Extrait journal Junior
Tout d’abord je me présente. Je me prénomme Angylus, fils de l’ancien Echevin de la confrérie de Pandore où Kain, Merwin et Nelwynn dirigeaient avec tact et diplomatie les affaires de la guilde. Là j’ai eu l’occasion de passer mes premiers jours sur le royaume d’Homandre, voisin de ma contrée natale. L’ambiance conviviale était ponctuait par les sauts d’humeurs de la régisseuse dame Nelwynn, L’occasion de découvrir celle qui remplaça ma mere dans le cœur de mon pére, dame Galinaé, ou encore Cobras et Hébus en fidèle de nos armes.
Avec le temps et l’affirmation de mon caractère, les premiers désaccords avec la politique conservatrice de notre régisseuse apparurent ; Je brûlais d’impatience de découvrir et affronter des dangers plus conséquents que les rats géants dont nous nous cantonnions à faire la chasse.
C’est ainsi que je suivis durant des mois les aventuriers aventureux. Un groupe hétérogène où la bonne ambiance était de rigueur et les prouesses au combat de renom.
Mais la distance avec le seul être de mon sang dans ces maudits souterrains, à savoir mon père, provoquait en moi une forme d’anxiété et d’inquiétude. Mes autres pensées, elles, fuyaient de ce dédale de désolation pour voguer auprès de ma bien aimée; restée dans notre village.
Je finis donc par rallier avec mon père la cause des mythes guerriers et ainsi nous pûmes guerroyer cote à cote de nouveau. Lui m’inculquant les rudiments et les parades à divers bottes, de mon coté je pu le surveiller et prendre soin de lui, le ménageant lors de combat virulent Au sein de cet ordre, aucun compte n’est demandé, seul notre créateur saura faire le bilan le moment venu.
Même si bien souvent nos alliés, par leur conscience zélée, retiennent les coups que nous administrerions bien volontiers aux bougres hautains, et bien souvent imbus de leur petite personne, notre envie de les corriger est bien présente…
Voilà. Donc Nous errons actuellement en compagnie de divers autres guerriers en quête du savoir et de la sagesse suprême. Arpentant les moindre recoins, défiant les démons, et pourchassant les succubes, toujours assoiffés de cette sensation de défi perpétuel. Pour ma part, initialement, cette campagne avait pour but de me fortifier. Me permettre de devenir autonome, en découvrant l’art des combats et la maîtrise de sois-même, dans le cas où il arrivait le moment de retirer la vie à un autre aventurier, humain, elfe ou bien même nain.
Car qui d’entre nous n’a jamais fléchis devant le geste fatal ? Qui ne s’est pas dit : « mon dieu non, retenez moi avant que je ne parte sur les voix sombres et que seul le styx épongera mes pêchés. »
Fort de cette instruction je devais pouvoir ainsi veiller au bien être de celle pour qui mon cœur bat : Dame Violaine. Elle qui devait devenir mienne apres tout ça... Notre vie à Floing-de-ris promettant un bonheur sans faille.
Mais voilà le destin vient de me frapper. Toujours au moment où l’on s’y attend le moins. Pensez à quelque chose, espérez le , et vous pouvez êtes sur que son contraire se produira… fatalité ou simple force inconsciente qui nous pousse inexorablement vers cette éventualité ?
Lors de notre passage dans l’auberge de l’antichambre de l’enfer, nous apprîmes par des saltimbanques de passages, que plusieurs villages aux abords de la frontière du royaume avait été mis à sac. Pillés. Les fermes brûlées et les troupeaux décimés, quant aux habitants … exterminés.
La raison ? Selon les saltimbanques, « un retour de bâton » d’un roi, ils ne purent nous donner le nom de ce foutu souverain, en mal de bouquet missaire suite à sa défaite contre son voisin rival. Il aurait décidé de punir considérablement, toutes les villages frontaliers à son royaume, pour ne pas l’avoir soutenu face à son opposant lors de sa campagne belliqueuse.
Parmi les villages touchés par cette horreur nous écoutâmes le nom de Floing-de-Ris. Nous comprîmes avec mon père que Dame Violaine, ma mie, venait de rejoindre le pays des ombres … me laissant enclin au désarroi et à l’amertume.
Se battre pour des causes nobles et voir le fléau emporter ceux qu’on aime, laisse beaucoup de remords. Pourquoi suis venu ici !? Diantre ! Je m’en veux terriblement …
A quoi bon se battre pour des idées, si la réalité qui régit ce monde est plus obscure que le ciel de mars ???
Les attentions de mon père à mon égard, commencent à m’agacer et n’apaisent nullement la haine que je nourris en moi.
