[guilde] la Compagnie du Ni
- Stella Artmuir
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Un petit village, non loin de l'entrée des souterrains de la ville perdue de Delain. Sur la place publique, une estrade sur laquelle se tiennent un groupe assez hétéroclite : Humains, Elfes, Nains sont réprésentés, certains en armure lourde, d'autres vétus de robes brodées de magnifiques symboles, d'autres encores habillés des couleurs de la forêt.
Autour d'eux, certains villageois attendent la déclamation, d'autres passent sans vraiment prendre gare. L'assemblée s'impatiente un peu, quand arrive une humaine qui tient à la main un rouleau de parchemins. Elle monte sur l'estrade, et commence son discours.
"Bonjour à vous, désolé de vous avoir fait attendre. Je pense que vous vous demandez ce qui nous amène dans ce village, si la raison de notre présence dans la contrée est plus évidente. En effet, nous sommes en route pour les souterrains de Delain, dans lesquels les forces démoniaques commencent à refaire leur apparition. Et si nous sommes de passage parmi vous, c'est évidemment parce que nous cherchons des volontaires pour nous rejoindre, mais aussi car nous avons pour but de vous sensibiliser à un des concepts de nos vies : le Ni"
Des murmures se font entendre dans l'assistance, les gens s'interrogent. Ca et la, on entend des questions : "mais de quoi-t-est ce que vous nous parlez la ?" "c'est quoi ca d'abord le Ni ?".
"Il semblerait que nous devrions nous présenter dès lors : je m'appelle Stella Artmuir, et j'ai été élue à la tête de notre groupe : la Compagnie du Ni."
en englobant la scène d'un coup d'oeil, elle rehausse la voie :
"Le Ni est un concept qui peut vous paraitre obscur. Issu d'une longue réflexion philosophique, le Ni est apparu comme une sorte d'idéologie nécessaire à la vie sur Terre. Nous suivons ses préceptes pour améliorer notre quotidien, et celui de ceux que nous cottoyons. Cela dit, je ne m'attarderait pas beaucoup plus sur les principes de l'essence du Ni, je préfère en parler directement aux personnes interessées, je vais plutot parler des principes que la voie du Ni nous fait suivre".
Autour d'eux, certains villageois attendent la déclamation, d'autres passent sans vraiment prendre gare. L'assemblée s'impatiente un peu, quand arrive une humaine qui tient à la main un rouleau de parchemins. Elle monte sur l'estrade, et commence son discours.
"Bonjour à vous, désolé de vous avoir fait attendre. Je pense que vous vous demandez ce qui nous amène dans ce village, si la raison de notre présence dans la contrée est plus évidente. En effet, nous sommes en route pour les souterrains de Delain, dans lesquels les forces démoniaques commencent à refaire leur apparition. Et si nous sommes de passage parmi vous, c'est évidemment parce que nous cherchons des volontaires pour nous rejoindre, mais aussi car nous avons pour but de vous sensibiliser à un des concepts de nos vies : le Ni"
Des murmures se font entendre dans l'assistance, les gens s'interrogent. Ca et la, on entend des questions : "mais de quoi-t-est ce que vous nous parlez la ?" "c'est quoi ca d'abord le Ni ?".
"Il semblerait que nous devrions nous présenter dès lors : je m'appelle Stella Artmuir, et j'ai été élue à la tête de notre groupe : la Compagnie du Ni."
en englobant la scène d'un coup d'oeil, elle rehausse la voie :
"Le Ni est un concept qui peut vous paraitre obscur. Issu d'une longue réflexion philosophique, le Ni est apparu comme une sorte d'idéologie nécessaire à la vie sur Terre. Nous suivons ses préceptes pour améliorer notre quotidien, et celui de ceux que nous cottoyons. Cela dit, je ne m'attarderait pas beaucoup plus sur les principes de l'essence du Ni, je préfère en parler directement aux personnes interessées, je vais plutot parler des principes que la voie du Ni nous fait suivre".
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elle commence à dérouler les parchemins qu'elle tenait dans ses mains, et commence la lecture.
"Laissez moi tout d'abord vous lire une sorte de déclaration, rédigée par nos soins. Nous cherchons à faire admettre celle-ci unilatéralement, afin que chacun sur cette Terre soit assuré, et protégé par les principes qu'elle met en place."
"Préambule
Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine : Humains, Nains et Elfes, et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.
Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme, du nain et de l’elfe ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité.
Considérant que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, un monde respecté et non détruit, un monde regorgeant de ressources naturelles telles que des forêts, des rivières de bières, des animaux qui gambadent dans les vertes prairies, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme, du nain et de l’elfe.
Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme, du nain et de l’elfe soient protégés par un régime de droit pour que l'homme, le nain ou l’elfe ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression.
Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations, entre les peuples et entre les guildes.
Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.
L’Assemblée Générale de la Compagnie du Ni présente la présente Déclaration Quasi-Universelle des Droits de l’Homme, du Nain et de l’Elfe comme idéal commun à atteindre par toutes les nations, peuples et guildes afin que tous les individus, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit (sauf peut-être pendant le sommeil) s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer la reconnaissance et l’application universelle, de promouvoir la tolérance et la compréhension.
Article premier
Tous les êtres humains (hommes, nains et elfes) naissent libres et égaux en dignité et en droit, à défaut de l’être en taille. Ils sont censés être doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité accomplie, voir plus si affinité.
Article second
Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de sexe, de taille, de pilosité, de toute opinion, de fortune, de liste d’équipement ou d’expérience.
Article troisième
Tout individu a le droit à la vie, à la liberté et à la sûreté et l’intégrité de sa personne physique et mentale.
Article quatrième
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.
Article cinquième
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants comme le viol, l’écartèlement, le supplice de la roue, la lapidation, la goutte d’eau, le fist.
Article sixième
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Bien sur, cet article ne prend effet que s’il existe effectivement un système juridique non basé sur des actes arbitraires de vengeance ou de punition gratuite.
Article septième
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé dans la mesure où il est impossible d’arrêter, de détenir ou d’exiler une personne dans le cas présent sans porter atteinte à son intégrité physique (cf. article troisième).
Article huitième
Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.
Ne reste plus qu’à trouver un tribunal, et qui plus est indépendant et impartial.
Article neuvième
Toute personne est innocente jusqu’à ce qu’elle devienne coupable.
Article dixième
Dans la mesure où le droit de propriété représente le facteur le plus important de violences diverses et variées, qu’il a été maintes fois prouvé qu’il perverti la nature même de l’homme, du nain et de l’elfe, celui-ci est déclaré caduque et désormais non avenu.
Article onzième
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.
Article douzième
La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal. La liberté du vote est acquise par les articles 2 et 11, sans nécessité d’anonymat en conséquence.
Article treizième
Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent. La question de la propriété morale ne doit pas s’appliquer, tout comme ne s’applique pas la propriété physique : le bien de l’un est le bien de tous.
Article quatorzième
L’individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seul le libre et plein développement de sa personnalité est possible.
L’exercice par chacun de ses droits et de ses devoirs ne doit pas interférer avec les droits d’autrui."
"Laissez moi tout d'abord vous lire une sorte de déclaration, rédigée par nos soins. Nous cherchons à faire admettre celle-ci unilatéralement, afin que chacun sur cette Terre soit assuré, et protégé par les principes qu'elle met en place."
"Préambule
Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine : Humains, Nains et Elfes, et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.
Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme, du nain et de l’elfe ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité.
Considérant que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, un monde respecté et non détruit, un monde regorgeant de ressources naturelles telles que des forêts, des rivières de bières, des animaux qui gambadent dans les vertes prairies, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme, du nain et de l’elfe.
Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme, du nain et de l’elfe soient protégés par un régime de droit pour que l'homme, le nain ou l’elfe ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression.
Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations, entre les peuples et entre les guildes.
Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.
L’Assemblée Générale de la Compagnie du Ni présente la présente Déclaration Quasi-Universelle des Droits de l’Homme, du Nain et de l’Elfe comme idéal commun à atteindre par toutes les nations, peuples et guildes afin que tous les individus, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit (sauf peut-être pendant le sommeil) s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer la reconnaissance et l’application universelle, de promouvoir la tolérance et la compréhension.
Article premier
Tous les êtres humains (hommes, nains et elfes) naissent libres et égaux en dignité et en droit, à défaut de l’être en taille. Ils sont censés être doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité accomplie, voir plus si affinité.
Article second
Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de sexe, de taille, de pilosité, de toute opinion, de fortune, de liste d’équipement ou d’expérience.
Article troisième
Tout individu a le droit à la vie, à la liberté et à la sûreté et l’intégrité de sa personne physique et mentale.
Article quatrième
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.
Article cinquième
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants comme le viol, l’écartèlement, le supplice de la roue, la lapidation, la goutte d’eau, le fist.
Article sixième
Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.
Bien sur, cet article ne prend effet que s’il existe effectivement un système juridique non basé sur des actes arbitraires de vengeance ou de punition gratuite.
Article septième
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé dans la mesure où il est impossible d’arrêter, de détenir ou d’exiler une personne dans le cas présent sans porter atteinte à son intégrité physique (cf. article troisième).
Article huitième
Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.
Ne reste plus qu’à trouver un tribunal, et qui plus est indépendant et impartial.
Article neuvième
Toute personne est innocente jusqu’à ce qu’elle devienne coupable.
Article dixième
Dans la mesure où le droit de propriété représente le facteur le plus important de violences diverses et variées, qu’il a été maintes fois prouvé qu’il perverti la nature même de l’homme, du nain et de l’elfe, celui-ci est déclaré caduque et désormais non avenu.
Article onzième
Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.
Article douzième
La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal. La liberté du vote est acquise par les articles 2 et 11, sans nécessité d’anonymat en conséquence.
Article treizième
Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent. La question de la propriété morale ne doit pas s’appliquer, tout comme ne s’applique pas la propriété physique : le bien de l’un est le bien de tous.
Article quatorzième
L’individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seul le libre et plein développement de sa personnalité est possible.
L’exercice par chacun de ses droits et de ses devoirs ne doit pas interférer avec les droits d’autrui."
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La place commence à se remplir quelque peu : l'attraction est assez inhabituelle. Stella continue en sortant un deuxième parchemin.
"A partir de ces résolutions, nous avons décidé, nous, la Compagnie du Ni, de nous astreindre à un certain code de conduite, pour assurer notre pleinitude au sein du Ni. Ceci c'est mis sous la forme d'une charte, que nous respectons tous, et que les nouveaux arrivants doivent signer :
Charte de la compagnie du Ni
Considérant notre histoire passée, les moments heureux que nous avons eu sur notre planète natale, et depuis notre émancipation. Considérant la période où un monstre avide de puissance nous avait asservis non linéairement, toutes les peines que cela a entraîné et que jamais nous ne pourrons oublier ces tristes temps.
Considérant qu’en tout point nous ressemblons aux habitants de cette planète, aussi bien physiques que mentaux (enfin, pour certains).
Considérant la Déclaration Quasi-Universelle des Droits de l’Homme, du Nain et de l’Elfe de Delain (DQUDHNED) comme indispensable à la vie que nous souhaitons mener.
La Compagnie du Ni se porte garante de ses actions dans le cadre de cette présente charte, et s’engage à respecter ses termes, ainsi que ceux de la DQUDHNED.
Premier commandement :
Dans le concept du Ni tu trouveras tout sens à ta vie
Et cela même tu l’utiliseras tout au long de ton combat.
Second commandement :
Tu oeuvreras pour le bien, combattant le malin
Et ses hordes de démons toutes autant qu’elles sont.
Troisième Commandement :
Tu n’attaqueras point ton prochain, qu’il soit homme, elfe ou nain
A moins qu’il ne détourne les lois, afin de s’en prendre à toi.
Quatrième Commandement :
Tu feras progresser la Compagnie en l’enrichissant de tes avis
Et ainsi tu participeras à la vie de ton Etat.
Cinquième commandement :
Tes amis et compagnons tu protégeras
Et dans l’entraide mutuelle tu t’épanouiras
Sixième commandement :
L’arcane du Ni tu comprendras, et tu l’enseigneras
A ceux en qui ta confiance aura surgie.
