hôpital à la recherche de Math.
Alors qu’il est en train de parler avec un des prêtres, il ne le regarde, il ne regarde rien en réalité... son regard est plutôt vide.
Pendant ce temps, Nenya n’était pas très loin... mais elle l’évita, partant dans une autre direction… fait mine de revenir vers lui, puis décide finalement de partir vers un autre endroit. Ses regards sont fuyant pour celui qu’elle nome son Seigneur... elle se souvenait de ce petit éclat dans les yeux d’Amaï à son... retour... ce reflet...
Quelque temps après, ils se retrouvèrent tous dans une salle commune, avant le départ. Nenya ne savait trop comment aborder Amaï, qui n’avait semble t’il, pas prononcer un seul mot à personne, à part à Virginie qui était passé pour le voir, alors qu’elle dirigeait son groupe.
Nenya avait les yeux éteints, et le teint pâle, la fatigue de ses nuits de veilles se ressentait sur son si joli visage, d’habitude orné de son sourire. Elle fit mine de vouloir approcher Amaï... qui restait silencieusement adossé à un mur de la sale, la tête baissée vers le sol et le regard vide.
Tout à coup, il remarqua son « manège » et l’interpella.
- Amaï : "Nenya ?
- Nenya : Seigneur ?
Elle s’était rapproché, et commença à s’incliner pour le saluer.
- Amaï : Oh... non relève-toi.
Elle se releva, les yeux baissés.
- Amaï : … je… e… allons plutôt dans un endroit plus calme.
Elle le suivit alors dans une alcôve du cloître des prêtres, comme il était l’heure de dormir, il n’y avait plus personne. Il se retourna vers elle, à côté d’un banc, toujours le regard baissé vers le sol.
- Amaï : Je suis désolé Nenya...
- Nenya : Vous n'avez pas à l'être Seigneur... j'ai failli à mon devoir d'écuyère...
- Amaï : Non... non, tu as été exemplaire... c'est moi qui ai été imprudent... je voulais... ...
- Nenya : j'aurai tellement voulu vous aider .............
- Amaï : Tu ne pouvais pas, personne ne pouvait... j'ai été fou de faire cela... de partir ainsi... mais... j'étais comme attiré... vers Math...
- Nenya : Vous vouliez le sauver c'est tout à votre honneur
Il marqua une légère pause.
- Amaï : Je ne sais pas trop si l'honneur y était pour quelque chose...
- Nenya : Comment va le seigneur Matheleven?
- Amaï : Je ne sais pas... il dort toujours... semble t'il... Je ne sais pas si j'ai réussit... ...
- Nenya : Je suis confiante, vous avez un esprit fort
- Amaï : Pas assez... c'était affreux Nenya... chaque chose là bas... est tout et son contraire...
- Nenya : Je crois en avoir entrevu une parcelle dans mes songes seigneur
- Amaï : Lorsque j'ai trouvé Math... il ne restait plus qu'une parcelle de lui...
Tes songes ??
Elle frémie légèrement au souvenir de ce mauvais rêve.
- Nenya : Oui j'ai fais un cauchemar étrange en vous veillant. C'était confus... des lumières éclatantes... mais surtout ses doigts griffus et malveillants. Cela m'a retourné le cœur. Mais cela n'est rien comparé à ce que vous avez fait.
- Amaï (péniblement) : Je ne sais pas... je suis rester un temps indéfini... cela a pu durer une seconde... ou une éternité je n'aurais rien vu...
Ils parurent gêner l’un l’autre.
- Nenya : Seigneur qu'attendez-vous de nous désormais, vos Renards se languissent d'entendre les ordres de leur chef . (Elle continua après l’absence de réponse d’Amaï). Voulez-vous que je les fasse rassembler ?
- Amaï : Je ne sais pas... je ne me sens plus moi-même Nenya...
- Nenya : Vous avez encore besoin de vous reposer... voulez-vous que je veille sur votre sommeil ?
- Amaï (après un certain temps) : ...non ce n'est pas... ça... je ne suis pas vraiment fatigué... ...
Son visage s’assombri encore, sa voix trahissait son inquiétude grandissante.
- Nenya : Etes vous frappé d'un mal obscur ? En rapport avec votre... voyage. Vous me paraissez si las.
Il ne répondit pas, regardant dans le vide.
- Nenya : parlez-moi ... J'ai besoin de comprendre. (plus fort) J'ai besoin de te comprendre !!!
Elle dit ces derniers mots avec une vague présence de désespoir, et baissa les yeux...
Amaï ne resta pas insensible aux paroles de son écuyère.
- Amaï : Je... je ne sais que dire... Je ne sais pas si tu me regarderas comme avant...
- Nenya : dites-moi simplement que tout va redevenir comme avant, cela me suffit...
Elle voulait une affirmation, cherchant des repères dans les paroles d’habitudes plus assurées de son Seigneur.
- Amaï : Rien... rien ne pourra plus être comme avant... plus rien...
Il s’assit sur le banc, ses coudes appuyés sur ses genoux, les mains sur le visage, les larmes aux yeux. Puis après une pause, il reprit d’une voix presque murmurante.
- Amaï : Je sais qu'il est là... quelque part...
- Nenya (interloquée) : Qui donc ?
- Amaï : Ils cherchent à rentrer dans notre monde... j'étais là à chercher Math... je les sentais. Je sais que tous ne m'on pas laisser tranquille...
- Nenya : Des esprits néfastes ?
Il resta silencieux un moment.
- Amaï : Je ne veux pas te faire courir de risque... à personne... à plus personne...
Le ton de la voix de son écuyère changea légèrement, elle voulait le rassurer.
- Nenya : Amaï... Je crois qu'il est temps que tu arrêtes de penser aux autres avant tout prend d'abord soin de toi, sinon comment crois-tu pouvoir venir en aide aux autres. Comment crois-tu pouvoir ?
Elle avait les larmes aux yeux... le désespoir s’emparait lentement d’elle et elle ne voulait pas, elle voulait aider... le comprendre...
A son nom, Amaï fut interloqué... et touché de cette attention toute particulière, elle ne l’appelait que rarement par son prénom, la politesse et le respect qu’elle avait pour lui lui faisait toujours dire Seigneur.
- Amaï : Je... (ses mots étaient comme bloqués dans sa bouche). Ma guilde... les Renards Mercenaires... Je dois les quitter...
Elle resta ébahit... les larmes commencèrent à couler doucement sur les joues d’Amaï qui les cachaient de ses mains.
- Nenya : QUOI ???
Mais… mais
Elle resta sans voix... incapable de dire ce qu’elle voulait dire... puis tenta de se calmer.
- Amaï : Je sais que tu ne comprends pas... Je ne te le demande pas c'est normal... c'est moi qui ne le suis pas... plus...
- Nenya : Plus quoi ?
- Amaï : Je ne peux pas te regarder dans les yeux... je te ferais peur... mais ces...
ces choses quels qu'elles soient... une me surveille... elle est là... je ne peux pas mettre plus encore la vie des autres en danger... et je ne peux plus m'occuper des Renards...