La béatitude visible sur les visages des aventuriers que nous croisons, ainsi que leur joie de vivre, me révulsent... Tout ceci ne fait que remonter en moi des sentiments de colère … des pulsions sanglantes. A présent je suis apte a défendre ceux que j’aime, mais comble de l’ironie c’est trop tard ! celle que j’aimais a péri sans personne pour la protéger. Seule.
Alors, ce bonheur …gloups… dont je n’aurais plus l’occasion de goûter les bienfaits … Gloups … plus personne ne le mérite ! Et si je ne puis en profiter … alors eux non plus !
Fatalité ou destin ...
C'est ainsi que l'ensemble des convictions du jeune nain s'estompillèrent.
IL alalit mettre un terme a toutes ces foutues croyance, qui avait bercé sa jeunesse.
S’approchant de l’édifice sur lequel dominait un signe bizarre et sans élégance, présent sur toutes les fidèles de ce dieu, tel un symbole de ralliement, la rage presente dans le cœur du nain, continu de fulminer.
Le temple était isolé. Pas de regard curieux à l’horizon. Le reste du groupe trainait, rechignant les jours de marche et s’interrogeant sur le jour d’apres.
Le jeune Angylus prit alors une grande bouffée de cet air moite et nauséabond de l’antichambre. Il prit conscience que derrière lui se trouvait à présent l’avilissement de son être pour un dieu non reconnaissant, et devant lui c’était la liberté !
C’est ainsi que le jeune Dioikétei de Balgur s’engouffra dans la maison d’un autre Dieu.
Son père l’attendait a la sortie. Inquiet. Etait ce la solution pour son fils que de fuir la religion a ce moment. Instant de tristesse et de recueillement ? Là où il avait le plus besoin de soutient ? il jugea qu’il était suffisament grand, du haut de son metre dix, pour savoir ce qu’il faisait. L’heure n’était pas au conflit familiale.
Le jeune Angylus ressortit du temple. Il était à présent affranchit des chaînes de son âme.
Dans son regard, son père pu lire une détermination et une conviction sans précédent …
IL alalit mettre un terme a toutes ces foutues croyance, qui avait bercé sa jeunesse.
S’approchant de l’édifice sur lequel dominait un signe bizarre et sans élégance, présent sur toutes les fidèles de ce dieu, tel un symbole de ralliement, la rage presente dans le cœur du nain, continu de fulminer.
Le temple était isolé. Pas de regard curieux à l’horizon. Le reste du groupe trainait, rechignant les jours de marche et s’interrogeant sur le jour d’apres.
Le jeune Angylus prit alors une grande bouffée de cet air moite et nauséabond de l’antichambre. Il prit conscience que derrière lui se trouvait à présent l’avilissement de son être pour un dieu non reconnaissant, et devant lui c’était la liberté !
C’est ainsi que le jeune Dioikétei de Balgur s’engouffra dans la maison d’un autre Dieu.
Son père l’attendait a la sortie. Inquiet. Etait ce la solution pour son fils que de fuir la religion a ce moment. Instant de tristesse et de recueillement ? Là où il avait le plus besoin de soutient ? il jugea qu’il était suffisament grand, du haut de son metre dix, pour savoir ce qu’il faisait. L’heure n’était pas au conflit familiale.
Le jeune Angylus ressortit du temple. Il était à présent affranchit des chaînes de son âme.
Dans son regard, son père pu lire une détermination et une conviction sans précédent …
Re: Fatalité ou destin ...
Psyquick, pour vous servir!Angylus a écrit : Car qui d’entre nous n’a jamais fléchis devant le geste fatal ? Qui ne s’est pas dit : « mon dieu non, retenez moi avant que je ne parte sur les voix sombres et que seul le styx épongera mes pêchés. »
Et je ne suis point le seul dans ce cas. Nous sommes nombreux, de plus en plus nombreux, et si vous revenez d'où je crois, n'hésitez pas à m'en parler.
Son pere parvint a le résonner de suivre une utlime thérapie. Le vieil homme amena son fils aupres des moines du dispensaire le plus proche. Là les religieux, tenterent d'absoudrent les péchés et la tristesse du jeune nain. Apres maintes prières, incantations acommpagnées d'artefactes religieux, vint le tour des cantiques.
Apres 10 jours , le pere de la paroisse s'approcha du vieil homme inquiet pour sa progéniture. Son regard baissé, le visage pale, l'air embarrassé, il lui annonça qu'ils n'étaient parvenus à le guérir de ces maux... Sans dire un mot, le guerrier tourna les talons. Et le groupe sortit du dispensaire.