Septième Commandement :
Tu respecteras ces engagements, honoreras ton serment
Si tu veux garder avec toi la force du Ni et du droit.
"A partir de ces résolutions, nous avons décidé, nous, la Compagnie du Ni, de nous astreindre à un certain code de conduite, pour assurer notre pleinitude au sein du Ni. Ceci c'est mis sous la forme d'une charte, que nous respectons tous, et que les nouveaux arrivants doivent signer :
Charte de la compagnie du Ni
Considérant notre histoire passée, les moments heureux que nous avons eu sur notre planète natale, et depuis notre émancipation. Considérant la période où un monstre avide de puissance nous avait asservis non linéairement, toutes les peines que cela a entraîné et que jamais nous ne pourrons oublier ces tristes temps.
Considérant qu’en tout point nous ressemblons aux habitants de cette planète, aussi bien physiques que mentaux (enfin, pour certains).
Considérant la Déclaration Quasi-Universelle des Droits de l’Homme, du Nain et de l’Elfe de Delain (DQUDHNED) comme indispensable à la vie que nous souhaitons mener.
La Compagnie du Ni se porte garante de ses actions dans le cadre de cette présente charte, et s’engage à respecter ses termes, ainsi que ceux de la DQUDHNED.
Premier commandement :
Dans le concept du Ni tu trouveras tout sens à ta vie
Et cela même tu l’utiliseras tout au long de ton combat.
Second commandement :
Tu oeuvreras pour le bien, combattant le malin
Et ses hordes de démons toutes autant qu’elles sont.
Troisième Commandement :
Tu n’attaqueras point ton prochain, qu’il soit homme, elfe ou nain
A moins qu’il ne détourne les lois, afin de s’en prendre à toi.
Quatrième Commandement :
Tu feras progresser la Compagnie en l’enrichissant de tes avis
Et ainsi tu participeras à la vie de ton Etat.
Cinquième commandement :
Tes amis et compagnons tu protégeras
Et dans l’entraide mutuelle tu t’épanouiras
Sixième commandement :
L’arcane du Ni tu comprendras, et tu l’enseigneras
A ceux en qui ta confiance aura surgie.
Septième Commandement :
Tu respecteras ces engagements, honoreras ton serment
Si tu veux garder avec toi la force du Ni et du droit.
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Stella finit sa lecture, et dès lors commence à observer la foule.
"Voila ce qui nous motive, voila globalement ce qui encadre nos vies, sans pour autant être un carcan insurmontable. Si nous sommes ici aujourd'hui, c'est que, comme je le disais tout à l'heure, nous cherchons de nouveaux membres, mais également car nous pensons que ces principes sont bons, et sensés, et donc qu'ils méritent d'être débattus.
Nous partirons ce soir pour continuer notre route vers les souterrains. Si certains d'entre vous souhaitent nous rejoindre, nous vous attendons. Merci pour votre écoute et votre patience."
Elle quitte l'estrade, accompagnée par les autres membres du groupes, et ensemble ils commencent à se diriger vers leur campement, situé à la sortie du village. Les villageois s'écartent sur leur passage, beaucoup semblent troublés par ce qui vient d'être dit.
parlant à l'un de ces compagnions : "Je ne sais pas si ca aura très bien fonctionné ici, du moins, pas à la hauteur de nos attentes. Peut-être anonçons-nous les choses trop brutalement, je ne sais pas"
un Nain solidement bati, vétu d'une armure de cuir, et portant une grosse hache à sa ceinture lui répond : "Je ne suis pas sur Stella, j'ai cru remarquer au moins deux personnes qui semblaient plus réceptives à ce que tu disais tout à l'heure sur la place. Je ne doute pas que nous ayons de nouveaux compagnons ce soir."
"Je l'espère sincèrement, maitre Graat, je l'espère."
"Voila ce qui nous motive, voila globalement ce qui encadre nos vies, sans pour autant être un carcan insurmontable. Si nous sommes ici aujourd'hui, c'est que, comme je le disais tout à l'heure, nous cherchons de nouveaux membres, mais également car nous pensons que ces principes sont bons, et sensés, et donc qu'ils méritent d'être débattus.
Nous partirons ce soir pour continuer notre route vers les souterrains. Si certains d'entre vous souhaitent nous rejoindre, nous vous attendons. Merci pour votre écoute et votre patience."
Elle quitte l'estrade, accompagnée par les autres membres du groupes, et ensemble ils commencent à se diriger vers leur campement, situé à la sortie du village. Les villageois s'écartent sur leur passage, beaucoup semblent troublés par ce qui vient d'être dit.
parlant à l'un de ces compagnions : "Je ne sais pas si ca aura très bien fonctionné ici, du moins, pas à la hauteur de nos attentes. Peut-être anonçons-nous les choses trop brutalement, je ne sais pas"
un Nain solidement bati, vétu d'une armure de cuir, et portant une grosse hache à sa ceinture lui répond : "Je ne suis pas sur Stella, j'ai cru remarquer au moins deux personnes qui semblaient plus réceptives à ce que tu disais tout à l'heure sur la place. Je ne doute pas que nous ayons de nouveaux compagnons ce soir."
"Je l'espère sincèrement, maitre Graat, je l'espère."
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Dans l'assistance un brouhaha s'est installé depuis que l'oratrice a cessé de s'exprimer... les avis et sentiments sont rapidement échangés, des regards des gestes qui semblent vouloir dire...
-A POIL ! hurle un humain robuste et mal lavé sortant surement d'un lieu peu fréquentable, et dont il n'aura pas encore évacué tout l'aclcool qu'il y a ingurgité.
Plus discrètement dans un coin,
-tu crois que c'est une nouvelle religion ?
-J'espère pas sinon, on aura le droit à la totale : missionnaire, inquisiteur, etc.
Plus loin,
-c'est étrange, on dirait un mélange entre la déclaration universelle de 1848 avec un soupçon de marxisme... un nouveau parti ?
-ANARQUIA s'élève d'un individu étrange tout de noir vêtu.
Ailleurs,
-Une nouvelle voie ?
-C'est un dogme !
Enfin,
-Tu crois que ça vaut le coup ?
-Bah, je sais pas trop... c'est bien payé ?
-Imbéciles ! Et l'exaltation de l'aventure ? Partir sans savoir quand on reviendra, ni même si on reviendra un jour... combattre, poursuivre des quêtes sans fin, sans attaches, sans se soucier de rien... Tout simplement vivre ! J'hésiatais à m'y engager, mais si je ne le fais pas seul, je pense que je vais accepter...
-A POIL ! hurle un humain robuste et mal lavé sortant surement d'un lieu peu fréquentable, et dont il n'aura pas encore évacué tout l'aclcool qu'il y a ingurgité.
Plus discrètement dans un coin,
-tu crois que c'est une nouvelle religion ?
-J'espère pas sinon, on aura le droit à la totale : missionnaire, inquisiteur, etc.
Plus loin,
-c'est étrange, on dirait un mélange entre la déclaration universelle de 1848 avec un soupçon de marxisme... un nouveau parti ?
-ANARQUIA s'élève d'un individu étrange tout de noir vêtu.
Ailleurs,
-Une nouvelle voie ?
-C'est un dogme !
Enfin,
-Tu crois que ça vaut le coup ?
-Bah, je sais pas trop... c'est bien payé ?
-Imbéciles ! Et l'exaltation de l'aventure ? Partir sans savoir quand on reviendra, ni même si on reviendra un jour... combattre, poursuivre des quêtes sans fin, sans attaches, sans se soucier de rien... Tout simplement vivre ! J'hésiatais à m'y engager, mais si je ne le fais pas seul, je pense que je vais accepter...
Que les femmes seraient merveilleuses si l'on pouvait tomber dans leurs bras sans tomber entre leurs mains... ^_^
Deux jeunes humains se détachent de la foule pour pouvoir parler en toute
tranquilité.
Jin : "Qu'en penses-tu Carn ? Ca a l'air intéressant non.... de plus je
suis
entièrement d'accord avec leur manifeste."
Carnage : "Certes, cette Stella m'a paru bien sympathique, de plus il est
clair que cette compagnie a une grande âme. Et comme nos pas nous mènent
dans la même direction, il est toujours préférable de voyager avec des gens
dignes de confiance."
Les deux compères partent alors d'un bon train en direction du campement de
la compagnie.
Jin : "Holà, nobles aventuriers, nous demandons audience auprès de votre
chef car nous voudrions engager nos corps et nos esprits dans cette fière
compagnie."
Arrive alors Graat le nain qui examine les deux compères d'un oeil
scrutateur. Bien qu'à première vue complément différents, quelque chose dans
leur apparence retient l'attention. En effet : Jin est grand et musclé avec
des bras gros comme des troncs d'arbres. Bien que piètrement vêtu, il
rayonne de lui une puissance animale qui exprime le danger. Quand à l'autre,
il est vêtu d'une longue robe ornée de runes et doublée de fourrure, qui
contraste étonnement avec les frusques de son compagnon. Cependant,
contrairement à lui il semble plutôt faible et pâle, et il marche appuyé sur
un bâton au pommeau d'or représentant une lune.
Mais ce qu'il y a de plus étonnant et que Graat met quelque seconde à
comprendre c'est que les deux aventuriers ont exactement le même visage. Il
ne fait aucun doute qu'ils sont frères, malgré le fait que l'aura qui rayonne d'eux
soit tout à fait différente.
Graat : "Que voila de bien étranges oiseaux de voyage. Mais nous n'avons
pas
pour habitude de refuser l'hospitalité dans la Compagnie, suivez moi donc,
je vais vous guider"
Il les mena directement à la plus grande tente du campement et les invita à
entrer.
Stella Artmuir : "Bienvenue dans la compagnie nobles voyageurs, je me
prénomme Stella Artmuir et suis régente de ces lieux, prenez place et
présentez vous je vous en prie."
Jin : "Salut a toi belle dame, je suis Jin et voila mon frère Carnage. Nous
sommes ravis de faire ta connaissance."
Stella riant doucement : "Ne t'y méprend pas je suis aussi belle que
l'aurore mais aussi dangereuse que le feu. Mais ton frère a un nom bien
étrange... D'où venez vous ?"
Jin : "Ah, c'est une longue histoire que je vais raconter dans les grandes
lignes maintenant. Sache que nous venons de par delà les montagnes et le
grand désert blanc dans lequel nul ne vit. Notre histoire commence le jour
de notre naissance, car frères de sang nous sommes, nés de la même mère le
même jour. Mais frères de destin nous ne sommes pas. Premier né, fort et
beau, je fut acclamé ; né en second faible et malingre, emportant la vie de
notre mère, Carnage fut haï.
Mais ce ne fut pas les principales causes de la haine collective. En effet
il y a maintes générations il a été prophétisé qu'un jour dans notre maison
naîtrait un enfant maudit qui apporterait le malheur sur le clan tout
entier. Personne ne se douta que ce fut lui au début, et notre enfance fut
plutôt calme à grandir parmi les autres enfants. Même si elle a été plus
dure pour mon frère sujet à de constantes railleries de la part des autres.
J'appris le maniement des armes tant dis que mon frère, trop faible pour se
battre, se lança
dans l'étude de la magie. Mais lors de notre 17eme anniversaire la
malédiction nous rattrapa, et sans le vouloir, lors d'une cérémonie de magie
mon frère fit une erreur, normalement bénigne. Celle-ci, par un coup du
destin et un hasard incroyable, déchira le voile de la réalité
et permis à une horde de démons de venir dans notre plan d'existence. Ils
massacrèrent tout le clan et seule une poignée d'entre nous réussit à
s'enfuir.
Nous fûmes rejetés par les survivants, et nous décidâmes dès lors de tout
faire pour réparer notre faute.
Carnage pris pour la première fois la parole et parla d'une voie rocailleuse
: "A partir de ce moment je pris le nom de Carnage pour ne jamais oublier
ma
malédiction ni le fait que je fut responsable de tant de mort car je porte
en moi leurs cris de douleurs et d'agonie."