- Nenya : Mais que vont-ils devenir ?
- Amaï : Virginie, Kaldéric, et les autres... Ils prendront le relais.
- Nenya : Et moi ?
Elle avait dit cela presque en criant. Lui gardait une voix presque cassée, triste.
- Amaï : Toi... tu es libre Nenya... je ne peux pas t'obliger à faire ce que tu ne veux pas... je tiens à toi Nenya... mais si...
Il ne termina pas sa phrase.
- Amaï : J'aurais voulu ne pas te décevoir... maintenant je ne suis plus rien...
- Nenya : Je vous suivrai seigneur ....quant aux renards, je ne sais pas !
- Amaï : Je ne peux plus m'en occuper... je ne suis plus moi-même... et toi... tu es libre de choisir... ma voie sera difficile... je risque de me retrouver seul...
- Nenya : Le temps décidera Seigneur
- Amaï : Celle des Renards m'est encore inconnue... mais je sais que les Chefs Renards seront forts... ils ont toujours su s'occuper de la guilde quand je ne le pouvais pas...
- Nenya : Si je peux les aider je ferai de mon mieux, j'ai beaucoup appris sur la façon de diriger les hommes à vos côtés. Mais, (sa voix était triste) pour l'heure, je crois que j'ai également besoin de réfléchir à tout ça...
Elle se mit à pleurer doucement, tout en s’écartant légèrement d’Amaï.
Puis elle dit, d’une voix qu’elle espérait plus dans une mesure normale.
- Nenya : Puis-je me retirer Seigneur ?
- Amaï (toujours assis le regard au sol) : Tu es libre..."
Elle s’inclina légèrement, et juste avant de faire volte face, Amai peut entrevoir un regard de Nenya... un regard qui en dit long sur les sentiments de la jeune fille. Puis, elle s’éloigne alors, pendant qu’il se mit à pleurer... longtemps... amèrement... il était désespéré...
-- Epilogue --
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
[Les autres] ???
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
[Les autres] ???
-
Matheleven
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- Inscription : 31 juil. 2003 18:42
Math se réveilla en sursaut... Il avait du mal à reprendre ses esprits. La dernière chose dont il se souvenait c'était cette femme qui lui lançait un sort... La mort est quelque chose d'éprouvant, c'était peut être ce qui lui était arrivé. Il ramassa son arme et enfila son armure. Sa sœur, Aléria, se trouvait endormie dans un autre lit de la chambre. Sa faisait longtemps qu'il ne l'avait vue aussi sereine. Mais pourtant, elle semblait triste. Math se rassit sur son lit, tentant de combler les vides dans son esprit. Machinalement il commença à nettoyer la lame de son arme. Aléria se réveilla quelques minutes plus tard. Voyant son frère debout, elle se jeta dans ses bras.
- Math : Ou se trouve Julia ?
- Aléria : Elle est restée sur-le-champ de bataille.
- Math : Sais-tu qui m'a tué ?
Aléria sembla troublée.
- Aléria : Mais, personne, pourquoi cette question ?
- Math : Pourtant je suis bien là non ? Et comme j'ai beaucoup de difficulté a me rappeler tous ce qui c'est passé, c'est que j'ai dut mourir.
- Aléria : Tu... Ne te rappelles de rien ? Vraiment ?
- Math : Non... Tu parles comme si je le devrais, explique-toi s'il te plaît.
- Aléria : Tu avais été ensorcelé par un magicien de la Main du Mal et tu les as suivi durant plusieurs jours. Tu as même attaqué quelqu'un !
Math se tut. Il allait et venait dans la pièce.
- Math : Je dois partir. Je ne te demande pas de me suivre, car je vais quitter les Renards Mercenaires. Je ne peux plus rester avec eux... Surtout si ce que tu as dit est vrai, et je ne mettrais jamais ta parole en doute.
- Aléria : Si tu dois partir, alors je le ferais aussi, et je suis sur que Julia en fera de même. Peut être que Joe aussi. Il faut aussi que tu remercies Amaï, c'est lui qui t'a sauvé du néant.
Math ferma les yeux et pensa.
- Math : Alors si je cherche encore des réponses, c'est Amaï Ethen qui me les donnera...
- Math : Ou se trouve Julia ?
- Aléria : Elle est restée sur-le-champ de bataille.
- Math : Sais-tu qui m'a tué ?
Aléria sembla troublée.
- Aléria : Mais, personne, pourquoi cette question ?
- Math : Pourtant je suis bien là non ? Et comme j'ai beaucoup de difficulté a me rappeler tous ce qui c'est passé, c'est que j'ai dut mourir.
- Aléria : Tu... Ne te rappelles de rien ? Vraiment ?
- Math : Non... Tu parles comme si je le devrais, explique-toi s'il te plaît.
- Aléria : Tu avais été ensorcelé par un magicien de la Main du Mal et tu les as suivi durant plusieurs jours. Tu as même attaqué quelqu'un !
Math se tut. Il allait et venait dans la pièce.
- Math : Je dois partir. Je ne te demande pas de me suivre, car je vais quitter les Renards Mercenaires. Je ne peux plus rester avec eux... Surtout si ce que tu as dit est vrai, et je ne mettrais jamais ta parole en doute.
- Aléria : Si tu dois partir, alors je le ferais aussi, et je suis sur que Julia en fera de même. Peut être que Joe aussi. Il faut aussi que tu remercies Amaï, c'est lui qui t'a sauvé du néant.
Math ferma les yeux et pensa.
- Math : Alors si je cherche encore des réponses, c'est Amaï Ethen qui me les donnera...
La mort dans l'âme... Ancien renard mais toujours mercenaire...
Bye N'Cha ! Matheleven
Bye N'Cha ! Matheleven
-
Exirel
- Dieu du forum
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- Inscription : 30 juil. 2003 16:35
- Localisation : Souterrain de Delain
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Lorsque le destin s'acharne, chacun pleure sa propre mort.
---
Tout semblait bien se passer pour Eléria, les combats, même légèrement enlisé par les gelées, n'étaient pas très dangereux.
Une légère vague de frayeur parcouru les rangs lorsque Nyctalope se retrouva gravement blessé par les gelées, mais les De Profundis aux talents de soigneurs la remirent rapidement d'applomb.
Eléria discutait et même blaguait avec les autres De Profundis, et le 7ème Alien1. Ce dernier ayant son casque enfoncé sur son crâne après un dur coup de trident sur la tête. (NdA : nous vous passerons le détail des blagues...)
C'est d'ailleur à se moment là qu'Eléria se rendit compte qu'elle était la seule fille avec Nyctalope dans les environs........ certes cela restait rassurant d'être entourer de tout ces grands baroudeurs... mais l'ambiance était par moment un peu trop tourné vers des gamineries masculines propre à leur problème de virilité...
Mais bien sûr il y avait toujours Galarion, qui avait su, par ses encouragements et ses douces paroles, sécher les larmes d'Eléria après la mort d'Akitene...
