Carnet d'un nain: Tasdor Dur
Oh, ca faisait longtemps que je m’étais pas réveillé dans cet état. J’comprenais pas, pourtant j’avais rien bu, enfin, j’men souvenais pas.
Tout autour moi : Des mourants en train d’essayer de reprendre des forces, des guérisseurs affairés à soigner les malades. Et soudain, la lumière s'est faite dans mon esprit. « Et merde, j’suis encore mort. » Tout me revient d’un coup, le Crâne Tour, ce tas de brouzoufs que quelqu’un avait laissé là, juste pour moi, de manière à ce que personne ne puisse y toucher à part moi, protégé par des momies, des zombies, des squelettes, et autres goules, qui étaient sûrement au courrant du fait que tout ca, c’était pour moi !
A la vérité, les monstres n’avaient pas l’air bien renseignés. Enfin, j’me suis retrouvé dans un dispensaire inconnu, entouré d’inconnus, et… oh, misère, il me manquait 147 brouzoufs ».
Ma vie était finie.
Désespéré, j’suis sorti du dispensaire et en faisant quelques pas, mon attention s'est tout de suite portée sur un petit groupe de personnes qui paraissaient bien occupées contre un mur. Pas n’importe quel mur !
Et, mais qu’est ce qu’ils font ? Ils creusent.. Ils ont des pioches, ils s’apprettent à détruire ce mur ! Dans ma tête, les choses sont allées très vite. D’abord, une envie de hurler : «Attention : C’est le mur ou a été enfermé le BALROG, malheureux ! Vous risquez de le reveiller, il va peut être tous nous tuer ! »
C’est à ce moment que d’autres rouages se sont mis en route dans mon cerveau. C’est là qu’est mort le Balrog. Peut être y a-t-il un trésor quelconque à cet endroit. Ce serait bien étonnant que cette bête n’ait pas avalé quelques milliers de brouzoufs avant de se trouver emmurée ici. Peut être meme qu’il n’y a qu’une fine couche de rochers recouvrant une montagne de brouzoufs allant de ... par terre à la voûte !
Ces choses, bien sur, ça ne se dit pas!
« Je peux aider ? »
« Ca a l’air passionnant ! »
En fait, avant, j’étais comptable. Une pioche, pour moi, c’est un objet inconnu. Jamais vu, et surtout jamais touché. Et d’ailleurs, jamais eu la moindre envie. Non, c’est tellement plus simple de gagner de l’argent, quand on est responsable des comptes. Alors, les pioches, jamais eu la moindre utilité.
Les mystérieux piocheurs se présentèrent. Gomz, fier nain, facilement reconnaissable avec sa pioche à la main, Riuk, humain, un peu trop grand si vous voulez mon avis, et Spank, un bête d’elfe. Les deux derniers regardent le premier travailler. Le créneau inspecteur des travaux finis étant déjà pris, il fallait piocher. Dommage.
En moins de deux, la petite troupe était persuadée de ma bonne volonté. Et me voilà une pioche à la main face au mur, oubliant quelques secondes la montagne de brouzoufs cachés. Je me prends au jeu et j’agis comme mes nobles ancêtres, je creuse la montagne. Les mouvements sont si faciles, on pourrait vraiment dire que j’ai fait ça toute ma vie. Je me prête même à essayer quelques petits mouvements fantaisie avec la pioche. C’est tellement «pittoresque ».
Des heures plus tard. Le mur est pratiquement dans le même état. C’est normal, c’est un mur en croûte de Balrog, ne perdons pas espoir.
« Dis moi Gomz, ca fait longtemps que vous êtes sur ce mur ? »
Pour toute réponse j’ai droit à un grognement. Pas très causant, le copain nain. Tant mieux. De toute façon, mieux vaut ne pas le déconcentrer, c’est qu’il se donne à fond, le bougre.
Après un petit somme réparateur, et sans aucun doute, bien mérité, je me remets au travail. La bonne humeur est partie avec l’arrivée des courbatures. Entre nous, c’est normal, j’ai jamais rien fait qui fasse appel à la force. Je vous ai dit ? J’étais comptable ? En plus, j’ai pas de chance, non mais, regardez moi, j’suis tout p’tit, même les nains me prennent pour un nain, c’est pour dire. J’suis pas musclé, mais qu’est ce que je fiche avec cette pioche à la main ?!!
Ah oui, je suis à la recherche du trésor du Balrog.
Quelques pierres me tombent sur le crâne. Au début de la journée, j’avais mal partout dans les bras, et à la fin de la journée, j’ai toujours mal partout dans les bras ET à la tête. Vous voulez mon avis piocher, c’est nul. D’ailleurs, qu’est ce que je fais avec cette pioche à la main ?
Ah oui, je suis à la recherche du trésor du Balrog.
C’est à peu près à ce moment, qu’il y a eu un petit problème d’entente, dans l’équipe. Voyant que les chutes de pierres m’avaient fait quelques menus bobos, Spank se propose pour me soigner. Ce à quoi j’ai répondu « non merci ». Je vous ai dit ? c’est un elfe.
