Nihil

[Bergelmir]

Bergelmir prenant un temp de pause, sur un petit bout de papier il écrit ces quelques phrases.

Le bien et l'inconscience a ses bons côtés.

J'ai gouté à l'émerveillement, aux rêves, à l'amour...
La vie était remplie de couleurs, de goûts, de sons, de senteurs. Les femmes étaient belles, la biere était d'une saveur merveilleuse, l'or était désirable.
Les sens, que de simples interprétations de nos futiles esprits, que des illusions, un beau spectacle de marionettes.
Les femmes, désirer une femme, instint primitif, l'amour n'est qu'un vice, il voile l'esprit et déchire le coeur une fois dissipé.
La biere, festoyer, s'amuser, l'homme a besoin de ça, d'oublier, de boire, de ce reconforter, refuser la bonne humeur c'est ouvrir son esprit au monde réel.
L'or, ah l'or... a quoi bon s'enrichir toute la vie si les biens ne vous suivent pas dans l'au dela, offrez vous de belles funerailles, offrez vous de la bière, offrez vous des femmes, masquez vous l'esprit.

Mais grâce a une traitrise, les voiles de mon esprit ce sont retirés, les fils des marionettes sont tombés et voila ce qu'il y a : des zombies.
Des coeurs essayant de croire en la vie, de l'espoir, des gens qui se disent que s'ils font le "bien" dans leurs vies ils auront une bonne place au paradis.
Cessez de vous reconforter avec des mensonges, la vie n'est qu'une souffrance, rejetez toute forme de vie si vous voulez la paix.
Cessez de croire en un paradis, déchirer vous tous entre vous.
Femme, je t'arrache le coeur, je te déteste.
Biere, je te mélange au sang dans lequel repose mes anciens ennemis.
Homme, je refuse ta camaraderie, battons nous.
Or, je t'enfouis à quatre pieds sous terre pour que tu ne fasse tourner plus aucun esprit.
Toi, je t'ouvre les yeux, crache sur ce monde.
Que la destruction remplisse ces souterrains, que le sang innonde ces couloirs, que le néant en soit le seul sortant.

Renard mercenaire, je ne t'aime pas.
Main du mal, je ne t'aime pas.
Chevalier de Justice, je ne t'aime pas.
Mercenaire, je ne t'aime pas.
Tous, ne meritez que la mort.

Je me fous des jugements, personne n'a le droit de juger, tout n'est qu'une illusion, le monde n'est qu'a l'image de nos sens, derriere il n'y a que neant.

Laissez les monstres remplirent les lieux.
Eteignez toute les torches.
Laissez les mourrant souffrir et crier.

La beauté n'est qu'une putin, dechirez vous le visage, les sens ne sont qu'illusion, ne vous y fiez pas.

Qu'on éteigne le soleil.

Tout est rien.

Puis il reprend la route en laissant ce papier au sol.

[liloo]

Liloo qui passait par là le prend et ecrit ces mots:

Le bien et l'inconscience a ses bons côtés.

J'ai gouté à l'émerveillement, aux rêves, à l'amour...
La vie était remplie de couleurs, de goûts, de sons, de senteurs. Les femmes étaient belles, la biere était d'une saveur merveilleuse, l'or était désirable.
Les sens, que de simples interprétations de nos futiles esprits, que des illusions, un beau spectacle de marionettes.
Les femmes, désirer une femme, instint primitif, l'amour n'est qu'un vice, il voile l'esprit et déchire le coeur une fois dissipé.
La biere, festoyer, s'amuser, l'homme a besoin de ça, d'oublier, de boire, de ce reconforter, refuser la bonne humeur c'est ouvrir son esprit au monde réel.
L'or, ah l'or... a quoi bon s'enrichir toute la vie si les biens ne vous suivent pas dans l'au dela, offrez vous de belles funerailles, offrez vous de la bière, offrez vous des femmes, masquez vous l'esprit.

Mais grâce a une traitrise, les voiles de mon esprit ce sont retirés, les fils des marionettes sont tombés et voila ce qu'il y a : des zombies.
Des coeurs essayant de croire en la vie, de l'espoir, des gens qui se disent que s'ils font le "bien" dans leurs vies ils auront une bonne place au paradis.
Cessez de vous reconforter avec des mensonges, la vie n'est qu'une souffrance, rejetez toute forme de vie si vous voulez la paix.
Cessez de croire en un paradis, déchirer vous tous entre vous.
Femme, je t'arrache le coeur, je te déteste.
Biere, je te mélange au sang dans lequel repose mes anciens ennemis.
Homme, je refuse ta camaraderie, battons nous.
Or, je t'enfouis à quatre pieds sous terre pour que tu ne fasse tourner plus aucun esprit.
Toi, je t'ouvre les yeux, crache sur ce monde.
Que la destruction remplisse ces souterrains, que le sang innonde ces couloirs, que le néant en soit le seul sortant.

Renard mercenaire, je ne t'aime pas.
Main du mal, je ne t'aime pas, je t'adore.
Chevalier de Justice, je ne t'aime pas.
Mercenaire, je ne t'aime pas.
Tous, ne meritez que la mort.

Je me fous des jugements, personne n'a le droit de juger, tout n'est qu'une illusion, le monde n'est qu'a l'image de nos sens, derriere il n'y a que neant.

Laissez les monstres remplirent les lieux.
Eteignez toute les torches.
Laissez les mourrant souffrir et crier.

La beauté n'est qu'une putin, dechirez vous le visage, les sens ne sont qu'illusion, ne vous y fiez pas.

Qu'on éteigne le soleil.

Tout est rien.

...et il le repose au sol.

[Metsubo]

Metsubo qui passait par là (oui c'est un chemin fréquenté), prit le papier et y ajouta sa petite touche.