Mais le hasard est cruel, et ces quelques moments de joie furent rapidement oublier...
Une gelée l'avait trouver appétissante semble t'il, et lui sauta dessus, l'englobeant totalement... Lorsqu'elle explosa sous les coups rageurs de Galarion et de Delekth, il ne restait rien...
Eléria se réveilla au temple, et vit Amaï Ethen...
---
Tout semblait bien se passer pour Eléria, les combats, même légèrement enlisé par les gelées, n'étaient pas très dangereux.
Une légère vague de frayeur parcouru les rangs lorsque Nyctalope se retrouva gravement blessé par les gelées, mais les De Profundis aux talents de soigneurs la remirent rapidement d'applomb.
Eléria discutait et même blaguait avec les autres De Profundis, et le 7ème Alien1. Ce dernier ayant son casque enfoncé sur son crâne après un dur coup de trident sur la tête. (NdA : nous vous passerons le détail des blagues...)
C'est d'ailleur à se moment là qu'Eléria se rendit compte qu'elle était la seule fille avec Nyctalope dans les environs........ certes cela restait rassurant d'être entourer de tout ces grands baroudeurs... mais l'ambiance était par moment un peu trop tourné vers des gamineries masculines propre à leur problème de virilité...
Mais bien sûr il y avait toujours Galarion, qui avait su, par ses encouragements et ses douces paroles, sécher les larmes d'Eléria après la mort d'Akitene...
Mais le hasard est cruel, et ces quelques moments de joie furent rapidement oublier...
Une gelée l'avait trouver appétissante semble t'il, et lui sauta dessus, l'englobeant totalement... Lorsqu'elle explosa sous les coups rageurs de Galarion et de Delekth, il ne restait rien...
Eléria se réveilla au temple, et vit Amaï Ethen...
-- Epilogue --
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
[Les autres] ???
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
[Les autres] ???
L'heure etait grave et l'horizon on ne peut plus sombre.
Kaldéric, en compagnie de Madsen, Eithel, Geaufroid et Magnus, n'en finissait pas de trancher les innombrables tentacules multicolores des
gelees. Combien de temps allaient elles encore les retenir ici ? Il fallait se regrouper a tout prix !
Ingeloakastimillizan s'etait apparemment eloigne. Kalderic en etait rassure, bien qu'il ne l'aurait jamais avoue.
De nombreux Renards etaient a portee de vue, ceints de nombreux allies. Le rang des monstres diminuait a vue d'oeil.
C'est alors qu'une voix melodieuse s'adressa a Kalderic, un timbre plus que familier : Branwenn etait enfin de retour apres de longs mois d'absence !
Ils s'eloignerent du champs de bataille, laissant toute l'intedence a Magnus et Eithel.
Branwenn : Quel plaisir de te revoir mon ami !
Kalderic : De meme, il me tardait de te revoir. J'ai entendu dire que tu etais avant l'avant garde du groupe de Virginie.
Branwenn : C'est exact. L'argentee et son groupe ont joue de malchance a plusieurs reprises. Leur retard est grand. Mais je n'ai pu
m'empecher de vous porter assistance le plus rapidement qu'il m'etait possible.
C'est alors que Kalderic remarqua que le blason de Branwenn n'etait plus un Renard mais un Oriflamme.
Alors, notre ancienne troupe s'est reconstituee pour lutter contre Malkiar.
Branwenn, devinant le regard de son ami : Oui. Je n'ai pu te prevenir a temps. Je m'en excuse. Je ne concevais pas l'idee de ne point les rallier, comme avant. Mais sache que cela ne change rien quant a mon soutien pour les Renards.
Kalderic : J'espere bien qu'il ne serait en etre autrement.
Branwenn : Par contre, je ne vois aucune trace de Matheleven ni de Amai. Ou sont ils ?
Kalderic se rendit compte de la veracite de cette phrase. Ils avaient disparu. Certes, il se doutait qu'il ne reverrait pas Math tout de suite, apres les malheurs qui l'avaient foudroye. Mais Amai...
Je n'ai guere eu le temps de m'occuper des chefs de groupe ces derniers jours. Il fallait refomer les rangs des Renards et allies car beaucoup ont peri ou fuit face a l'abject demon. Je suis desole...
Branwenn : Cela confirme donc les dires d'Eithel et de Virginie. Amai est parti retrouve Math. Les Renards ont perdu leurs deux tetes...
Kalderic faillit tomber au sol sur le coup, tellement l'odieuse nouvelle le frappait en plein coeur. Il etait en proie a une plethore d'emotions : La douleur, la honte, la tristesse, la colere, et bien d'autres encore.
Pourquoi le destin s'en prenait encore aux Renards Mercenaires !!!!
N'avaient ils pas donne suffisament de leur sang, de leurs larmes, de leur corps et de leur ame ?
Avaient ils failli face aux nuees de monstres et multiples embuches dressees sur leur parcours ?
N'avaient ils pas dejouer a plusieurs reprises les plans machiaveliques et sanguinaires de la Main du Mal et de leurs allies ?
Mon ami. Remettez vous dit Branwenn. Nous n'avons pas de temps a perdre : Des demons mineurs ont fait leur apparition. Cela va etre autrement plus difficile que les gelees ou les morbelins. Et un bras comme le votre est un puissant atout.
Merci, Elfe ! Il ne sera pas dit que je me sois tenu a l'ecart du combat. Et si tu apercois Nenya, previens moi.
Il reprit sa position. Ces quatres amis etaient encore la. Ces anciens compagnons, ceux de la premiere heure, n'eurent pas besoin de
demander pour comprendre dans quel l'etat se trouvait Kalderic.
Il fallait tenir. Au moins jusqu'a l'arrivee de Virginie. Elle etait sage et reflechie. Elle pouvait jauger les decisions des gens comme nul autre. Kalderic, lui, etait tout le contraire.
"Elle saura."
Kaldéric, en compagnie de Madsen, Eithel, Geaufroid et Magnus, n'en finissait pas de trancher les innombrables tentacules multicolores des
gelees. Combien de temps allaient elles encore les retenir ici ? Il fallait se regrouper a tout prix !
Ingeloakastimillizan s'etait apparemment eloigne. Kalderic en etait rassure, bien qu'il ne l'aurait jamais avoue.
De nombreux Renards etaient a portee de vue, ceints de nombreux allies. Le rang des monstres diminuait a vue d'oeil.
C'est alors qu'une voix melodieuse s'adressa a Kalderic, un timbre plus que familier : Branwenn etait enfin de retour apres de longs mois d'absence !
Ils s'eloignerent du champs de bataille, laissant toute l'intedence a Magnus et Eithel.
Branwenn : Quel plaisir de te revoir mon ami !
Kalderic : De meme, il me tardait de te revoir. J'ai entendu dire que tu etais avant l'avant garde du groupe de Virginie.
Branwenn : C'est exact. L'argentee et son groupe ont joue de malchance a plusieurs reprises. Leur retard est grand. Mais je n'ai pu
m'empecher de vous porter assistance le plus rapidement qu'il m'etait possible.