Mais voilà, l’animal est susceptible, il entend des insultes. C’est fou non ? J’ai toujours pensé que « non merci », c’est poli comme formule. Et bien, pour cet elfe là, c’est pas le cas. Ce gars, il est pas normal. Il s’appelle Spank, évitez le, ce mec est dangereux. Même pas le temps de mettre les choses au clair, et voilà que ce demeuré me lance des p’tites boules de couleur, et il se moque.
Gnagnagna, j’suis pas un LUTIN !
Voilà, j’suis poli, et on m’agresse. Je répète, cet individu est dangereux, ne l’approchez sous aucun prétexte.
Le problème est posé : il n’est plus possible de rester à proximité de l’elfe. C’est là que j’ai fait un truc bête :
« Le lutin a comprit! Demain, des l'aube, je partirai… attaquer le mur de l'autre coté.
Puisque je suis "physiquement menacé" ici *met tragiquement sa main sur son front*, et bien, j'irai la bas, et j'espère que je le ferais tomber sur vous! »
C’était décidé, je partais. Mais dans quelle direction ? Au hasard, je saute dans un passage, (oui, j’ai toujours aimé prendre les passages des autres) Et oh, miracle, le mur est à quelques enjambées, dont une grande enjambée qui passe au dessus d’un portail démoniaque. Ces monstres sont sûrement là pour protéger MON trésor. Ca ne fait aucun doute.
Quoique, ils ne sont pas toujours bien informés de leur mission. En fait, j’ai attendu un peu, voir si un de ces gardiens me faisait signe. Rien. J’apprends de mes erreurs, je choisis d’attendre que d’autres se chargent de tuer les monstres, et j’irais après.
Appuyé contre une paroi, j’ai attendu, pas très longtemps, à vrai dire. Avant que les monstres ne soient tous exterminés, d’autres types de monstres sont arrivés, et ont massacré, ou tenter de massacrer tout ce qui était vivant aux alentours. N’écoutant que mon courage, je ressaute dans un passage qui venait juste de s’ouvrir. Et là, j’me dis que je dois vraiment de la malchance.
Vous connaissez l’expression retour à la « case » départ ?
Exactement, j’ai atterri à coté de l’elfe aux petites boules de couleur. Oh, mais c’était pas si grave, ça, en fait. J’lui ai raconté vite fait la scène de meurtre qui avait eu lieu. Ni une, ni deux, il est allé se cacher, emmenant tous ses p’tits copains avec lui.
Et voilà, un vrai professionnel, j’étais seul face à MON mur. J’étais seul face au trésor. et il avait pas chaumé, le Gomz, en attendant : De toute évidence, j’avais plus grand-chose à faire.
A peine quelques coups de pioches, et déjà ça se sentait que j’arrivais au but ! Au bout de la pioche, j’ai senti le mur s’écrouler. C’était un moment merveilleux. J’crois même que j’ai pleuré d’émotion. A moins que ce soit la poussière due à l’effondrement du mur qui me soit entré dans l’œil.
Le temps que le nuage se dissipe, j’ouvrais grand les yeux, prêt à bondir sur…
RIEN !!!
A nouveau, ma vie était finie.
Oh, désespoir de ma vie!
C’est là que les trois sont arrivés. Ils étaient contents que le mur, il soit tombé. Parait que ca gênait tout le monde. Et si je vous dis que ça me fait une belle jambe ?
J’ai composé un visage satisfait, genre quand je me rends compte que l’aubergiste s’est trompé dans la monnaie et m’a rendu plus. « Ohh, oui, c’est vraiment fantastique, le mur, il est tombé ! »
Et j’me demande bien c’qui leur a passé par la tête, là, ils m’ont parlé d’un trésor, un trésor qui se cache quelque part, faut que j’les suive, ils vont me montrer où. Sont vachement doués pour remonter le moral, les petits gars. Quand même, sont bien bêtes…
Ca ne se dit pas, ces choses là…
Un mur tombe au pays des pas perdus
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Tasdor Dur
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- Inscription : 08 janv. 2006 22:49
Un mur tombe au pays des pas perdus
Si un et un faisaient trois... ça ferait plus!
Carnet de bord de Spank.
Cela fait une nombreuse semaine que je cartographiais le pays des pas perdu avec mes deux compères Gomz et Riuk. Marcher n’est pas vraiment passionnant mais cela permet de ramasser de nombreux objets aux détours des couloirs tels que runes, brouzoufs et autres armes insolites.
Un beau jour, j’étais arrivé près d’un dispensaire, je me rendis compte que ma carte de cet étage était complète. Il faut s’y faire toute aventure à une fin mais maintenant que faire ? Où aller ? Je n’en savais rien du tout.
Je décidai de me poser et de regarder autour de moi les différentes solutions à mon problème. « Tiens un escalier descendant, un petit tour chez les morts vivants serait peut être intéressant ? Ou sinon ce groupe de monstre pourrait m’occuper quelque temps ? Non j’ai mieux, soigner et guider les pauvres aventuriers sortant du dispensaire. »
C’est comme ça que je me suis retrouvé au milieu des mourants à discuter avec tout le monde jusqu'à tomber sur une personne qui sortait du lot : en pleine forme, habillé luxueusement étrange dans ce lieu, dotant plus que ce n’était pas un prêtre, son nom est Onya l’architecte.