Jin : "Ainsi à partir de ce moment nous consacrâmes nos vies à combattre
les
hordes démoniaques et à préserver la justice. Après de nombreuses années et
maintes aventures que je ne raconterais pas, la horde fût renvoyée dans son
plan, grâce notamment à de nombreux
guerriers qui donnèrent leur vie pour cette cause. Alors que nous célébrions
la victoire, nos coeurs étaient encore sombre. La malédiction avait-elle
enfin disparu ? Nous ne pouvions en être sûr. C'est pourquoi quand, peu de
temps après, nous entendîmes de lointaines rumeurs sur un royaume appelé
Delain, nous décidâmes de repartir. Notre vie est dédiée à la guerre pour la
justice, et nous ne pouvons pas connaître d'autre repos."
Stella Artmuir : "Voila une bien belle histoire, et je pense que vous avez
votre place dans notre compagnie, mais il me faut d'abord consulter mes
compagnons."
tranquilité.
Jin : "Qu'en penses-tu Carn ? Ca a l'air intéressant non.... de plus je
suis
entièrement d'accord avec leur manifeste."
Carnage : "Certes, cette Stella m'a paru bien sympathique, de plus il est
clair que cette compagnie a une grande âme. Et comme nos pas nous mènent
dans la même direction, il est toujours préférable de voyager avec des gens
dignes de confiance."
Les deux compères partent alors d'un bon train en direction du campement de
la compagnie.
Jin : "Holà, nobles aventuriers, nous demandons audience auprès de votre
chef car nous voudrions engager nos corps et nos esprits dans cette fière
compagnie."
Arrive alors Graat le nain qui examine les deux compères d'un oeil
scrutateur. Bien qu'à première vue complément différents, quelque chose dans
leur apparence retient l'attention. En effet : Jin est grand et musclé avec
des bras gros comme des troncs d'arbres. Bien que piètrement vêtu, il
rayonne de lui une puissance animale qui exprime le danger. Quand à l'autre,
il est vêtu d'une longue robe ornée de runes et doublée de fourrure, qui
contraste étonnement avec les frusques de son compagnon. Cependant,
contrairement à lui il semble plutôt faible et pâle, et il marche appuyé sur
un bâton au pommeau d'or représentant une lune.
Mais ce qu'il y a de plus étonnant et que Graat met quelque seconde à
comprendre c'est que les deux aventuriers ont exactement le même visage. Il
ne fait aucun doute qu'ils sont frères, malgré le fait que l'aura qui rayonne d'eux
soit tout à fait différente.
Graat : "Que voila de bien étranges oiseaux de voyage. Mais nous n'avons
pas
pour habitude de refuser l'hospitalité dans la Compagnie, suivez moi donc,
je vais vous guider"
Il les mena directement à la plus grande tente du campement et les invita à
entrer.
Stella Artmuir : "Bienvenue dans la compagnie nobles voyageurs, je me
prénomme Stella Artmuir et suis régente de ces lieux, prenez place et
présentez vous je vous en prie."
Jin : "Salut a toi belle dame, je suis Jin et voila mon frère Carnage. Nous
sommes ravis de faire ta connaissance."
Stella riant doucement : "Ne t'y méprend pas je suis aussi belle que
l'aurore mais aussi dangereuse que le feu. Mais ton frère a un nom bien
étrange... D'où venez vous ?"
Jin : "Ah, c'est une longue histoire que je vais raconter dans les grandes
lignes maintenant. Sache que nous venons de par delà les montagnes et le
grand désert blanc dans lequel nul ne vit. Notre histoire commence le jour
de notre naissance, car frères de sang nous sommes, nés de la même mère le
même jour. Mais frères de destin nous ne sommes pas. Premier né, fort et
beau, je fut acclamé ; né en second faible et malingre, emportant la vie de
notre mère, Carnage fut haï.
Mais ce ne fut pas les principales causes de la haine collective. En effet
il y a maintes générations il a été prophétisé qu'un jour dans notre maison
naîtrait un enfant maudit qui apporterait le malheur sur le clan tout
entier. Personne ne se douta que ce fut lui au début, et notre enfance fut
plutôt calme à grandir parmi les autres enfants. Même si elle a été plus
dure pour mon frère sujet à de constantes railleries de la part des autres.
J'appris le maniement des armes tant dis que mon frère, trop faible pour se
battre, se lança
dans l'étude de la magie. Mais lors de notre 17eme anniversaire la
malédiction nous rattrapa, et sans le vouloir, lors d'une cérémonie de magie
mon frère fit une erreur, normalement bénigne. Celle-ci, par un coup du
destin et un hasard incroyable, déchira le voile de la réalité
et permis à une horde de démons de venir dans notre plan d'existence. Ils
massacrèrent tout le clan et seule une poignée d'entre nous réussit à
s'enfuir.
Nous fûmes rejetés par les survivants, et nous décidâmes dès lors de tout
faire pour réparer notre faute.
Carnage pris pour la première fois la parole et parla d'une voie rocailleuse
: "A partir de ce moment je pris le nom de Carnage pour ne jamais oublier
ma
malédiction ni le fait que je fut responsable de tant de mort car je porte
en moi leurs cris de douleurs et d'agonie."
Jin : "Ainsi à partir de ce moment nous consacrâmes nos vies à combattre
les
hordes démoniaques et à préserver la justice. Après de nombreuses années et
maintes aventures que je ne raconterais pas, la horde fût renvoyée dans son
plan, grâce notamment à de nombreux
guerriers qui donnèrent leur vie pour cette cause. Alors que nous célébrions
la victoire, nos coeurs étaient encore sombre. La malédiction avait-elle
enfin disparu ? Nous ne pouvions en être sûr. C'est pourquoi quand, peu de
temps après, nous entendîmes de lointaines rumeurs sur un royaume appelé
Delain, nous décidâmes de repartir. Notre vie est dédiée à la guerre pour la
justice, et nous ne pouvons pas connaître d'autre repos."
Stella Artmuir : "Voila une bien belle histoire, et je pense que vous avez
votre place dans notre compagnie, mais il me faut d'abord consulter mes
compagnons."
- Stella Artmuir
- Gros bill du forum
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- Inscription : 03 nov. 2003 22:15
Stella se retira dans une tente proche, dans laquelle la rejoignirent plusieurs membres de la Compagnie.
Dès qu’ils furent en nombre représentatif, elle commença à parler : « Comme à notre habitude, je vous propose de débattre de l’entrée dans la guilde de deux nouveaux arrivants, Jin et Carnage nouvellement arrivés. »
Ils s’assirent en rond, sur le sol, lequel était recouvert de tapis et de coussins. Cette tente était agencée comme un boudoir, un lieu de réunion chaleureux pour tous les membres de la Compagnie.
Elle continua : « Il est vrai que ce nom : Carnage, peut porter à confusion, et entraîner un jugement hâtif qui serait erroné. J’ai écouté leur histoire, toi aussi Graat, et je pense qu’ils sont dignes de toute la confiance que l’on pourrait leur porter. Nos idéaux se rejoignent suffisamment pour que nous puissions les incorporer à la guilde pour notre bien à tous. Je les sens tout à fait ouverts à nos enseignements, tout comme nous pourrons apprendre d’eux.
Dans l’assistance, une voix grave s’élève : « Plus particulièrement, concernant ce nom de Carnage, peut-on savoir d’où vient ce surnom. »
Stella Artmuir : « Bien sur Khrô le bô, je vous dois cette explication… Graat, reprend moi si j’en oublie. »
Et elle se mit à relater l’histoire qu’elle avait entendue de la voix de Jin à l’assistance. A la fin, toutes les personnes présentes dans la tente étaient captivées par le récit.
Stella Artmuir : « Maintenant, chers amis, j’en appelle à votre décision les concernant : acceptez vous oui ou non leur entrée dans la Compagnie ? »
L’amitié qui liait toutes les personnes dans la tente était si ancienne, et si forte, que personne n’aurait pu concevoir de la gène à voter devant tous, et les décisions étaient donc prises par vote à la main levée. Certains se demandaient si cette histoire de malédiction pourrait être tragique à la Compagnie.
Les participants au vote sortirent de la tente, Stella Artmuir et Graat en dernier. Ils se dirigèrent vers les deux frères.
Stella pris la parole : « Très bien, je crois que nous pouvons dès à présent vous annoncer la nouvelle. Vous êtes tous deux admis dans la Compagnie du Ni. Puisse le Ni désormais guider vos pas et vos actions. Venez mes amis, nous allons fêter cela. »
Un petit banquet s’ensuivit, lequel réunissait tous les membres de la Compagnie. Les nouveaux arrivants furent présenté à tous, et s’ensuivit un buffet festif. Certains jouaient de la musique, d’autres dansaient. Les conversations acharnées s’établissaient de toute part, traitant de tout ou de rien. Il fut maintes fois expliqué à Jin et Carnage les voies qu’ils devaient respecter dans la guilde. On les tint informé de ce que la guilde autorisait, ou ne cautionnait pas. S’ensuit toute un débat sur les principes du Ni, la manière dont il guidait la vie de la Compagnie, et la façon dont celle-ci l’honorait.
« Il ne faut pas confondre la notion du Ni avec une quelconque perspective religieuse. Nous ne sommes pas du tout regardant sur ces questions d’appartenance religieuse. Le concept du Ni, pour moi, transcende toute religion et divinité. Mais cette opinion m’est très personnelle, et je sais pertinemment qu’elle ne peut convenir à tout le monde. »
« A vrai dire, le Ni peut tout à fait s’additionner à la majorité des traditions religieuses actuelles, tant il prêche la générosité, la tolérance et l’entraide. C’est une sorte d’idéologie que nous suivons par choix, et non par devoir. L’acceptation du Ni passe par toute une remise en question, et un cheminement intellectuel approfondi. C’est un véritable parcours personnel. »
« Je suis tout à fait d’accord avec toi. D’ailleurs, le Ni ne répond pas explicitement aux questions qui sont les plus importants motifs d’appel à la croyance religieuse : la création et la vie. C’est plutôt un état d’esprit qui nous aide à bien profiter de cette vie dont nous jouissons, qu’elle soit ou non à l’origine issue d’une création divine. »
« Et de toute façon, quel besoin réel avons-nous de savoir d’où nous venons, quelles sont nos plus lointaines origines. Pour ma part, je vis très bien en estimant ma présence ici bas comme étant issue d’un hasard incroyable. Cela ne me rabaisse pas le moindre, et pourtant, cela m’évite nombre d’interrogations quant à une éventuelle puissance transcendantale. Le plus important est, comme tu disais de mener notre vie du mieux que nous le pouvons, pour nous et pour tous ceux qui nous entourent. »
La fête dura jusque tard dans la soirée, les villageois avaient étés invités, en échange de leur participation. Et ceux-ci étaient venus nombreux, apportant avec eux nombreux plats tous plus délicieux les uns que les autres, nombreuses boissons maltées… Et le soleil c’était couché depuis plusieurs heures quand les participants commencèrent à se diriger vers leurs tentes.
Ce soir, le campement compterai une tente supplémentaire.
Dès qu’ils furent en nombre représentatif, elle commença à parler : « Comme à notre habitude, je vous propose de débattre de l’entrée dans la guilde de deux nouveaux arrivants, Jin et Carnage nouvellement arrivés. »
Ils s’assirent en rond, sur le sol, lequel était recouvert de tapis et de coussins. Cette tente était agencée comme un boudoir, un lieu de réunion chaleureux pour tous les membres de la Compagnie.
Elle continua : « Il est vrai que ce nom : Carnage, peut porter à confusion, et entraîner un jugement hâtif qui serait erroné. J’ai écouté leur histoire, toi aussi Graat, et je pense qu’ils sont dignes de toute la confiance que l’on pourrait leur porter. Nos idéaux se rejoignent suffisamment pour que nous puissions les incorporer à la guilde pour notre bien à tous. Je les sens tout à fait ouverts à nos enseignements, tout comme nous pourrons apprendre d’eux.