C'est alors que Kalderic remarqua que le blason de Branwenn n'etait plus un Renard mais un Oriflamme.
Alors, notre ancienne troupe s'est reconstituee pour lutter contre Malkiar.
Branwenn, devinant le regard de son ami : Oui. Je n'ai pu te prevenir a temps. Je m'en excuse. Je ne concevais pas l'idee de ne point les rallier, comme avant. Mais sache que cela ne change rien quant a mon soutien pour les Renards.
Kalderic : J'espere bien qu'il ne serait en etre autrement.
Branwenn : Par contre, je ne vois aucune trace de Matheleven ni de Amai. Ou sont ils ?
Kalderic se rendit compte de la veracite de cette phrase. Ils avaient disparu. Certes, il se doutait qu'il ne reverrait pas Math tout de suite, apres les malheurs qui l'avaient foudroye. Mais Amai...
Je n'ai guere eu le temps de m'occuper des chefs de groupe ces derniers jours. Il fallait refomer les rangs des Renards et allies car beaucoup ont peri ou fuit face a l'abject demon. Je suis desole...
Branwenn : Cela confirme donc les dires d'Eithel et de Virginie. Amai est parti retrouve Math. Les Renards ont perdu leurs deux tetes...
Kalderic faillit tomber au sol sur le coup, tellement l'odieuse nouvelle le frappait en plein coeur. Il etait en proie a une plethore d'emotions : La douleur, la honte, la tristesse, la colere, et bien d'autres encore.
Pourquoi le destin s'en prenait encore aux Renards Mercenaires !!!!
N'avaient ils pas donne suffisament de leur sang, de leurs larmes, de leur corps et de leur ame ?
Avaient ils failli face aux nuees de monstres et multiples embuches dressees sur leur parcours ?
N'avaient ils pas dejouer a plusieurs reprises les plans machiaveliques et sanguinaires de la Main du Mal et de leurs allies ?
Mon ami. Remettez vous dit Branwenn. Nous n'avons pas de temps a perdre : Des demons mineurs ont fait leur apparition. Cela va etre autrement plus difficile que les gelees ou les morbelins. Et un bras comme le votre est un puissant atout.
Merci, Elfe ! Il ne sera pas dit que je me sois tenu a l'ecart du combat. Et si tu apercois Nenya, previens moi.
Il reprit sa position. Ces quatres amis etaient encore la. Ces anciens compagnons, ceux de la premiere heure, n'eurent pas besoin de
demander pour comprendre dans quel l'etat se trouvait Kalderic.
Il fallait tenir. Au moins jusqu'a l'arrivee de Virginie. Elle etait sage et reflechie. Elle pouvait jauger les decisions des gens comme nul autre. Kalderic, lui, etait tout le contraire.
"Elle saura."
Chef Renard Mercenaire
Diplomate
1/2 Chef du groupe EXIREL
-------------------------------------------------------
Ca sert a rien les signatures... C'est pour ca que j'en mets une.
Diplomate
1/2 Chef du groupe EXIREL
-------------------------------------------------------
Ca sert a rien les signatures... C'est pour ca que j'en mets une.
-
Exirel
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Amaï relut la lettre écrite de la main de son écuyère :
-
Amai,
Il est de ces personnes qu'on oublie jamais, et, de ces sentiments ancrés si profondément qui ne s'estompent qu'au gré du temps qui emporte dans ses flots ravageurs chaque parcelle d'une vie.
C'est de temps dont j'ai besoin, pour réfléchir, pour panser mes plaies, pour oublier certaines choses et pour en comprendre d'autres.
Aussi, je me suis précipitée dans l'antre du serpent à la suite du groupe FeAr, j'espère que ce que j'y trouverai m'aidera à me remettre en phase avec moi même.
J'espère aussi retrouver très vite la force de te revoir et de te reparler, j'espère que nos longues veilles recommenceront un jour. J'espère pouvoir remplacer en ton coeur ce vide insondable, cet amour brisé et perdu....
J'ai hâte de te revoir alors que je te quitte à peine,
Je t'aime
Nenya
-
Il la tenait encore dans ses mains, il ne savait que dire, que faire... il pris le partie de ne pas répondre...
Eléria se tenait à coté de lui, et Amaï, bien qu’il avait été surpris de la revoir au temple... une mort de plus... ne semblait pas avoir pris cela comme avant, comme s’il s’y attendait, et pire, comme si cela l’importait si peu...
La jeune archère Cadette s’inquiétait pour son ami... elle qui était au clair avec ses propres sentiments, compris bien vite la nature de la lettre de Nenya, plus encore, au vue de celle qu’elle avait laisser dans la corde de son arc alors qu’elle dormait.
Puis Amaï se mit à marcher vers le Sud, sans grande raison, cela laissa à Eléria le temps de rédiger une rapide lettre à Nenya, qu’elle remit à un Renard du groupe FeAr pour Nenya, puis elle s’avança elle aussi, pour voir que s’était une gelée rouge qui avait attiré l’attention de l’elfe. Elle l’aida en tirant du mieux qu’elle le pouvais, ses flèches, de sa position reculé.
Pendant ce temps, Math, Aléria et Julia était à coté du temple, en train de discuter. Eléria appela de loin Aléria pour lui parler, et décider ensemble de la route à suivre. Il semblait que Math voulait parler avec Amaï, et que tout deux avaient désormais un mal en commun...
Alors qu’il retirait son glaive de la poche de liquide rougeâtre de la gelée, Amaï repensa aux parole de Virginie, et à sa demande... « Prend là sous ton aile, elle est très importante à mes yeux... peut être même plus que... »
Qu’avait-il voulu dire en ne finissant pas sa frase ? Lui même ne le savais pas vraiment... et cette lettre était une torture dans son esprit.
-
Amai,
Il est de ces personnes qu'on oublie jamais, et, de ces sentiments ancrés si profondément qui ne s'estompent qu'au gré du temps qui emporte dans ses flots ravageurs chaque parcelle d'une vie.
C'est de temps dont j'ai besoin, pour réfléchir, pour panser mes plaies, pour oublier certaines choses et pour en comprendre d'autres.
Aussi, je me suis précipitée dans l'antre du serpent à la suite du groupe FeAr, j'espère que ce que j'y trouverai m'aidera à me remettre en phase avec moi même.
J'espère aussi retrouver très vite la force de te revoir et de te reparler, j'espère que nos longues veilles recommenceront un jour. J'espère pouvoir remplacer en ton coeur ce vide insondable, cet amour brisé et perdu....
J'ai hâte de te revoir alors que je te quitte à peine,
Je t'aime
Nenya
-
Il la tenait encore dans ses mains, il ne savait que dire, que faire... il pris le partie de ne pas répondre...
Eléria se tenait à coté de lui, et Amaï, bien qu’il avait été surpris de la revoir au temple... une mort de plus... ne semblait pas avoir pris cela comme avant, comme s’il s’y attendait, et pire, comme si cela l’importait si peu...