De leur coté cela faisait deja plusieurs jours que les nains observaient une elfe.Cette derniere se promenait actuellement seule. Sa grace et son élégance, n'eurent peu de mal a rememorer au jeune veuf, sa douce et défunte compagne. Une larme coula le long de sa joue a se souvenir. Il se tourna vers son congénére, et ensemble établirent une offensive.
Les compagnons de la jeune elfe l'attendait un peu plus loin. Leur visage traduisait un sentiment de bien-être. Peut etre que parmi eux se trouvait son aimé. L'image des deux tourtereaux enlacés obsédait Angylus junior... s'en était trop. Le nain se laissa innonder par une haine grandissante.
Puis brandissant haut son épée, il en appela à la colere de chaucn pour l'assisster dans le caranage a venir ...
Arkdoze, l'elfe, dont les armoiries de la carvanes étaient a présent maculées de sang, gisait au sol. Inerte.
Apres 10 jours , le pere de la paroisse s'approcha du vieil homme inquiet pour sa progéniture. Son regard baissé, le visage pale, l'air embarrassé, il lui annonça qu'ils n'étaient parvenus à le guérir de ces maux... Sans dire un mot, le guerrier tourna les talons. Et le groupe sortit du dispensaire.
De leur coté cela faisait deja plusieurs jours que les nains observaient une elfe.Cette derniere se promenait actuellement seule. Sa grace et son élégance, n'eurent peu de mal a rememorer au jeune veuf, sa douce et défunte compagne. Une larme coula le long de sa joue a se souvenir. Il se tourna vers son congénére, et ensemble établirent une offensive.
Les compagnons de la jeune elfe l'attendait un peu plus loin. Leur visage traduisait un sentiment de bien-être. Peut etre que parmi eux se trouvait son aimé. L'image des deux tourtereaux enlacés obsédait Angylus junior... s'en était trop. Le nain se laissa innonder par une haine grandissante.
Puis brandissant haut son épée, il en appela à la colere de chaucn pour l'assisster dans le caranage a venir ...
Arkdoze, l'elfe, dont les armoiries de la carvanes étaient a présent maculées de sang, gisait au sol. Inerte.
Une fois la caravanière au sol, le jeune Angylus ne parvint à retenir ses larmes. L’image de feu sa promise maculée de sang le prit a la gorge.
En lui une voix lui entonna « REAGIS ! Ne laisse pas les larmes prendre le dessus ! »
Alors Guidé par sa rage, ses yeux s’orientèrent vers les autres caravaniers et ne les quitterent plus. Alors qu’il jubilait à l’idée de faire jaillir plus de sang, semant désolation et terreur, repoussant le bonheur hors de sa vue, le nain ne fit pas attention au groupe de Hordeux.
Ces derniers étaient restés paisiblement, à l’extrême horizon. Ils guettaient le nain sans se découvrir. Ses pulsions le reprendraient surement bientôt et l’entraineraient à se fourvoyer au delà des limites du dispensaire.
Son forfait accomplit, le moment était venu aux hordeux d’entrer en scène …
En lui une voix lui entonna « REAGIS ! Ne laisse pas les larmes prendre le dessus ! »
Alors Guidé par sa rage, ses yeux s’orientèrent vers les autres caravaniers et ne les quitterent plus. Alors qu’il jubilait à l’idée de faire jaillir plus de sang, semant désolation et terreur, repoussant le bonheur hors de sa vue, le nain ne fit pas attention au groupe de Hordeux.
Ces derniers étaient restés paisiblement, à l’extrême horizon. Ils guettaient le nain sans se découvrir. Ses pulsions le reprendraient surement bientôt et l’entraineraient à se fourvoyer au delà des limites du dispensaire.
Son forfait accomplit, le moment était venu aux hordeux d’entrer en scène …
Thorr le compagnon caravanier, accouru pour porter les premières attaques. Sa colère ne lui permit malheureusement d’ajuster correctement ses coups, qui furent d’abord parés puis amortis par le nain. La providence guida l’attaque de Flêche de Mytril.
Grubas, accompagné de sa peluche, puis Ergös, se succéderent.
Alors bien amoché, le jeune veuf commença à vacilla, mais il ne tomba pas. Il se devait d’être fort… pour elle …
L’enchaînement des flèches des Viviane et des coups au corps à corps de Blackrider eurent raison du nain.
A son réveil au dispensaire, la colère s’était apaisé en surface, mais le chagrin continuait de nourrir son être …
Grubas, accompagné de sa peluche, puis Ergös, se succéderent.
Alors bien amoché, le jeune veuf commença à vacilla, mais il ne tomba pas. Il se devait d’être fort… pour elle …
L’enchaînement des flèches des Viviane et des coups au corps à corps de Blackrider eurent raison du nain.
A son réveil au dispensaire, la colère s’était apaisé en surface, mais le chagrin continuait de nourrir son être …