Dans l’assistance, une voix grave s’élève : « Plus particulièrement, concernant ce nom de Carnage, peut-on savoir d’où vient ce surnom. »
Stella Artmuir : « Bien sur Khrô le bô, je vous dois cette explication… Graat, reprend moi si j’en oublie. »
Et elle se mit à relater l’histoire qu’elle avait entendue de la voix de Jin à l’assistance. A la fin, toutes les personnes présentes dans la tente étaient captivées par le récit.
Stella Artmuir : « Maintenant, chers amis, j’en appelle à votre décision les concernant : acceptez vous oui ou non leur entrée dans la Compagnie ? »
L’amitié qui liait toutes les personnes dans la tente était si ancienne, et si forte, que personne n’aurait pu concevoir de la gène à voter devant tous, et les décisions étaient donc prises par vote à la main levée. Certains se demandaient si cette histoire de malédiction pourrait être tragique à la Compagnie.
Les participants au vote sortirent de la tente, Stella Artmuir et Graat en dernier. Ils se dirigèrent vers les deux frères.
Stella pris la parole : « Très bien, je crois que nous pouvons dès à présent vous annoncer la nouvelle. Vous êtes tous deux admis dans la Compagnie du Ni. Puisse le Ni désormais guider vos pas et vos actions. Venez mes amis, nous allons fêter cela. »
Un petit banquet s’ensuivit, lequel réunissait tous les membres de la Compagnie. Les nouveaux arrivants furent présenté à tous, et s’ensuivit un buffet festif. Certains jouaient de la musique, d’autres dansaient. Les conversations acharnées s’établissaient de toute part, traitant de tout ou de rien. Il fut maintes fois expliqué à Jin et Carnage les voies qu’ils devaient respecter dans la guilde. On les tint informé de ce que la guilde autorisait, ou ne cautionnait pas. S’ensuit toute un débat sur les principes du Ni, la manière dont il guidait la vie de la Compagnie, et la façon dont celle-ci l’honorait.
« Il ne faut pas confondre la notion du Ni avec une quelconque perspective religieuse. Nous ne sommes pas du tout regardant sur ces questions d’appartenance religieuse. Le concept du Ni, pour moi, transcende toute religion et divinité. Mais cette opinion m’est très personnelle, et je sais pertinemment qu’elle ne peut convenir à tout le monde. »
« A vrai dire, le Ni peut tout à fait s’additionner à la majorité des traditions religieuses actuelles, tant il prêche la générosité, la tolérance et l’entraide. C’est une sorte d’idéologie que nous suivons par choix, et non par devoir. L’acceptation du Ni passe par toute une remise en question, et un cheminement intellectuel approfondi. C’est un véritable parcours personnel. »
« Je suis tout à fait d’accord avec toi. D’ailleurs, le Ni ne répond pas explicitement aux questions qui sont les plus importants motifs d’appel à la croyance religieuse : la création et la vie. C’est plutôt un état d’esprit qui nous aide à bien profiter de cette vie dont nous jouissons, qu’elle soit ou non à l’origine issue d’une création divine. »
« Et de toute façon, quel besoin réel avons-nous de savoir d’où nous venons, quelles sont nos plus lointaines origines. Pour ma part, je vis très bien en estimant ma présence ici bas comme étant issue d’un hasard incroyable. Cela ne me rabaisse pas le moindre, et pourtant, cela m’évite nombre d’interrogations quant à une éventuelle puissance transcendantale. Le plus important est, comme tu disais de mener notre vie du mieux que nous le pouvons, pour nous et pour tous ceux qui nous entourent. »
La fête dura jusque tard dans la soirée, les villageois avaient étés invités, en échange de leur participation. Et ceux-ci étaient venus nombreux, apportant avec eux nombreux plats tous plus délicieux les uns que les autres, nombreuses boissons maltées… Et le soleil c’était couché depuis plusieurs heures quand les participants commencèrent à se diriger vers leurs tentes.
Ce soir, le campement compterai une tente supplémentaire.
We are the Knights who say Ni.
En ce jour nul ne put estimer l'impact réel de la déclamation sur la foule. Peut-être le monde ne serait-il plus jamais comme avant. Peut-être aussi que rien n'allait changer.
La seule chose que je sache est qu'il fit sur moi grande impression. Bien que ne possédant pas de grands principes particuliers, j'eu envi de suivre un tel chef. Je ne me souciait d'ailleurs pas de savoir si je partageais ses idées. Son charisme m'avait touché et c'est tout ce qui comptait. Je me résolu donc à me rendre auprès des campement de la compagnie, suivant pour la première fois cette personne qui me faisait tant penser à la divine Sélène qui protège les nuits du pays d'où je viens. Je me disais que je n'y allais que pour au moins apprendre le nom de la charmante créature, mais quelquechose en moi me disais que mon destin était en marche.
Puisque le campement se situait à l'extérieur de la ville, j'eu tout loisir en route de repenser au magistral discours. Je souris en pensant à cette négation du droit de propriété que j'avais si souvent appliqué dans ma vie... Je me garderai bien de le leur dire mais il est dans l'ordre des choses que les objets aillent aux plus rusés.
J'arrivai aux tentes. Elles me parurent bien modeste pour abriter de si grandes idées mais qu'importe. Je m'enquéris alors auprès d'une des personnes présentes du nom de la princesse qui venait de parler de si belle manière en place publique. Stella Artmuir, puisque c'était son nom me répondit elle même de l'intérieur d'une tente avec cette voix puissante et douce qui m'avait séduit quelques instants auparavant.
Elle m'invita à entrer, ce que je fis, puis posant le genoux à terre je me présentai: "ces jambes et ces bras sont à peu près les seules choses que j'ai pu sauver du pays d'où je viens et dont le nom, de peu d'importance tombe peu à peu dans l'oubli. Aussi je souhaite qu'eux au moins ne soient pas perdus et pour cela les mettre, gente demoiselle, à votre service et à celle de vos amis qui seront à n'en point douter, très vite les miens. "
"J'ai quitté mon pays où l'aventure se tarrissait et suis donc sans attaches aucune en ces contrées si éloignées des miennes. Si vous acceptez que je sois à vos côtés, vous deviendrez mon premier lien par ici, pour cette raison, ma fidelité sera sans faille"
"Avant de vous prononcer, vous devez savoir que j'ai toujours profiter entièrement de ma liberté qui a mes yeux n'a pas de prix, c'est pourquoi je la défendrais bec et ongle si je l'estime un instant menacée quitte à débattre des jours s'il le faut, mais si un danger se fait sentir, je serai toujours de votre côté"
Je pris un peu plus tard et à grand regret congé de cette charmante compagnie, le temps pour eux de se prononcer sur leurs intentions à mon égard. Je restai alors à portée de voix, comme je leur avait annoncé, et m'occupait en rêvassant et discutant avec les nouveaux arrivant. Parmi eux j'eu le plaisir de rencontrer deux cousins et amis, issus de contrées proches des miennes: le puissant guerrier Bob le Chevelu accompagné du sage Roger le caillou qui venaient semble-t-il pour les mêmes raisons que moi.
J'ai dû alors les surprendre beaucoup car ils me virent me mettre en marche vers eux puis, au moment où ils me sourirent, faire soudain volte face et courrir vers une des tentes. C'est que en me rappelant leurs nom, je me rendis compte que j'avais oublié de donner le mien.
La fin de ma course me précipita dans la tente de Stella Artmuir dans une chutte magistrale à laquelle les tentures ne résitèrent sans doute que par un grand miracle. Je fis ainsi une entrée fracassante, droit sur la bassine métallique où la princesse nue prenait son bain et en hurlant: " au fait, je m'appelle Epoxyde". Je ressortis aussitôt en éclatant de rire. Et me disant que les aventures dans ces contrées commençaient décidemment sous les meilleurs auspices.
La seule chose que je sache est qu'il fit sur moi grande impression. Bien que ne possédant pas de grands principes particuliers, j'eu envi de suivre un tel chef. Je ne me souciait d'ailleurs pas de savoir si je partageais ses idées. Son charisme m'avait touché et c'est tout ce qui comptait. Je me résolu donc à me rendre auprès des campement de la compagnie, suivant pour la première fois cette personne qui me faisait tant penser à la divine Sélène qui protège les nuits du pays d'où je viens. Je me disais que je n'y allais que pour au moins apprendre le nom de la charmante créature, mais quelquechose en moi me disais que mon destin était en marche.
Puisque le campement se situait à l'extérieur de la ville, j'eu tout loisir en route de repenser au magistral discours. Je souris en pensant à cette négation du droit de propriété que j'avais si souvent appliqué dans ma vie... Je me garderai bien de le leur dire mais il est dans l'ordre des choses que les objets aillent aux plus rusés.
J'arrivai aux tentes. Elles me parurent bien modeste pour abriter de si grandes idées mais qu'importe. Je m'enquéris alors auprès d'une des personnes présentes du nom de la princesse qui venait de parler de si belle manière en place publique. Stella Artmuir, puisque c'était son nom me répondit elle même de l'intérieur d'une tente avec cette voix puissante et douce qui m'avait séduit quelques instants auparavant.
Elle m'invita à entrer, ce que je fis, puis posant le genoux à terre je me présentai: "ces jambes et ces bras sont à peu près les seules choses que j'ai pu sauver du pays d'où je viens et dont le nom, de peu d'importance tombe peu à peu dans l'oubli. Aussi je souhaite qu'eux au moins ne soient pas perdus et pour cela les mettre, gente demoiselle, à votre service et à celle de vos amis qui seront à n'en point douter, très vite les miens. "
"J'ai quitté mon pays où l'aventure se tarrissait et suis donc sans attaches aucune en ces contrées si éloignées des miennes. Si vous acceptez que je sois à vos côtés, vous deviendrez mon premier lien par ici, pour cette raison, ma fidelité sera sans faille"
"Avant de vous prononcer, vous devez savoir que j'ai toujours profiter entièrement de ma liberté qui a mes yeux n'a pas de prix, c'est pourquoi je la défendrais bec et ongle si je l'estime un instant menacée quitte à débattre des jours s'il le faut, mais si un danger se fait sentir, je serai toujours de votre côté"
Je pris un peu plus tard et à grand regret congé de cette charmante compagnie, le temps pour eux de se prononcer sur leurs intentions à mon égard. Je restai alors à portée de voix, comme je leur avait annoncé, et m'occupait en rêvassant et discutant avec les nouveaux arrivant. Parmi eux j'eu le plaisir de rencontrer deux cousins et amis, issus de contrées proches des miennes: le puissant guerrier Bob le Chevelu accompagné du sage Roger le caillou qui venaient semble-t-il pour les mêmes raisons que moi.
J'ai dû alors les surprendre beaucoup car ils me virent me mettre en marche vers eux puis, au moment où ils me sourirent, faire soudain volte face et courrir vers une des tentes. C'est que en me rappelant leurs nom, je me rendis compte que j'avais oublié de donner le mien.
La fin de ma course me précipita dans la tente de Stella Artmuir dans une chutte magistrale à laquelle les tentures ne résitèrent sans doute que par un grand miracle. Je fis ainsi une entrée fracassante, droit sur la bassine métallique où la princesse nue prenait son bain et en hurlant: " au fait, je m'appelle Epoxyde". Je ressortis aussitôt en éclatant de rire. Et me disant que les aventures dans ces contrées commençaient décidemment sous les meilleurs auspices.
c'est signer
- Stella Artmuir
- Gros bill du forum
- Messages : 1081
- Inscription : 03 nov. 2003 22:15
Tout juste habillée, Stella sorti de sa tente et se dirigea vers Epoxyde, lequel avait fini par rejoindre ses amis.
Stella dit, en esquissant un sourire : « Eh bien, messire, vous m’aviez l’air quelque peu empêtré, à l’instant. Mais il était en effet important que je connaisse votre nom, avant de pouvoir vous présenter à mes compagnons. Je vous saurais gré de vous montrer plus calme et réfléchi à l’avenir. »
Elle s’éloigna en retenant un petit rire, et s’en retourna à la tente de réunion. Comme ils l’avaient fait pas plus tard que la veille, les membres de la Compagnie se regroupèrent, et commencèrent les discussions.