La jeune archère Cadette s’inquiétait pour son ami... elle qui était au clair avec ses propres sentiments, compris bien vite la nature de la lettre de Nenya, plus encore, au vue de celle qu’elle avait laisser dans la corde de son arc alors qu’elle dormait.
Puis Amaï se mit à marcher vers le Sud, sans grande raison, cela laissa à Eléria le temps de rédiger une rapide lettre à Nenya, qu’elle remit à un Renard du groupe FeAr pour Nenya, puis elle s’avança elle aussi, pour voir que s’était une gelée rouge qui avait attiré l’attention de l’elfe. Elle l’aida en tirant du mieux qu’elle le pouvais, ses flèches, de sa position reculé.
Pendant ce temps, Math, Aléria et Julia était à coté du temple, en train de discuter. Eléria appela de loin Aléria pour lui parler, et décider ensemble de la route à suivre. Il semblait que Math voulait parler avec Amaï, et que tout deux avaient désormais un mal en commun...
Alors qu’il retirait son glaive de la poche de liquide rougeâtre de la gelée, Amaï repensa aux parole de Virginie, et à sa demande... « Prend là sous ton aile, elle est très importante à mes yeux... peut être même plus que... »
Qu’avait-il voulu dire en ne finissant pas sa frase ? Lui même ne le savais pas vraiment... et cette lettre était une torture dans son esprit.
-- Epilogue --
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
[Les autres] ???
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Exirel
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Il sifflotait. Tranquillement, il marchait vers le Nord à la recherche de combat à se mettre sous la dent.
Il avait rencontrer alors une jolie demoiselle elfe, et avait demander des soins en échange d’une simple rune, objet dont il ne doutait pas de l’utilité, mais se demandait bien comment des trucs pareils pouvaient produirent d’autres trucs encore plus bizarre...
Bah, encore du matos d’Elfe pensa t’il.
S’il était blessé, c’était à cause de son dernier réveil au temple... Il y repensait encore...
Du bruits des flèches sifflant et se plantant tout autour de lui, vint soudain une clameur étrange : un portail démoniaque venait de faire surface juste à coté du nain, et avait craché d’immonde basilic géant, qui avait eux très vite raison de lui...
Maintenant, il marchait tranquillement, au milieu d’un tas de monstre : des trolls, des archers morbelins, et autre, sans pour autant être inquiété.
Il portait sa lame dans son fourreau, et avait décrété de se dégourdir les poings histoires de s’amuser un peu plus... d’ailleurs, le troll commun n’apprécia pas beaucoup...
Herdek le regarda de son œil mauvais, et s’était exclamé :
Tu sais mon troll, c’est difficile de ramasser ses dents avec les mains cassé… mouhéhéhéhé...
Puis il avait sauté au cou du troll, et lui en avait décoller plusieurs en pleine gueule. Le troll s’effondra au sol, tendis qu’un ami nain Caravanier se chargeaient de l’achever.
Et de un !!!! Bon le suivant... Hey !!!!! Mais c’est BALTHOR !!!!!!
En effet, devant lui se trouvait son vieil ami Balthor, un nain fier et robuste comme il en faut, chef des Risk Breaker !!
Il fonça vers lui, laissa là troll, archer et autre petit amusement, pour lui parler.
Ce qu’il apprit lui fit perdre son sourire... Liselle, une amie d’Amaï, était en se moment même agresser par la bande à Régis...
- Balthor : Régis... tu te souviens ?
- Herdek : Et comment ! Cet Enc*** avait foutu pas mal de bordel dans la guilde ! Et beaucoup de tord à Amaï !!!
- Balthor : Bah je crois qu’on va pouvoir lui faire regretter ses dernières paroles... surtout qu’Amaï, même s’il est plus le Chef, tient beaucoup à la vie de Liselle, encore une histoire saugrenue avec la Main du Mal et leur plan machiavélique à éradiquer...
- Herdek : Du travail d’elfe ça moi je dis…
- Balthor : Bah de toute façon, elle devrai bientôt arriver la demoiselle, et moi et mon groupe on est là pour l’aider...
- Herdek : Y a pas de problème chef, moi j’vous suis !!!!
C'est ainsi qu'Herdek fila en quatrième vitesse vers l'escalier... pour voir déscendre en catastrophe Liselle, gravement blessé...
Il avait rencontrer alors une jolie demoiselle elfe, et avait demander des soins en échange d’une simple rune, objet dont il ne doutait pas de l’utilité, mais se demandait bien comment des trucs pareils pouvaient produirent d’autres trucs encore plus bizarre...
Bah, encore du matos d’Elfe pensa t’il.
S’il était blessé, c’était à cause de son dernier réveil au temple... Il y repensait encore...
Du bruits des flèches sifflant et se plantant tout autour de lui, vint soudain une clameur étrange : un portail démoniaque venait de faire surface juste à coté du nain, et avait craché d’immonde basilic géant, qui avait eux très vite raison de lui...
Maintenant, il marchait tranquillement, au milieu d’un tas de monstre : des trolls, des archers morbelins, et autre, sans pour autant être inquiété.
Il portait sa lame dans son fourreau, et avait décrété de se dégourdir les poings histoires de s’amuser un peu plus... d’ailleurs, le troll commun n’apprécia pas beaucoup...
Herdek le regarda de son œil mauvais, et s’était exclamé :
Tu sais mon troll, c’est difficile de ramasser ses dents avec les mains cassé… mouhéhéhéhé...
Puis il avait sauté au cou du troll, et lui en avait décoller plusieurs en pleine gueule. Le troll s’effondra au sol, tendis qu’un ami nain Caravanier se chargeaient de l’achever.
Et de un !!!! Bon le suivant... Hey !!!!! Mais c’est BALTHOR !!!!!!
En effet, devant lui se trouvait son vieil ami Balthor, un nain fier et robuste comme il en faut, chef des Risk Breaker !!
Il fonça vers lui, laissa là troll, archer et autre petit amusement, pour lui parler.
Ce qu’il apprit lui fit perdre son sourire... Liselle, une amie d’Amaï, était en se moment même agresser par la bande à Régis...
- Balthor : Régis... tu te souviens ?
- Herdek : Et comment ! Cet Enc*** avait foutu pas mal de bordel dans la guilde ! Et beaucoup de tord à Amaï !!!
- Balthor : Bah je crois qu’on va pouvoir lui faire regretter ses dernières paroles... surtout qu’Amaï, même s’il est plus le Chef, tient beaucoup à la vie de Liselle, encore une histoire saugrenue avec la Main du Mal et leur plan machiavélique à éradiquer...
- Herdek : Du travail d’elfe ça moi je dis…
- Balthor : Bah de toute façon, elle devrai bientôt arriver la demoiselle, et moi et mon groupe on est là pour l’aider...
- Herdek : Y a pas de problème chef, moi j’vous suis !!!!
C'est ainsi qu'Herdek fila en quatrième vitesse vers l'escalier... pour voir déscendre en catastrophe Liselle, gravement blessé...