Le bien et l'inconscience a ses bons côtés.

J'ai gouté à l'émerveillement, aux rêves, à l'amour...
La vie était remplie de couleurs, de goûts, de sons, de senteurs. Les femmes étaient belles, la biere était d'une saveur merveilleuse, l'or était désirable.
Les sens, que de simples interprétations de nos futiles esprits, que des illusions, un beau spectacle de marionettes.
Les femmes, désirer une femme, instint primitif, l'amour n'est qu'un vice, il voile l'esprit et déchire le coeur une fois dissipé.
La biere, festoyer, s'amuser, l'homme a besoin de ça, d'oublier, de boire, de ce reconforter, refuser la bonne humeur c'est ouvrir son esprit au monde réel.
L'or, ah l'or... a quoi bon s'enrichir toute la vie si les biens ne vous suivent pas dans l'au dela, offrez vous de belles funerailles, offrez vous de la bière, offrez vous des femmes, masquez vous l'esprit.

Mais grâce a une traitrise, les voiles de mon esprit ce sont retirés, les fils des marionettes sont tombés et voila ce qu'il y a : des zombies.
Des coeurs essayant de croire en la vie, de l'espoir, des gens qui se disent que s'ils font le "bien" dans leurs vies ils auront une bonne place au paradis.
Cessez de vous reconforter avec des mensonges, la vie n'est qu'une souffrance, rejetez toute forme de vie si vous voulez la paix.
Cessez de croire en un paradis, déchirer vous tous entre vous.
Femme, je t'arrache le coeur, je te déteste.
Biere, je te mélange au sang dans lequel repose mes anciens ennemis.
Homme, je refuse ta camaraderie, battons nous.
Or, je t'enfouis à quatre pieds sous terre pour que tu ne fasse tourner plus aucun esprit.
Toi, je t'ouvre les yeux, crache sur ce monde.
Que la destruction remplisse ces souterrains, que le sang innonde ces couloirs, que le néant en soit le seul sortant.

Renard mercenaire, je ne t'aime pas.
Main du mal, je ne t'aime pas, je t'abore.
Chevalier de Justice, je ne t'aime pas.
Mercenaire, je ne t'aime pas.
Tous, ne meritez que la mort.

Je me fous des jugements, personne n'a le droit de juger, tout n'est qu'une illusion, le monde n'est qu'a l'image de nos sens, derriere il n'y a que neant.

Laissez les monstres remplirent les lieux.
Eteignez toute les torches.
Laissez les mourrant souffrir et crier.

La beauté n'est qu'une putin, dechirez vous le visage, les sens ne sont qu'illusion, ne vous y fiez pas.

Qu'on éteigne le soleil.

Tout est rien.

...et il le reposa au sol.

[Mystere]

Grosbill qui passait par la pris un paladin

Non pitie ne me faites pas de mal! Je veux voir ma mammmaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannnnnnnn

Mais ne le reposa pas
Puis il prit un petit bout de papier par terre et essuya son glaive il etait desormais illisible empechant qui quonque de rajouter quoi que ce soit dessus !

[Dark blade]

Dark blade passa par ce chemin et découvrit un morceau ensanglanté par terre. Il le prit, retourna le papier et écrit:
"En ce monde où tout n'est qu'illusion et destruction, j'erre afin d'ouvrir les yeux à ces êtres faibles qui ne cherchent le bonheur que dans la facilité des sens.
A toi, jeune étranger qui lit ce mot, oubli tout ce que tu as appris et accepte cette voie qui pourrais peut-être te délivrer:
Si tu rencontres ton dieu, tue le
Si tu rencontres ton ancêtre, tue le
Si tu rencontres quelqu'un qui veux t'emprisonner dans l'amour, la haine ou l'amitié, tue le.
Tue tout ceux qui se mettent sur ta route pour te gêner
Et si tu rencontres ton âme, tue la, et peut-être obtiendras-tu la liberté que tu recherches dans ton errance éternelle."
Puis il posa le papier souiller au sol et reparti.

[Blade]

Blade passant par là, pris le papier et le lu (avec beaucoup de difficultés compte tenu de son état ...) Il reconnu alors les écrits de Dark blade, et se dit :

Est-ce la raison qui incarne ces propos ?
Devons nous y voir des vérités immuables ?
La voie de ces enseignements n'est-elle point trop permissive face à mes contemporains ?

Bredouillant pour lui même, Blade resta à contempler ces écrits et imagina les implications que cela pouvait engendrer ...

[Inai]

Arrivant à toute vitesse, le borgne arriva dans le coin, l'air visiblement ennuyé.
Il regarda de tous les côtés, et l'abscense de toute présence sembla le rassurer un tant soit peu. Il nota alors la présence du bout de papier posé négligeament.
En trépignant un peu, il alla le ramasser, y jeta un oeil pressé dessus, n'y compris pas grand chose, et se précipita derrière un malheureux buisson, victime involontaire des caprices de la nature...
Après quelques bruits sourds et peu ragoûtants, le borgne sortit de derrière le buisson en remontant son pantalon et en le ceinturant, l'air visiblement soulagé.

Désormais, à moins de n'être capable de lire dans certaines choses, le papier ne pourra guère aider à faire passer d'autres messages...

[Bergelmir]

Bergelmir imaginait son écrit être tombé sur de bons yeux pour les lire, mais finalement ce n'était qu'un bout de papier et il se dit que les mots ne valent pas les actions, si les gens ne comprenaient pas a coup de massue la vrai raison, alors il n'y avait rien a faire que de les combattre sans relache.

Erudites rangez vos pinceaux et scribes, faites place aux lames des guerriers , la conscience et l'amour déchue je me dresse contre les bons vivants et autres biens-aimés.