Stella pris la parole : « Je suis à la fois étonnée et ravie : notre déclamation dans ce village semble avoir particulièrement porté ses fruits. Je me souviens de bien des fois où nous n’avions pas étés aussi bien accueillis, ni autant sollicités. Sans doute le fait de se rapprocher de la cité de Delain est mêlé à cela. Les aventuriers se retrouvent naturellement là où aventure il y a. Si ces trois jeunes gens sont acceptés, cela montera à cinq le nombre des nouveaux affiliés. »
« Sur ce point je voudrait prendre la parole. » dit Graat, « Je ne voudrais pas que nous soyons débordés par les nouveaux arrivants. Cela n’a rien contre Epoxyde et ses amis, Bob et Roger, mais je m’interroge plus particulièrement sur notre faculté à leur enseigner à tous les préceptes du Ni. »
Stella : « Je pense que nous pouvons y arriver. A la limite, si cela devient dur, ce ne sera qu’un défi de plus que nous nous devons de remporter. Nous le devons au Ni d’abord, et à ces jeunes gens de bons cœur qui se sont spontanément présentés à nous. Et nous nous le devons aussi à nous-mêmes. A l’heure actuelle, les préceptes que nous suivons nous permettent d’aborder la vie d’un point de vue très positif, et donc de très bien vivre nos existences. Devrions nous empêcher d’autres personnes, dans la limite du fait qu’ils soient volontaires, d’accéder à cette sérénité ?
Je sais bien que ce n’est pas ce que tu voulais dire Graat, il n’est aucunement question d’en empêcher qui que ce soit, mais plutôt de savoir si nous pourrons correctement les guider. Je pense que nous devons le faire, et que nous pourrons facilement y arriver, en y mettant toute notre volonté. Et ce même si d’autres nouveaux arrivants se présentent encore aujourd’hui. "
Graat : « Tes bonnes paroles mon convaincu, comme elles convaincraient toute personne sensée. Je t’en remercie. Dans ce cas, je suis pour leur acceptation dans notre groupe. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir, voire même un peu plus, pour les former. Vive le Ni !»
Les autres compagnons avaient suivis la discussion avec intérêt, acquiescent à l’écoute des différents arguments. Mais à la fin, leurs doutes étaient levés, et ils savaient où résidait la bonne voie.
« Nous le pouvons, nous le devons et nous allons le faire. Gloire à la Compagnie ! », s’exclama l’un d’entre eux. »
« Gloire à la Compagnie, vive le Ni ! » reprirent-ils tous en cœur.
Au sortir de la tente, Stella se rendit bien compte que les trois amis, s’ils n’avaient pas entendu toute la conversation, en avaient au moins compris l’issue.
« Messieurs, j’ai le plaisir de vous inviter dans notre Compagnie. Tout le monde vous a accepté, et nous n’allons pas tarder à faire les présentations. »
« Mais d’abord, j’aimerais que vous rencontriez deux nouveaux arrivants qui nous ont rejoints la veille. » dit-elle en montrant Jin et Carnage qui discutaient avec d’autres membres du groupe, devant un bon verre.
« Vous devez savoir que l’acceptation dans notre groupe vous pousse à suivre certaines obligations, celles que j’ai énumérées hier sur la place du village. Nous vous guiderons dans l’apprentissage que ferez des concepts du Ni, et de ce que nous en tirons comme enseignements. Sur ce, je vous laisse en compagnie de Graat qui va vous présenter aux autres membres du groupe. A bientôt. »
Stella dit, en esquissant un sourire : « Eh bien, messire, vous m’aviez l’air quelque peu empêtré, à l’instant. Mais il était en effet important que je connaisse votre nom, avant de pouvoir vous présenter à mes compagnons. Je vous saurais gré de vous montrer plus calme et réfléchi à l’avenir. »
Elle s’éloigna en retenant un petit rire, et s’en retourna à la tente de réunion. Comme ils l’avaient fait pas plus tard que la veille, les membres de la Compagnie se regroupèrent, et commencèrent les discussions.
Stella pris la parole : « Je suis à la fois étonnée et ravie : notre déclamation dans ce village semble avoir particulièrement porté ses fruits. Je me souviens de bien des fois où nous n’avions pas étés aussi bien accueillis, ni autant sollicités. Sans doute le fait de se rapprocher de la cité de Delain est mêlé à cela. Les aventuriers se retrouvent naturellement là où aventure il y a. Si ces trois jeunes gens sont acceptés, cela montera à cinq le nombre des nouveaux affiliés. »
« Sur ce point je voudrait prendre la parole. » dit Graat, « Je ne voudrais pas que nous soyons débordés par les nouveaux arrivants. Cela n’a rien contre Epoxyde et ses amis, Bob et Roger, mais je m’interroge plus particulièrement sur notre faculté à leur enseigner à tous les préceptes du Ni. »
Stella : « Je pense que nous pouvons y arriver. A la limite, si cela devient dur, ce ne sera qu’un défi de plus que nous nous devons de remporter. Nous le devons au Ni d’abord, et à ces jeunes gens de bons cœur qui se sont spontanément présentés à nous. Et nous nous le devons aussi à nous-mêmes. A l’heure actuelle, les préceptes que nous suivons nous permettent d’aborder la vie d’un point de vue très positif, et donc de très bien vivre nos existences. Devrions nous empêcher d’autres personnes, dans la limite du fait qu’ils soient volontaires, d’accéder à cette sérénité ?
Je sais bien que ce n’est pas ce que tu voulais dire Graat, il n’est aucunement question d’en empêcher qui que ce soit, mais plutôt de savoir si nous pourrons correctement les guider. Je pense que nous devons le faire, et que nous pourrons facilement y arriver, en y mettant toute notre volonté. Et ce même si d’autres nouveaux arrivants se présentent encore aujourd’hui. "
Graat : « Tes bonnes paroles mon convaincu, comme elles convaincraient toute personne sensée. Je t’en remercie. Dans ce cas, je suis pour leur acceptation dans notre groupe. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir, voire même un peu plus, pour les former. Vive le Ni !»
Les autres compagnons avaient suivis la discussion avec intérêt, acquiescent à l’écoute des différents arguments. Mais à la fin, leurs doutes étaient levés, et ils savaient où résidait la bonne voie.
« Nous le pouvons, nous le devons et nous allons le faire. Gloire à la Compagnie ! », s’exclama l’un d’entre eux. »
« Gloire à la Compagnie, vive le Ni ! » reprirent-ils tous en cœur.
Au sortir de la tente, Stella se rendit bien compte que les trois amis, s’ils n’avaient pas entendu toute la conversation, en avaient au moins compris l’issue.
« Messieurs, j’ai le plaisir de vous inviter dans notre Compagnie. Tout le monde vous a accepté, et nous n’allons pas tarder à faire les présentations. »
« Mais d’abord, j’aimerais que vous rencontriez deux nouveaux arrivants qui nous ont rejoints la veille. » dit-elle en montrant Jin et Carnage qui discutaient avec d’autres membres du groupe, devant un bon verre.
« Vous devez savoir que l’acceptation dans notre groupe vous pousse à suivre certaines obligations, celles que j’ai énumérées hier sur la place du village. Nous vous guiderons dans l’apprentissage que ferez des concepts du Ni, et de ce que nous en tirons comme enseignements. Sur ce, je vous laisse en compagnie de Graat qui va vous présenter aux autres membres du groupe. A bientôt. »
We are the Knights who say Ni.
- Khrô le Bô
- Tueur de rats
- Messages : 2417
- Inscription : 28 août 2003 03:03
Au cours du repas qui suivit, Jin remarqua un vieux nain à l'air maussade assis comme la veille quelque peu à l'écart, portant à intervalles réguliers sa chope d'hydromel à ses lèvres. Il semblait perdu dans ses pensées, et ne pris part à aucune des discussion émaillant le souper. Ce qui marqua Jin, c'était son aspect : il semblait bien vieux, même pour un nain, et sur ses traits semblait se lire une expérience de la vie et de ses aléas à nulle autre pareils. Bien souvent, il passait une main songeuse dans sa longue barbe rousse, comme pour la lisser encore. Sa barbe et ses cheveux étaient tressés de fils d'or et d'argent, et parsemés de perles des mêmes métaux. Un mineur peut-être, se dit Jin, qui voyait pour la première fois un tel accoutrement. La soirée se termina, et Jin décida de l'accoster :
Jin : Bonsoir à vous, je suis ravi d'avoir été accueilli par votre compagnie, puissions nous partager des moments inoubliables! Je me présente, Jin, heureux de vous connaitre.
Le nain : bienvenu parmi nous, mon garçon. Mais ne te méprend pas, ce ne sera pas de tous repos.
Il avait un air bourru, et parlait d'une voix lasse. Mais malgré cela, de lui se dégageait immédiatement une aura de grande sagesse et de confiance.
le nain : mon nom est Khrô le Bô, mais tu peux m'appeler Khrô.
Jin : il y a longtemps que vous avez rejoint cette compagnie? Stella semblait semblait vous tenir en haute estime.
Khrô : disons que j'en suis depuis son origine. J'ai rencontré Stella et Graat alors qu'ils recherchaient de premiers compagnons pour les suivres dans leur entreprise. Nous ne nous connaissions pas personnellement auparavant, mais disons que, hum, nous avons une histoire commune. J'ai décidé de les rejoindre, pensant que nous n'étions pas seuls dans ces contrés, et que certains des notres pourraient avoir besoin d'aide lors de leur arrivée, comme ce fut le cas pour moi.
Derrière son air bougon, on sentait bien qu'il suffisait de le mettre en confiance pour l'entendre des heures...
Jin : comment ça, vous ne venait pas de ces régions?
Khrô : eh bien, disons que c'est une longue histoire... Viens, allons nous assoir au sommet de la petite colline là haut, on les empêche de dormir.
Khrô s'addossa à un arbre, et sorti son outre d'hydromel.
Khrô : tiens, t'en veux un peu? Tu verras, ça réchauffe, et en ces temps, ça peut pas faire de mal.
Jin : volontier, merci. Je t'écoute.
Khrô fouilla un cours instant dans sa petite sacoche qui pendait toujours contre son flan droit. Il en sorti une petite pipe en terre, qu'il bourra minutieusement et alluma. Le regard perdu à l'horizon, il commenca à conter son histoire à Jin.
Khrô : vois-tu, nous ne venont pas de cette terre. Là d'où nous venons, les nains, elfes et humains vivent tous en captivités, sous le joug du perfide Balla. Et à notre grand malheur, nous ne pouvont rien y faire. Les rares à s'être révoltés ont été massacrés. Ses hordes démoniaques ne nous laissent aucun répit. Nous ne savons pourquoi notre monde en est arrivé là. Du temps de ma jeunesse, oh, il y a bien 3 siècles de cela, nous vivions tous paisiblement, en harmonie. Mais un jour, je devais avoir, je ne sais plus, 30 ans peut être, il est arrivé, et à utilisé sa perfidie pour corrompre certain d'entre nous. Et ceux qui n'acceptaient pas de le suivre subirent les foudres de sa colère. Il commença à exterminer tous les restes de potentiel magique de notre monde, car il lui semblait que seulement de là pouvait venir sa fin. Mais un sage, le Grand Ni, réussi à lui échapper, suffisament longtemps pour mettre au point ce qu'ici vous appelez des "portails", un passage entre notre monde et un autre plan d'existence. L'essence même de ce sage constitue ce passage, et grâce à lui, l'espoir peut vivre encore. Pour beaucoup, l'existence de ce passage n'est qu'une histoire destinée à nous donner le courage de survivre. Certains on même imaginé que ce pourrait être un subterfuge du Balla pour nous rendre plus productifs... Mais si je suis ici aujourd'hui, c'est bien que ce passage existe! Tous ce qu'il faut, c'est le trouver. Car il a la caractéristique de se déplacer constamment, à la recherche d'âmes en peine ayant réussi à ce défaire des liens mentaux l'aliénant au Balla.