-- Epilogue --
[Amaï Ethen] Disparu
[Eléria Doucepluie] Décédée
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Exirel
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Un coup d'estoc embrocha de part en part la petite gelée rougeâtre, qui finit par se décomposé totalement, laissant apparaître toute les têtes de flèches qu'Eléria lui avait tirer dessus, alors qu'Amaï allait à sa rencontre pour l'achever d'un coup de glaive.
D'habitude si calme, il semblait là anxieux, comme si quelque chose était derrière lui, à le chercher...
De son coté Eléria l'observait, avant d'entrendre un bruit devenu maintenant si familier : encore un portail démoniaque, avec son flot de séïde de Malkiar... dont un démon mineur...
Elle fut surtout surprise de la réaction d'Amaî, le Démon avait été le dernier à sortir, et Amaï n'avait pas réagis un seul instant aux bruits, avant que le démon n'ai posé son sabot d'airain sur le sol glacé des souterrains...
Il s'était retourné, et avait chercher à voir ce qui se passait... il semblait comme attiré...
Eléria avait foncé sur lui, et l'avait empécher de continuer plus loin. Ce qu'elle voyait lui faisait peur, ils étaient 2, et les monstres plus d'une dizaine, ils n'auraient pas tenu plus de quelque instant au combat raproché... et encore...
C'est ainsi qu'elle l'emena plus ou moins de force, il semblait assez docile lorsqu'elle lui parlait et lui disait de la suivre... et c'est alors qu'ils arrivèrent au bout de quelque jour, là où ils voulaient aller : au centre d'Entraînement...
D'habitude si calme, il semblait là anxieux, comme si quelque chose était derrière lui, à le chercher...
De son coté Eléria l'observait, avant d'entrendre un bruit devenu maintenant si familier : encore un portail démoniaque, avec son flot de séïde de Malkiar... dont un démon mineur...
Elle fut surtout surprise de la réaction d'Amaî, le Démon avait été le dernier à sortir, et Amaï n'avait pas réagis un seul instant aux bruits, avant que le démon n'ai posé son sabot d'airain sur le sol glacé des souterrains...
Il s'était retourné, et avait chercher à voir ce qui se passait... il semblait comme attiré...
Eléria avait foncé sur lui, et l'avait empécher de continuer plus loin. Ce qu'elle voyait lui faisait peur, ils étaient 2, et les monstres plus d'une dizaine, ils n'auraient pas tenu plus de quelque instant au combat raproché... et encore...
C'est ainsi qu'elle l'emena plus ou moins de force, il semblait assez docile lorsqu'elle lui parlait et lui disait de la suivre... et c'est alors qu'ils arrivèrent au bout de quelque jour, là où ils voulaient aller : au centre d'Entraînement...
-- Epilogue --
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- Herdek : "Et tu crois que ça va suffir ?"
La question était claire : les Vicieux Vivisecteurs possédaient une très grande force de frappe, mais leur armure était plus que poreuse celon certains aventuriers...
Pourtant... même s'ils avaient commencé leur attaque, même Liselle ne semblait pas d'accord pour les tuer de sang froid ainsi... rhalala...
Bon b'ah j'ai m'en occuper... comme l'aurait surement fait Amaï...
Le nain s'avança donc, et les discutions entre Balthor, Liselle et Régis et les frère Namaspamouss, purent reprendre... le ton monta, puis redéscendit rapidement...
Puis Herdek les regarda enfin partir... il avait un gout amer dans la bouche, et ses ardeurs guerrières n'étaient pas vraiment récompensé...
Bordel d'pu'** d'm**** ! J'fait comme un elfe maintenant, j'réfléchie diplomatiquement ! On aura tout vu...
Il repris son épée, et la soupesa... c'est dans cette activité passionante qu'il remarqua la présence d'un basilic commun et d'un commendo morbelin devant lui...
Un sourire de contentement lui arriva au visage.
Au moins, là j'ai de quoi m'amuser avec des adversaires honorables... et pas ces crétins de VV...
Il lança en l'air son épée, pour la rattraper dans une certaine jonglerie plus ou moins bien réussit, dans sa main droite, pointe en avant...
"TAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIÏAUUUUUUUUUU !!!!"
La question était claire : les Vicieux Vivisecteurs possédaient une très grande force de frappe, mais leur armure était plus que poreuse celon certains aventuriers...
Pourtant... même s'ils avaient commencé leur attaque, même Liselle ne semblait pas d'accord pour les tuer de sang froid ainsi... rhalala...
Bon b'ah j'ai m'en occuper... comme l'aurait surement fait Amaï...
Le nain s'avança donc, et les discutions entre Balthor, Liselle et Régis et les frère Namaspamouss, purent reprendre... le ton monta, puis redéscendit rapidement...
Puis Herdek les regarda enfin partir... il avait un gout amer dans la bouche, et ses ardeurs guerrières n'étaient pas vraiment récompensé...
Bordel d'pu'** d'm**** ! J'fait comme un elfe maintenant, j'réfléchie diplomatiquement ! On aura tout vu...
Il repris son épée, et la soupesa... c'est dans cette activité passionante qu'il remarqua la présence d'un basilic commun et d'un commendo morbelin devant lui...
Un sourire de contentement lui arriva au visage.
Au moins, là j'ai de quoi m'amuser avec des adversaires honorables... et pas ces crétins de VV...
Il lança en l'air son épée, pour la rattraper dans une certaine jonglerie plus ou moins bien réussit, dans sa main droite, pointe en avant...
"TAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIÏAUUUUUUUUUU !!!!"
-- Epilogue --
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Amaï esquiva de justesse un coup d'estoc d'Eléria, grâce aux apprentissage au temple, il s'était un peu amélioré dans ce genre de pratique, et il pu constater de même pour Eléria.
Il se posa après l'exercice, sur un banc, et contempla les alentours.
Il aimait ce calme reposant, pas un bruit, juste le crépitement léger des torches éclairant les lieux, le plic ploc successif des gouttes d'eau tombant du plafond...
C'est ainsi qu'il laissa voguer ses pensés... cela faisait longtemps qu'il ne s'était laissé aller, le travail pour la guilde lui prenait auparavent tout son temps. Des derniers échauffements à l'épée, il revint par pensé aux jours précédents, son départ, sa lettre d'adieu, le retour d'Eléria, et la lettre de Nenya...
Il chercha alors quelque chose dans ses habits, proche de sa poitrine, il ressorti de sa chemise une enveloppe qui semblait avoir parcouru du voyage. D'une très fine main était écrit quelques mots... quelques mots si troublant, il n'y avait pas répondu, et ne savait que répondre.
Puis il la chercha l'autre lettre de Nenya, la dernière qu'il avait reçu...
Il se tenait ainsi lorsqu'Eléria arriva, son arc accroché dans son dos, son carquois de flèches bien remplit, d'ailleur, elle tenait une flèche dans sa main, et en lissait la plume.
- Eléria : "Amaï ? Comment vas tu ce matin ?"
Il mit un certain temps à répondre, et articula un faible "Bien" peu évocateur... Elle s'assit alors à coté de lui, et posa sa tête contre son épaule.
- Eléria : "Amaï, que pense tu faire après la fin de notre entraînement ?"
- Amaï : "Je ne sais."
- Eléria (regardant les lettres qu’il tenait encore dans sa main) : "Tu lis encore ses lettres ? Tu devrais lui répondre non ?"
Il baissa la tête, et rangea les deux enveloppes dans ses poches.
Puis après quelque minute où chacun fit silence, Eléria avait fermer les yeux et écoutait simplement, pendant qu’Amaï regardait vers le sol, laissant ses penser voguer ainsi sans plus de recherche.
C’est sur cette simple scène que Math, Aléria et Joe arrivèrent à leur tour au centre, eux aussi pour s’entraîner un peu.
Eléria se leva à la rencontre de leurs amis, et ouvrit ses bras pour embrasser Aléria.
- Eléria : "Alors vous avez fait bonne route ? Est-ce que vous avez remarquer la présence de quelque monstres au Nord pour voir les effets de l’entraînement ?"
- Aléria : "Oui ça va, même si Math ne parle pas beaucoup, et il n’y a pas de monstres aux alentours. Si tu en vois tu nous préviens."
- Eléria : "Très bien... Hum, et pour Amaï, ce n’est guère mieux, il reste enfermé dans un certain mutisme... Bon je vais sortir dehors, je vous dirais ensuite ce qu’il en résulte pour les monstres, des rumeurs me proviennent comme quoi un portail se serait ouvert juste au dessus de la porte du Serpent il y a de cela quelque jour à peine. C’est tout proche, et ma vue porte loin..."
- Aléria : "Alors au plaisir de te revoir Eléria. Et merci pour Math et Amaï, j’espère qu’ensemble nous arriverons à les sortir de leur torpeur... En tout cas, Math veut parler à Amaï, c’est à peu près la seule chose que je sais..."
- Eléria : "Hum oui. Je comprends c’est normal. Bah, ils devraient en avoir le temps maintenant. J’ai l’impression que seul le temps changera la donne. Aller, je dois y aller."
Elle embrassa Aléria sur la joue, et laissa Amaï d’un regard soucieux, puis elle pris son arc et sortie par les grandes portes de bois du centre d’entraînement.
Il se posa après l'exercice, sur un banc, et contempla les alentours.
Il aimait ce calme reposant, pas un bruit, juste le crépitement léger des torches éclairant les lieux, le plic ploc successif des gouttes d'eau tombant du plafond...
C'est ainsi qu'il laissa voguer ses pensés... cela faisait longtemps qu'il ne s'était laissé aller, le travail pour la guilde lui prenait auparavent tout son temps. Des derniers échauffements à l'épée, il revint par pensé aux jours précédents, son départ, sa lettre d'adieu, le retour d'Eléria, et la lettre de Nenya...
Il chercha alors quelque chose dans ses habits, proche de sa poitrine, il ressorti de sa chemise une enveloppe qui semblait avoir parcouru du voyage. D'une très fine main était écrit quelques mots... quelques mots si troublant, il n'y avait pas répondu, et ne savait que répondre.
Puis il la chercha l'autre lettre de Nenya, la dernière qu'il avait reçu...
Il se tenait ainsi lorsqu'Eléria arriva, son arc accroché dans son dos, son carquois de flèches bien remplit, d'ailleur, elle tenait une flèche dans sa main, et en lissait la plume.
- Eléria : "Amaï ? Comment vas tu ce matin ?"
Il mit un certain temps à répondre, et articula un faible "Bien" peu évocateur... Elle s'assit alors à coté de lui, et posa sa tête contre son épaule.
- Eléria : "Amaï, que pense tu faire après la fin de notre entraînement ?"
- Amaï : "Je ne sais."
- Eléria (regardant les lettres qu’il tenait encore dans sa main) : "Tu lis encore ses lettres ? Tu devrais lui répondre non ?"
Il baissa la tête, et rangea les deux enveloppes dans ses poches.
Puis après quelque minute où chacun fit silence, Eléria avait fermer les yeux et écoutait simplement, pendant qu’Amaï regardait vers le sol, laissant ses penser voguer ainsi sans plus de recherche.
C’est sur cette simple scène que Math, Aléria et Joe arrivèrent à leur tour au centre, eux aussi pour s’entraîner un peu.
Eléria se leva à la rencontre de leurs amis, et ouvrit ses bras pour embrasser Aléria.
- Eléria : "Alors vous avez fait bonne route ? Est-ce que vous avez remarquer la présence de quelque monstres au Nord pour voir les effets de l’entraînement ?"
- Aléria : "Oui ça va, même si Math ne parle pas beaucoup, et il n’y a pas de monstres aux alentours. Si tu en vois tu nous préviens."
- Eléria : "Très bien... Hum, et pour Amaï, ce n’est guère mieux, il reste enfermé dans un certain mutisme... Bon je vais sortir dehors, je vous dirais ensuite ce qu’il en résulte pour les monstres, des rumeurs me proviennent comme quoi un portail se serait ouvert juste au dessus de la porte du Serpent il y a de cela quelque jour à peine. C’est tout proche, et ma vue porte loin..."
- Aléria : "Alors au plaisir de te revoir Eléria. Et merci pour Math et Amaï, j’espère qu’ensemble nous arriverons à les sortir de leur torpeur... En tout cas, Math veut parler à Amaï, c’est à peu près la seule chose que je sais..."
- Eléria : "Hum oui. Je comprends c’est normal. Bah, ils devraient en avoir le temps maintenant. J’ai l’impression que seul le temps changera la donne. Aller, je dois y aller."
Elle embrassa Aléria sur la joue, et laissa Amaï d’un regard soucieux, puis elle pris son arc et sortie par les grandes portes de bois du centre d’entraînement.
-- Epilogue --
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Exirel
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Le commendo morbelin n'eut pas même le temps d'appeler sa moman, ni même de donner un seul coup : il s'affala mort sous les multiples blessures infligées par les combatants.
Herdek était de ceux là, mais à peine regardait il la scène, qu'il senti un très léger picotement sur son armure de cuir. Il arrêta immédiatement de bouger, puis fit une roulade avant, se retourna, et planta son épée dans le sol, pour tuer l'abeille qui l'attaquait, sans lui faire aucune blessure.
Après ce petit échauffement, il remonta vers le Nord, Liselle et Assassin ne semblait pas vouloir rester dans les parages.
Arrasser par les dernières longues heures de lutte, de diplomatie (imaginé un nain faire de la diplomatie....... et sans boire d'alcool !!!), Herdek demanda une pause, et chacun trouva que c'était le moment. Il n'y avait pas de monstre, personne à l'horizon... aucune raison de s'inquiéter...
Pourtant au lever, Herdek eu à peine le temps de voir Assassin partir vers le Nord, Liselle elle, avait disparut !
Il se leva d'un coup, pris son épée, son armure de cuir qu'il mit à la vas-vite (non sans se cassé la gueule une ou deux fois... "pu'in d'bord'l d'mrde"), et couru vers Assassin.