Pour ma part, une fois de retour à l'air libre, j'ai erré quelques semaines dans une profonde forêt, me nourissant uniquement de racines et de baies et devant tous les jours me cacher, pour échapper aux troupes du Balla. J'arrivais à bout de forces, mon âge n'aidant pas, je voyais ma fin proche, quant un beau jour, ou plutôt un beau matin, alors que la veille encore je m'assoupissais sous le couvert d'un arbre, je me révéllai au bord d'un lac, dans ce que je su être plus tard votre monde. Je ne compris pas tout de suite ce qu'il se passait, sentant de l'eau ruisseler sur mon visage. Dès que j'ouvris les yeux, j'aperçut le visage divin d'une jeune elfe, encore un enfant, m'éponger le front délicatement. Lorsque elle me vis ouvrir les yeux, elle eut un brusque mouvement de recul. Je pris alors soin de ne faire que des mouvements doux, afin de la mettre en confiance. Il est vrai que mon aspect avait tout pour faire peur! Je me rendis compte alors que mes blessures étaient pensées, et que je me sentait revigoré... elle avait du me soigner pendant mon sommeil. Lorsque j'eu suffisamment repris mes esprits, j'essayais de lui dire quelques mots, espérants qu'elle les comprendrait. Mais les seuls sons qui purent sortir de ma bouches furent ceux-ci : merci... et à son air médusé je compris qu'elle ne comprenait pas ma langue... mais elle semblait pleine de ressources et àl'esprit particulièrement vif pour son âge. Elle se pointa d'un doigt fin et gracieux, et prononca ce que je compris être son nom : Nightwish. Je fis de même, "Khrô", et voyant nos postures ridicules, nous éclatâmes de rires. Ce n'est que bien plus tard qu'elle me surnomma "Bô"...
Elle me fit comprendre par signes que son village n'était pas bien loin, mais que je n'y était pas le bienvenu... - Qu'avait je gagner à arriver dans ce nouveau monde? - elle m'indiqua de la suivre, après s'être assurée que je tenais sur mes jambes. Nous marchâmes quelques instant, suffisamment pour que je sente la fatigue m'envahir de nouveau. C'était une fôret très dense, où une multitude d'oiseaux s'en donnaient à coeur joie. Il devait bien être la mi-journée, le soleil semblait être à son zénith. C'était étrange, ce monde ressemblait à celui de mes souvenirs, avant que je ne soit réduit en esclavage... Elle me conduisit à une petite grotte, difficilement accessible et indétectable pour qui ne la connait pas. Elle me fit signe d'attendre, et revint quelques instant plus tard avec quelques fruits, que j'avalais goulument, la faisant sourire. Une grande amitié naquit ce jour. Elle revint me voir plusieurs foirs par jours les jours qui suivirent, pour s'assurer que ma guérison était en bonne voie, mais aussi et surtout pour partager avec moi des moments inoubliables... C'est d'elle que j'ai appris les quelques rudiments de votre langue qui me permettent de communiquer avec vous aujourd'hui. Je la considérais comme la fille que je n'avais jamais eu. Elle me raconta les légendes de son monde, et moi je lui donnai le gout de l'aventure, même si je ne l'avais connue que par sa facette la plus sombre... Mais elle m'apprit aussi que les nains n'était pas les bienvenu dans cette contrée, que bien des rumeurs - auxquelles elle ne prétait nulle attention - racontaient qu'il s'étaient liés avec un certain Malkiar... Où que l'on soit, on ne peut pas échapper au mal me dis-je. Elle me dit que je devait rester caché, les villageois ne s'aventurant que peu dans ce coin, ou partir (et à ces derniers mots, je vis des larmes perler aux coins de ses beaux yeux noirs). Les autres habitants de son village verraient d'un très mauvaise oeil ma présence si près d'eux, surtout que depuis quelques temps les villages alentours commencaient à subir les assauts des séides de Malkiar... Je décidait de reste encore quelques temps ici, n'ayant de toutes façon nulle part où aller. Je voulais de plus prendre le temps de réfléchir sur ce monde étrange, où il me semblait sentir la présence du Ni...
Mais un beau jour, je fus réveillé par des cris et une odeur de fumée emplissant ma caverne, qui semblaient venir du village... Et là je compris. je compris surtout qu'il était déjà peut-être trop tard pour sauver Nightwish. Je me relevais, et courru du plus vite que me le permettaient mes courtes jambes. Mon aide était bien puérille, je n'avait pas encore recouvré toute ma vigueur, et n'avais aucune arme. Ce que je vis me consterna : le village en flamme, des corps mutilés jonchant le sol, mais surtout EUX, des ombres démoniaques montées sur des chiens ardents, en train de massacré allègrement toutes les elfes du village... je poussais mon cri de guerre, sue je n'avais plus entendu sortir de ma bouche depuis ma captivités : "Ni, supporte mon bras", et je me jetais sur l'un deux, criant " Où est Nightwish! qu'avait vous fait d'elle?". Mais je me rendis vite compte de mon impuissance, et après une lutte acharnée, je me retrouvais au sol, une profonde entaille au flan gauche réveillant toutes mes anciennes blessures. Avant de ne perdre connaissances, je n'eu que le temps de voir Nightwish me crier "Bô, aides moi! Ne m'abandonne pas!", enlevée par une ombre...
Lorsque je repris mes esprits, j'étais sous une tente, soigné par une jeune femme que je sus plus tard être Stella. Par un hasard incroyable, je venais d'être sauvé par quelqu'un de mon monde. Nous décidâmes alors de parcourir ce monde ensemble, et de rechercher des braves prêt à défaire Malkiar. Nous ne voulions pas que notre histoire ce reproduise ici! Voilà où nous en somme, cela fait quelques semaines maintenant que je les accompagne. Mais maintenant que l'on se rapproche des souterrains où se terre malkiar, je vais devoir les quitter afin de retrouver Nightwish, qui, j'en suis persuadé, est retenue en ces lieux! je tiendrais ma promesse...
Jin : ta promesse?
Khrô : peu importe. Je vois que tu m'as écouté jusqu'au bout... c'est une bonne chose que tu ais grossi nos rangs. Aller, vas te reposer maintenant, il se fait tard.
Jin : juste une dernière question Khrô. Ton "accoutrement"...
Khrô : ah ça... c'est un souvenir d'elle.
Jin : je pensais que ça avait rapport à... comment dire... que tu étais mineur ou quelque chose dans le genre avant...
Khrô : tu ne te trompes pas, du temps où j'étais encore un esclave, je travaillais aux mines de Balla, à l'extraction du Dhouze, un minerai qui lui était indispensable pour la réalisation d'un nouveau maléfice, dit plommhe. Aller, à demain, il faudra se lever de bonne heure...
Khrô passa encore de longues heures à comtemple le ciel étoilé à penser à elle...
Jin : Bonsoir à vous, je suis ravi d'avoir été accueilli par votre compagnie, puissions nous partager des moments inoubliables! Je me présente, Jin, heureux de vous connaitre.
Le nain : bienvenu parmi nous, mon garçon. Mais ne te méprend pas, ce ne sera pas de tous repos.
Il avait un air bourru, et parlait d'une voix lasse. Mais malgré cela, de lui se dégageait immédiatement une aura de grande sagesse et de confiance.
le nain : mon nom est Khrô le Bô, mais tu peux m'appeler Khrô.
Jin : il y a longtemps que vous avez rejoint cette compagnie? Stella semblait semblait vous tenir en haute estime.
Khrô : disons que j'en suis depuis son origine. J'ai rencontré Stella et Graat alors qu'ils recherchaient de premiers compagnons pour les suivres dans leur entreprise. Nous ne nous connaissions pas personnellement auparavant, mais disons que, hum, nous avons une histoire commune. J'ai décidé de les rejoindre, pensant que nous n'étions pas seuls dans ces contrés, et que certains des notres pourraient avoir besoin d'aide lors de leur arrivée, comme ce fut le cas pour moi.
Derrière son air bougon, on sentait bien qu'il suffisait de le mettre en confiance pour l'entendre des heures...
Jin : comment ça, vous ne venait pas de ces régions?
Khrô : eh bien, disons que c'est une longue histoire... Viens, allons nous assoir au sommet de la petite colline là haut, on les empêche de dormir.
Khrô s'addossa à un arbre, et sorti son outre d'hydromel.
Khrô : tiens, t'en veux un peu? Tu verras, ça réchauffe, et en ces temps, ça peut pas faire de mal.
Jin : volontier, merci. Je t'écoute.
Khrô fouilla un cours instant dans sa petite sacoche qui pendait toujours contre son flan droit. Il en sorti une petite pipe en terre, qu'il bourra minutieusement et alluma. Le regard perdu à l'horizon, il commenca à conter son histoire à Jin.
Khrô : vois-tu, nous ne venont pas de cette terre. Là d'où nous venons, les nains, elfes et humains vivent tous en captivités, sous le joug du perfide Balla. Et à notre grand malheur, nous ne pouvont rien y faire. Les rares à s'être révoltés ont été massacrés. Ses hordes démoniaques ne nous laissent aucun répit. Nous ne savons pourquoi notre monde en est arrivé là. Du temps de ma jeunesse, oh, il y a bien 3 siècles de cela, nous vivions tous paisiblement, en harmonie. Mais un jour, je devais avoir, je ne sais plus, 30 ans peut être, il est arrivé, et à utilisé sa perfidie pour corrompre certain d'entre nous. Et ceux qui n'acceptaient pas de le suivre subirent les foudres de sa colère. Il commença à exterminer tous les restes de potentiel magique de notre monde, car il lui semblait que seulement de là pouvait venir sa fin. Mais un sage, le Grand Ni, réussi à lui échapper, suffisament longtemps pour mettre au point ce qu'ici vous appelez des "portails", un passage entre notre monde et un autre plan d'existence. L'essence même de ce sage constitue ce passage, et grâce à lui, l'espoir peut vivre encore. Pour beaucoup, l'existence de ce passage n'est qu'une histoire destinée à nous donner le courage de survivre. Certains on même imaginé que ce pourrait être un subterfuge du Balla pour nous rendre plus productifs... Mais si je suis ici aujourd'hui, c'est bien que ce passage existe! Tous ce qu'il faut, c'est le trouver. Car il a la caractéristique de se déplacer constamment, à la recherche d'âmes en peine ayant réussi à ce défaire des liens mentaux l'aliénant au Balla.
Pour ma part, une fois de retour à l'air libre, j'ai erré quelques semaines dans une profonde forêt, me nourissant uniquement de racines et de baies et devant tous les jours me cacher, pour échapper aux troupes du Balla. J'arrivais à bout de forces, mon âge n'aidant pas, je voyais ma fin proche, quant un beau jour, ou plutôt un beau matin, alors que la veille encore je m'assoupissais sous le couvert d'un arbre, je me révéllai au bord d'un lac, dans ce que je su être plus tard votre monde. Je ne compris pas tout de suite ce qu'il se passait, sentant de l'eau ruisseler sur mon visage. Dès que j'ouvris les yeux, j'aperçut le visage divin d'une jeune elfe, encore un enfant, m'éponger le front délicatement. Lorsque elle me vis ouvrir les yeux, elle eut un brusque mouvement de recul. Je pris alors soin de ne faire que des mouvements doux, afin de la mettre en confiance. Il est vrai que mon aspect avait tout pour faire peur! Je me rendis compte alors que mes blessures étaient pensées, et que je me sentait revigoré... elle avait du me soigner pendant mon sommeil. Lorsque j'eu suffisamment repris mes esprits, j'essayais de lui dire quelques mots, espérants qu'elle les comprendrait. Mais les seuls sons qui purent sortir de ma bouches furent ceux-ci : merci... et à son air médusé je compris qu'elle ne comprenait pas ma langue... mais elle semblait pleine de ressources et àl'esprit particulièrement vif pour son âge. Elle se pointa d'un doigt fin et gracieux, et prononca ce que je compris être son nom : Nightwish. Je fis de même, "Khrô", et voyant nos postures ridicules, nous éclatâmes de rires. Ce n'est que bien plus tard qu'elle me surnomma "Bô"...
Elle me fit comprendre par signes que son village n'était pas bien loin, mais que je n'y était pas le bienvenu... - Qu'avait je gagner à arriver dans ce nouveau monde? - elle m'indiqua de la suivre, après s'être assurée que je tenais sur mes jambes. Nous marchâmes quelques instant, suffisamment pour que je sente la fatigue m'envahir de nouveau. C'était une fôret très dense, où une multitude d'oiseaux s'en donnaient à coeur joie. Il devait bien être la mi-journée, le soleil semblait être à son zénith. C'était étrange, ce monde ressemblait à celui de mes souvenirs, avant que je ne soit réduit en esclavage... Elle me conduisit à une petite grotte, difficilement accessible et indétectable pour qui ne la connait pas. Elle me fit signe d'attendre, et revint quelques instant plus tard avec quelques fruits, que j'avalais goulument, la faisant sourire. Une grande amitié naquit ce jour. Elle revint me voir plusieurs foirs par jours les jours qui suivirent, pour s'assurer que ma guérison était en bonne voie, mais aussi et surtout pour partager avec moi des moments inoubliables... C'est d'elle que j'ai appris les quelques rudiments de votre langue qui me permettent de communiquer avec vous aujourd'hui. Je la considérais comme la fille que je n'avais jamais eu. Elle me raconta les légendes de son monde, et moi je lui donnai le gout de l'aventure, même si je ne l'avais connue que par sa facette la plus sombre... Mais elle m'apprit aussi que les nains n'était pas les bienvenu dans cette contrée, que bien des rumeurs - auxquelles elle ne prétait nulle attention - racontaient qu'il s'étaient liés avec un certain Malkiar... Où que l'on soit, on ne peut pas échapper au mal me dis-je. Elle me dit que je devait rester caché, les villageois ne s'aventurant que peu dans ce coin, ou partir (et à ces derniers mots, je vis des larmes perler aux coins de ses beaux yeux noirs). Les autres habitants de son village verraient d'un très mauvaise oeil ma présence si près d'eux, surtout que depuis quelques temps les villages alentours commencaient à subir les assauts des séides de Malkiar... Je décidait de reste encore quelques temps ici, n'ayant de toutes façon nulle part où aller. Je voulais de plus prendre le temps de réfléchir sur ce monde étrange, où il me semblait sentir la présence du Ni...
Mais un beau jour, je fus réveillé par des cris et une odeur de fumée emplissant ma caverne, qui semblaient venir du village... Et là je compris. je compris surtout qu'il était déjà peut-être trop tard pour sauver Nightwish. Je me relevais, et courru du plus vite que me le permettaient mes courtes jambes. Mon aide était bien puérille, je n'avait pas encore recouvré toute ma vigueur, et n'avais aucune arme. Ce que je vis me consterna : le village en flamme, des corps mutilés jonchant le sol, mais surtout EUX, des ombres démoniaques montées sur des chiens ardents, en train de massacré allègrement toutes les elfes du village... je poussais mon cri de guerre, sue je n'avais plus entendu sortir de ma bouche depuis ma captivités : "Ni, supporte mon bras", et je me jetais sur l'un deux, criant " Où est Nightwish! qu'avait vous fait d'elle?". Mais je me rendis vite compte de mon impuissance, et après une lutte acharnée, je me retrouvais au sol, une profonde entaille au flan gauche réveillant toutes mes anciennes blessures. Avant de ne perdre connaissances, je n'eu que le temps de voir Nightwish me crier "Bô, aides moi! Ne m'abandonne pas!", enlevée par une ombre...
Lorsque je repris mes esprits, j'étais sous une tente, soigné par une jeune femme que je sus plus tard être Stella. Par un hasard incroyable, je venais d'être sauvé par quelqu'un de mon monde. Nous décidâmes alors de parcourir ce monde ensemble, et de rechercher des braves prêt à défaire Malkiar. Nous ne voulions pas que notre histoire ce reproduise ici! Voilà où nous en somme, cela fait quelques semaines maintenant que je les accompagne. Mais maintenant que l'on se rapproche des souterrains où se terre malkiar, je vais devoir les quitter afin de retrouver Nightwish, qui, j'en suis persuadé, est retenue en ces lieux! je tiendrais ma promesse...
Jin : ta promesse?
Khrô : peu importe. Je vois que tu m'as écouté jusqu'au bout... c'est une bonne chose que tu ais grossi nos rangs. Aller, vas te reposer maintenant, il se fait tard.
Jin : juste une dernière question Khrô. Ton "accoutrement"...
Khrô : ah ça... c'est un souvenir d'elle.
Jin : je pensais que ça avait rapport à... comment dire... que tu étais mineur ou quelque chose dans le genre avant...
Khrô : tu ne te trompes pas, du temps où j'étais encore un esclave, je travaillais aux mines de Balla, à l'extraction du Dhouze, un minerai qui lui était indispensable pour la réalisation d'un nouveau maléfice, dit plommhe. Aller, à demain, il faudra se lever de bonne heure...
Khrô passa encore de longues heures à comtemple le ciel étoilé à penser à elle...
Krhô entendit un bruit derrière lui.
Il bondit sur ses jambes et se retourna en un éclair : "Anoncez-vous !" hurla-t-il, un peu furieux d'avoir été surpris, tellement, il était perturbé par ses pensées...
Il apperçu une petite ombre... "un nain" se dit-il...
Puis, comme l'individu était à présent baigné par la lumière du feu de camp, il se ravisa, mais n'en fut que plus interloqué : un pingouin !
Encore plus surprenant, il semblait un peu gêné, comme s'il était timide.
"Excusez-moi, monsieur..."
lui demanda le volatil...
"Je voudrais rejoindre cette compagnie... et partir à l'aventure..."
Notre ami nain, ne sût plus que répondre : un pingouin... qui parle... et qui veut guerroyer ? celà n'est pas possible !
"Si ça ne vous dérange pas", ajouta timidement, le pingouin.
Il bondit sur ses jambes et se retourna en un éclair : "Anoncez-vous !" hurla-t-il, un peu furieux d'avoir été surpris, tellement, il était perturbé par ses pensées...
Il apperçu une petite ombre... "un nain" se dit-il...
Puis, comme l'individu était à présent baigné par la lumière du feu de camp, il se ravisa, mais n'en fut que plus interloqué : un pingouin !
Encore plus surprenant, il semblait un peu gêné, comme s'il était timide.
"Excusez-moi, monsieur..."
lui demanda le volatil...
"Je voudrais rejoindre cette compagnie... et partir à l'aventure..."
Notre ami nain, ne sût plus que répondre : un pingouin... qui parle... et qui veut guerroyer ? celà n'est pas possible !
"Si ça ne vous dérange pas", ajouta timidement, le pingouin.
Que les femmes seraient merveilleuses si l'on pouvait tomber dans leurs bras sans tomber entre leurs mains... ^_^
Derrière le pingouin, apparu une ombre svelte que Khrô connaissait bien.
- C’est toi qui nous a ramené cette chose, Lolita ? demanda le nain de sa voix bourrue.
- Ne te fâche pas, Khrô, répondit l’ombre, je viens à peine de faire sa connaissance en chemin. Le pauvre était perdu, je lui ai juste proposé de venir passer la nuit au camp. Il ne m’avait pas parlé d’aventure ! Enfin, un pingouin si mignon, je suppose que Stella ne pourra rien lui refuser.
Lolita surgit de l’ombre, aussi lestement qu’un chat. Malgré ses vêtements tâchés de sang et son visage défait, tout son être irradiait une douce sérénité. Il se laissa tomber au côté de Khrô, arracha un brin d’herbe et commença à le mâchonner.
- Ca ne va pas être du gâteau, tu sais. J’ai vu les souterrains, ils sont aussi terrifiants que ce que l’on raconte. Il y a même des humains qui m’ont attaqué ! Des humains, Khrô, tu te rends compte ?!
- Hum, répondit l’autre.
- C’est dire l’emprise qu’a Malkiar, s’il arrive à dresser les hommes d’une même race les uns contre les autres !
- Tu peux toujours retourner dans les jupes de ta mère, tu sais, jeta Khrô.
Lolita s’étonna de la mauvaise humeur du nain. A quoi pouvait-il bien penser à une telle heure de la nuit pour ne pas dormir ? Son compagnon recelait décidément bien des mystères.
- Tu sais bien que ce n’ai pas possible, répondit finalement Lolita en riant. Au fait, en parlant de mère, je t’ai jamais raconté l’histoire de ce nom stupide que je porte ?
- Non, et ce n’est pas ce soir que tu vas le faire, répondit le nain en se relevant. Il est temps pour moi d’aller reposer mes vieux os. Oh, et puis occupe-toi de ce pingouin, aussi ! finit-il en désignant l’animal qui était resté devant eux, se dandinant d’un pied sur un autre.
- Oui, tu as raison. Puis il faudra que j’aille faire un petit brin de toilette avant de présenter mon rapport à Stella. Oh, et puis ça attendra bien demain. Tu viens, pingouin ?
Et Lolita retourna au camp en suivant Khrô. Il tenait l’aile du pingouin, duveteuse et douce comme il imaginait sa couche après toute ces nuits passées à dormir à même le sol.
Il avait vu les souterrains et Stella devait attendre son rapport avec impatience. Il avait tant de chose à lui dire : les rats, certains d’entre eux de 2 fois la taille de Khrô, les Morbelins, les runes qui attendaient que l’œil exercé les décela, et aussi cette trahison qu’il avait ressenti lorsqu’un autre humain s’était retourné contre lui ! Il lui avait alors fallu toute la force du Ni pour ne pas en vouloir à cet homme. Mais à présent, il était de retour parmi les siens et lorsqu’il reverrait les dalles des souterrains de Délain, il ne serait plus seul.
- C’est toi qui nous a ramené cette chose, Lolita ? demanda le nain de sa voix bourrue.
- Ne te fâche pas, Khrô, répondit l’ombre, je viens à peine de faire sa connaissance en chemin. Le pauvre était perdu, je lui ai juste proposé de venir passer la nuit au camp. Il ne m’avait pas parlé d’aventure ! Enfin, un pingouin si mignon, je suppose que Stella ne pourra rien lui refuser.
Lolita surgit de l’ombre, aussi lestement qu’un chat. Malgré ses vêtements tâchés de sang et son visage défait, tout son être irradiait une douce sérénité. Il se laissa tomber au côté de Khrô, arracha un brin d’herbe et commença à le mâchonner.
- Ca ne va pas être du gâteau, tu sais. J’ai vu les souterrains, ils sont aussi terrifiants que ce que l’on raconte. Il y a même des humains qui m’ont attaqué ! Des humains, Khrô, tu te rends compte ?!
- Hum, répondit l’autre.
- C’est dire l’emprise qu’a Malkiar, s’il arrive à dresser les hommes d’une même race les uns contre les autres !
- Tu peux toujours retourner dans les jupes de ta mère, tu sais, jeta Khrô.
Lolita s’étonna de la mauvaise humeur du nain. A quoi pouvait-il bien penser à une telle heure de la nuit pour ne pas dormir ? Son compagnon recelait décidément bien des mystères.
- Tu sais bien que ce n’ai pas possible, répondit finalement Lolita en riant. Au fait, en parlant de mère, je t’ai jamais raconté l’histoire de ce nom stupide que je porte ?
- Non, et ce n’est pas ce soir que tu vas le faire, répondit le nain en se relevant. Il est temps pour moi d’aller reposer mes vieux os. Oh, et puis occupe-toi de ce pingouin, aussi ! finit-il en désignant l’animal qui était resté devant eux, se dandinant d’un pied sur un autre.
- Oui, tu as raison. Puis il faudra que j’aille faire un petit brin de toilette avant de présenter mon rapport à Stella. Oh, et puis ça attendra bien demain. Tu viens, pingouin ?
Et Lolita retourna au camp en suivant Khrô. Il tenait l’aile du pingouin, duveteuse et douce comme il imaginait sa couche après toute ces nuits passées à dormir à même le sol.