Il lui raconta d'un air pressé et très anxieux, qu'elle était parti lui laissant un simple mot...
Herdek en resta sur le cul... elle était partie ! Comme ça ??!!!
Herdek était de ceux là, mais à peine regardait il la scène, qu'il senti un très léger picotement sur son armure de cuir. Il arrêta immédiatement de bouger, puis fit une roulade avant, se retourna, et planta son épée dans le sol, pour tuer l'abeille qui l'attaquait, sans lui faire aucune blessure.
Après ce petit échauffement, il remonta vers le Nord, Liselle et Assassin ne semblait pas vouloir rester dans les parages.
Arrasser par les dernières longues heures de lutte, de diplomatie (imaginé un nain faire de la diplomatie....... et sans boire d'alcool !!!), Herdek demanda une pause, et chacun trouva que c'était le moment. Il n'y avait pas de monstre, personne à l'horizon... aucune raison de s'inquiéter...
Pourtant au lever, Herdek eu à peine le temps de voir Assassin partir vers le Nord, Liselle elle, avait disparut !
Il se leva d'un coup, pris son épée, son armure de cuir qu'il mit à la vas-vite (non sans se cassé la gueule une ou deux fois... "pu'in d'bord'l d'mrde"), et couru vers Assassin.
Il lui raconta d'un air pressé et très anxieux, qu'elle était parti lui laissant un simple mot...
Herdek en resta sur le cul... elle était partie ! Comme ça ??!!!
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Exirel
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Eléria revint en trombe au centre d'entrainement, et couru vers Aléria et les autres qui s'était regroupé dans le hall pour finir de ranger leur affaire pour partir.
- Eléria : "Vite !!!! Un portail vient de s'ouvrir, un aventurier est mis à mal au Nord, et une floppé de monstre vont bientôt arriver ! Il faut se tenir près à tout !!!!"
Quelque minute plus tard, chacun était dehors, l'arme au poing, Eléria sur le coté en eclaireuse leur donnait la position des monstres, pendant qu'Axelle vérifiait ses runes.
- Eléria : "Bon... il y a un commendo morbelin, même deux... plusieurs gelées vertes... et des basilics communs... OH MON DIEU !"
Elle avait vu le cadavre de l'elfe... il n'avait pas survécu à l'attaque du commendo morbelin, ils étaient arriver trop tard.
Mais ses mots furent accueilli par une volé de flèche qui attérit à quelque mètres d'elle.
- Eléria : "Et aussi quelque archer morbelin pas très doué... mais l'autre a... ... ATTENTION !!!"
Le basilic venait de charger, d'un seul coup sans raison. Sa charge fut esquiver par Math et Amaï, qui en profitère pour le frapper sur le flanc.
Le commendo morbelin arriva dans la foulé, mais il fut cribler de flèche par Eléria, qui s'écarta un peu.
Puis les gelées se trainèrent lentement, mais personne ne s'en inquiéta vraiment, car le basilic allait repasser à l'attaque.
D'un coup de bec, il frappa vers Math, qui esquiva, le basilic se retrouva le bec planter dans le sol, tout le monde en profita pour le frapper au cou. La bête hurla de douleur, se libérant d'un coup et tenta de frapper de ses griffes postérieures tout ce qui passait à porter.
Quelque heure plus tard, tout était fini : le commendo morbelin avait fuit, et avait rejoin un deuxième un peu plus loin, quant au basilic il était mort et son cadavre commençait à se vider de tout son sang.
Ce n'est que plus tard que la présence des gelées inquiéta... elle attaquèrent toute les deux en groupes, l'une se jetant sur Amaï, l'autre sauta du corps du basilic, pour attérir explosé par un coup de masse d'Axelle... une masse ???
Eléria n'en revenait pas, elle pensait naïvement qu'Axelle avait une épée, ou ne faisait que lancer des sorts... et bien non, la gelée elle aussi fut surprise, surtout qu'elle se divisa en deux autre gelée plus petites, et cette fois ci en jaune...
Le combat dura des heures... les commendos morbelins avait recharger, mais avait vite été tuer, quant au gelée il en restait encore deux, dont une rouge et une orange...
C'est là que l'incroyable se produisit... montant de la gelée rouge, un flux d'énergie magique s'éleva... mais ne réussit pas à se maintenir...
- Amaï : "De la magie... elle utilise la magie..."
- Eléria : "Vite !!!! Un portail vient de s'ouvrir, un aventurier est mis à mal au Nord, et une floppé de monstre vont bientôt arriver ! Il faut se tenir près à tout !!!!"
Quelque minute plus tard, chacun était dehors, l'arme au poing, Eléria sur le coté en eclaireuse leur donnait la position des monstres, pendant qu'Axelle vérifiait ses runes.
- Eléria : "Bon... il y a un commendo morbelin, même deux... plusieurs gelées vertes... et des basilics communs... OH MON DIEU !"
Elle avait vu le cadavre de l'elfe... il n'avait pas survécu à l'attaque du commendo morbelin, ils étaient arriver trop tard.
Mais ses mots furent accueilli par une volé de flèche qui attérit à quelque mètres d'elle.
- Eléria : "Et aussi quelque archer morbelin pas très doué... mais l'autre a... ... ATTENTION !!!"
Le basilic venait de charger, d'un seul coup sans raison. Sa charge fut esquiver par Math et Amaï, qui en profitère pour le frapper sur le flanc.
Le commendo morbelin arriva dans la foulé, mais il fut cribler de flèche par Eléria, qui s'écarta un peu.
Puis les gelées se trainèrent lentement, mais personne ne s'en inquiéta vraiment, car le basilic allait repasser à l'attaque.
D'un coup de bec, il frappa vers Math, qui esquiva, le basilic se retrouva le bec planter dans le sol, tout le monde en profita pour le frapper au cou. La bête hurla de douleur, se libérant d'un coup et tenta de frapper de ses griffes postérieures tout ce qui passait à porter.
Quelque heure plus tard, tout était fini : le commendo morbelin avait fuit, et avait rejoin un deuxième un peu plus loin, quant au basilic il était mort et son cadavre commençait à se vider de tout son sang.
Ce n'est que plus tard que la présence des gelées inquiéta... elle attaquèrent toute les deux en groupes, l'une se jetant sur Amaï, l'autre sauta du corps du basilic, pour attérir explosé par un coup de masse d'Axelle... une masse ???
Eléria n'en revenait pas, elle pensait naïvement qu'Axelle avait une épée, ou ne faisait que lancer des sorts... et bien non, la gelée elle aussi fut surprise, surtout qu'elle se divisa en deux autre gelée plus petites, et cette fois ci en jaune...
Le combat dura des heures... les commendos morbelins avait recharger, mais avait vite été tuer, quant au gelée il en restait encore deux, dont une rouge et une orange...
C'est là que l'incroyable se produisit... montant de la gelée rouge, un flux d'énergie magique s'éleva... mais ne réussit pas à se maintenir...
- Amaï : "De la magie... elle utilise la magie..."
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