Il avait vu les souterrains et Stella devait attendre son rapport avec impatience. Il avait tant de chose à lui dire : les rats, certains d’entre eux de 2 fois la taille de Khrô, les Morbelins, les runes qui attendaient que l’œil exercé les décela, et aussi cette trahison qu’il avait ressenti lorsqu’un autre humain s’était retourné contre lui ! Il lui avait alors fallu toute la force du Ni pour ne pas en vouloir à cet homme. Mais à présent, il était de retour parmi les siens et lorsqu’il reverrait les dalles des souterrains de Délain, il ne serait plus seul.
"Il faut aimer les gens
Tant qu'ils sont vivants,
Les Jean-Luc, les Jean-Luc"
Jean-Luc le ténia
Tant qu'ils sont vivants,
Les Jean-Luc, les Jean-Luc"
Jean-Luc le ténia
Cependant que kro, installé sur la colline, comptais son histoire à jin, tous ne dormaient pas non plus aux alentours du campement.
Epoxyde, Bob le Chevellu et Roger le Cailloux avaient enfin pu se retrouver et apprendre leur admission au sein du Ni. C'est alors qu'une grande joie s'empara d'eux, et ne faisant ni une ni deux, ils mirent le cap su la taverner la plus proche avec le but avoué par Bob de faire découvrir à ses compagnons les merveilleuses bières naines.
Quelques choppes plus tard, l'endormissement de l'Elf le plus dégarni de Delain (pour ne pas dire Roger le Caillou) fit penser à Epoxyde qu'allait se poser assez vite le problème de l'ardoise. Il pretexta donc un départ aux toilettes pour aller courtiser quelques peu une humaine fort bien habillée à défaut d'être fort jolie.
Voyant que le nain s'ennuyait seul -l'elfe n'ayant plus pour toute conversation que des ronflements qui commençaient d'ailleurs à se faire fort sonores- Epoxyde revint vers ses compagnons, non sans avoir réussi à emprunter à la dame une grande cape de velour vert avec de somptueuses dorures. Puis il redemanda une bière ainsi qu'une autre pour son ami.
Quelques choppes plus tard, l'elf se mit à ronfler avec une force qu'on ne lui aurait pas imaginé. Donnant ainsi le signal du départ. Alors quand l'aubergiste vint se présenter à eux, avec une ardoise ma foi fort bien longue, Epoxyde s'emmitoufla dans sa cape de velour vert et se releva fierement en disant "we are the knights who say NI" et d'un pas mesuré il parti comme un prince, suivi de près de près par Bob qui de même s'était emmitouflé dans sa cape d'elf rouge (pour ne pas dire avait pris Roger sur ses épaules) dont les longs fils dorés balayaient quelques peu le sol tout en descendant de son tabouret et en se relevant avec la même fierté.
Le lendemain, à l'heure à laquelle le doux soleil matinal commence à descendre sur l'horizon pour céder la place à la Lune, marquant ainsi le début de l'après midi (pour ne pas dire vers 17h du matin) Roger émergea des brûmes de son sommeil. Quand il demanda à Bob comment il était revenu au camp et pourquoi il se sentait encore plus chauve que d'habitude, celui-ci lui rota à la figure et lui raconta l'histoire.
Roger était un elf très droit et à l'ouir de cette histoire il s'emporta contre ces pratiques déloyales et failli le gifler mais il se ravisa suite à un grognement du nain. Alors, puisqu'il avait profité autant que les autres de la ruse d'Epoxyde, il partit à l'auberge pour essayer d'offrir compensation à l'aubegiste. C'est ainsi que Roger le Caillou commença ses aventures Delainesque en faisant la vaisselle.
Cependant, il fut surpris, à l'auberge de l'Aventurier Courageux (c'était son nom, l'inspiration n'étant pas forcement très répandue chez les aubergistes surtout quand ils sont d'anciens aventuriers) de croiser Epoxyde à qui il jeta un regard dédaigneux. Epoxyde fut quelque peu surpris mais fini néanmoins sa bière à l'aspirine tout tranquillement, puis quand le patron vint le voir il se leva fièrement en déclarant: "we are the knights who say NI" ce à quoi le patron croisant les bras fis "ben tiens"... Ne se démontant pas, Epoxyde lui fit alors, de toute sa grandeur: "NI". Le patron lui montra la cuisine, Epoxyde n'insista pas (il faut dire qu'il avait rendu la cape (après avoir gracieusement et en nature remercié sa propriétaire) et que sans la cape, l'impression n'était pas du tout la même). C'est ainsi que Epoxyde commença ses aventures Delainesque en faisant la vaisselle.
Un peu plus tard les clients, pure voir un des premiers nains volant nano propulsés de l'histoire. En effet Bob traversa directement toute l'auberge de la porte d'entrée à celle de la cuisine, sans poser pied à terre. Exploit d'autant plus impressionnant que l'auberge était fort grande due à l'abondance d'aventurier qui avait permise au patron de racheter peu à peu tout le paté de maison. On entendit alors "foi de Kro t'as intérêt à travailler dur pour effacer le déshonneur que tu as fait subir au NI". C'est ainsi que Bob le chevellu commença ses aventures Delainesque en faisant la vaisselle.
Epoxyde, Bob le Chevellu et Roger le Cailloux avaient enfin pu se retrouver et apprendre leur admission au sein du Ni. C'est alors qu'une grande joie s'empara d'eux, et ne faisant ni une ni deux, ils mirent le cap su la taverner la plus proche avec le but avoué par Bob de faire découvrir à ses compagnons les merveilleuses bières naines.
Quelques choppes plus tard, l'endormissement de l'Elf le plus dégarni de Delain (pour ne pas dire Roger le Caillou) fit penser à Epoxyde qu'allait se poser assez vite le problème de l'ardoise. Il pretexta donc un départ aux toilettes pour aller courtiser quelques peu une humaine fort bien habillée à défaut d'être fort jolie.
Voyant que le nain s'ennuyait seul -l'elfe n'ayant plus pour toute conversation que des ronflements qui commençaient d'ailleurs à se faire fort sonores- Epoxyde revint vers ses compagnons, non sans avoir réussi à emprunter à la dame une grande cape de velour vert avec de somptueuses dorures. Puis il redemanda une bière ainsi qu'une autre pour son ami.
Quelques choppes plus tard, l'elf se mit à ronfler avec une force qu'on ne lui aurait pas imaginé. Donnant ainsi le signal du départ. Alors quand l'aubergiste vint se présenter à eux, avec une ardoise ma foi fort bien longue, Epoxyde s'emmitoufla dans sa cape de velour vert et se releva fierement en disant "we are the knights who say NI" et d'un pas mesuré il parti comme un prince, suivi de près de près par Bob qui de même s'était emmitouflé dans sa cape d'elf rouge (pour ne pas dire avait pris Roger sur ses épaules) dont les longs fils dorés balayaient quelques peu le sol tout en descendant de son tabouret et en se relevant avec la même fierté.
Le lendemain, à l'heure à laquelle le doux soleil matinal commence à descendre sur l'horizon pour céder la place à la Lune, marquant ainsi le début de l'après midi (pour ne pas dire vers 17h du matin) Roger émergea des brûmes de son sommeil. Quand il demanda à Bob comment il était revenu au camp et pourquoi il se sentait encore plus chauve que d'habitude, celui-ci lui rota à la figure et lui raconta l'histoire.
Roger était un elf très droit et à l'ouir de cette histoire il s'emporta contre ces pratiques déloyales et failli le gifler mais il se ravisa suite à un grognement du nain. Alors, puisqu'il avait profité autant que les autres de la ruse d'Epoxyde, il partit à l'auberge pour essayer d'offrir compensation à l'aubegiste. C'est ainsi que Roger le Caillou commença ses aventures Delainesque en faisant la vaisselle.
Cependant, il fut surpris, à l'auberge de l'Aventurier Courageux (c'était son nom, l'inspiration n'étant pas forcement très répandue chez les aubergistes surtout quand ils sont d'anciens aventuriers) de croiser Epoxyde à qui il jeta un regard dédaigneux. Epoxyde fut quelque peu surpris mais fini néanmoins sa bière à l'aspirine tout tranquillement, puis quand le patron vint le voir il se leva fièrement en déclarant: "we are the knights who say NI" ce à quoi le patron croisant les bras fis "ben tiens"... Ne se démontant pas, Epoxyde lui fit alors, de toute sa grandeur: "NI". Le patron lui montra la cuisine, Epoxyde n'insista pas (il faut dire qu'il avait rendu la cape (après avoir gracieusement et en nature remercié sa propriétaire) et que sans la cape, l'impression n'était pas du tout la même). C'est ainsi que Epoxyde commença ses aventures Delainesque en faisant la vaisselle.
Un peu plus tard les clients, pure voir un des premiers nains volant nano propulsés de l'histoire. En effet Bob traversa directement toute l'auberge de la porte d'entrée à celle de la cuisine, sans poser pied à terre. Exploit d'autant plus impressionnant que l'auberge était fort grande due à l'abondance d'aventurier qui avait permise au patron de racheter peu à peu tout le paté de maison. On entendit alors "foi de Kro t'as intérêt à travailler dur pour effacer le déshonneur que tu as fait subir au NI". C'est ainsi que Bob le chevellu commença ses aventures Delainesque en faisant la vaisselle.
c'est signer
Apres une soirée ma foi fort agreable où la biere coulat a flot et où la musique remplit l'air, Jin avait ma foi la bouche un peu pateuse. Cela avait été cependant une fort bonne soirée ou il avait fait la connaissance de maintes personnes, parmi les plus grand. Il lui semblait même avoir vu un pingouin mais ce dernier point lui semblait bizarre..... Sans doute une fin de soirée un peu difficile.
Apres avoir fait sa gymnastique matinale il alla se promener à travers le campement. Apparament il n'etait pas le seul a avoir passer une soirée difficile, et certain avait le reveil plus dur que lui. Mais pour l'instant tout le monde était encore joyeux et Jin eut même la surprise de voir Khrô le bô poursuivre à travers tout le campement un nain qui lui avait été presenté la veille sous le nom de Bob. Ce fut ma foi un spectacle fort épique, qui déclencha beaucoup de rire dans l'assistance.
Voyant un groupe d'aventurier en train de discuter il s'approcha pour se joindre à la converstion. Ici finit les rires et les chants de la veille la dure loi de la vie avait repris ces droits; et malheuresment, ce n'est pas du gout de la derniere cuvee de biere dont la compagnie parle mais bien des batailles à venir. En effet l'entrée des souterrains n'est maintenant plus tres loin, et de graves nouvelles viennent d'arriver au camps...... La situation va vite devenir plus dellicate.
Apres avoir fait sa gymnastique matinale il alla se promener à travers le campement. Apparament il n'etait pas le seul a avoir passer une soirée difficile, et certain avait le reveil plus dur que lui. Mais pour l'instant tout le monde était encore joyeux et Jin eut même la surprise de voir Khrô le bô poursuivre à travers tout le campement un nain qui lui avait été presenté la veille sous le nom de Bob. Ce fut ma foi un spectacle fort épique, qui déclencha beaucoup de rire dans l'assistance.
Voyant un groupe d'aventurier en train de discuter il s'approcha pour se joindre à la converstion. Ici finit les rires et les chants de la veille la dure loi de la vie avait repris ces droits; et malheuresment, ce n'est pas du gout de la derniere cuvee de biere dont la compagnie parle mais bien des batailles à venir. En effet l'entrée des souterrains n'est maintenant plus tres loin, et de graves nouvelles viennent d'arriver au camps...... La situation va vite devenir plus dellicate.
C'était il y a longtemps... Très longtemps... Les 3 compères avaient commencé à faire la vaisselle à l'auberge de l'Aventurier Courageux (toutes mes condoléances à la famille de l'inventivité de l'aubergiste).
Ils viennent de finir et, légèrement en froid les uns avec les autres, enfin, surtout les deux autres avec Epoxyde, ils sont entrés dans la zone des souterrains en trois points différents...
On leur fit vite comprendre qu'ils auraient mieux fait de rester groupés...
Ils viennent de finir et, légèrement en froid les uns avec les autres, enfin, surtout les deux autres avec Epoxyde, ils sont entrés dans la zone des souterrains en trois points différents...
On leur fit vite comprendre qu'ils auraient mieux fait de rester groupés...
c'est signer