Ce nom m’évoqua un vague souvenir, mais quoi ? Au bout de plusieurs minutes de concentration la mémoire me revint, Onya était là pour construire un mur bloquant le Balrog. C’est à ce moment là qu’un détail me frappa, le passage plus au sud du dispensaire était bouché par un mur, un mur qui n’était pas la lors de mon dernier passage quelques mois plus tôt.
Petit à petit une idée grandissait dans mon esprit : « Et si je tentais de m’attaquer au mur récemment construit ? La pioche que j’ai ramassée au détour d’un couloir pourrait peut être m’aider ? » Aussitôt dit aussitôt fait je tendais la pioche à Gomz qui se mit à creuser instantanément.
Plusieurs jours passèrent, de longs jours pas très palpitants, surtout pour Gomz qui apprenait à piocher au milieu des chutes de pierres et des coups de grisou, quand un beau matin un nain petit et maigrichon arrive la bouche en cœur :« Je peux aider ? Ca a l’air passionnant ! » dit il. En tant normal je n’aime pas trop les nains arrivant à l’inconnue mais un peu d’aide n’était pas de refus. Le temps de lui donner une pioche et hop il se mit au travail.
Il faisait preuve de bonne volonté mais son incompétence commençait à m’exaspérer, les chutes de pierres sous ses petits coups de pioches commençant à le blesser je lui proposais gentiment mes soins, c’est à ce moment là que je reçu une réponse négative, ce fut la goutte d’eau qui fait déborder le vase elle venait de remettre en doute ma capacité de mage.
Normalement je suis difficilement irritable mais là je n’en pouvais plus. Il me fallut a peine deux secondes pour faire appelle a ma magie et projeter instantanément 4 petites boules colorées qui vinrent se loger dans le frêle corps du nain. Il les encaissa violemment ce qui me surpris pour un nain sensé résister plus que la normal à la magie. Il l’avait bien cherché, j’espérais que ça le calmerait.
Le lendemain à mon réveil horreur et stupéfaction plus de Tasdor Dur à nos cotés (ce qui n’étais pas plus mal) mais pire que ça le bougre avait emporter MA pioche avec lui. Plusieurs passages étaient en vue, je ne saurais jamais où il était parti. C’est avec résignation que Gomz se remis au travail ce départ lui rajoutais de la charge de travail.
Le miracle arriva quelque jour plus tard, comme par magie Tasdor Dur réapparu à coté de moi. Un détail avait pourtant changé il n’était plus énervé mais terrifié. Il tenta de m’expliquer ce qui lui était arrivait, une histoire de rencontre avec des meurtriers sanguinaires puis l’assassinat de plusieurs personnes autour de lui, je ne comprenais pas grand-chose, en tout cas il avait a peine fini l’explication qu’il était dans le dispensaire bien protégé derrière les hauts murs. Je me résigna moi aussi à contre cœur et retourna au dispensaire en attendant l’incursion éventuelle des tueurs présumés.
Après une courte période d’attente pour être sur (bien trop longue à mon goût) nous nous remîmes tous ensemble au travail. Le mur s’effondra assez vite sous les coups cumulés de Gomz et Tasdor Dur. Nous avions enfin atteint notre but : ré ouvrir la voie reliant l’escalier montant et l’escalier descendant au Pays des pas perdus.
A peine le mur était tombé que Tasdor Dur me fit savoir qu’il n’avait pas supporté ma réaction (somme toute assez banale) et qu’il désirait quitter notre trio de choc. Il fallait l’avouer, ce petit nain nouvellement arrivé était quand même bien utile, je devais à tout prit le convaincre de rester. Heureusement pour moi un nain est assez bête, il suffit de lui promettre de la bière ou un trésor et il serait prêt à tout pour vous suivre. Ce que je fit aussitôt, je lui parlais d’une histoire fictive de trésor à la quelle il crut directement.
C’est quand même bien bête un nain.
Cela fait une nombreuse semaine que je cartographiais le pays des pas perdu avec mes deux compères Gomz et Riuk. Marcher n’est pas vraiment passionnant mais cela permet de ramasser de nombreux objets aux détours des couloirs tels que runes, brouzoufs et autres armes insolites.
Un beau jour, j’étais arrivé près d’un dispensaire, je me rendis compte que ma carte de cet étage était complète. Il faut s’y faire toute aventure à une fin mais maintenant que faire ? Où aller ? Je n’en savais rien du tout.
Je décidai de me poser et de regarder autour de moi les différentes solutions à mon problème. « Tiens un escalier descendant, un petit tour chez les morts vivants serait peut être intéressant ? Ou sinon ce groupe de monstre pourrait m’occuper quelque temps ? Non j’ai mieux, soigner et guider les pauvres aventuriers sortant du dispensaire. »
C’est comme ça que je me suis retrouvé au milieu des mourants à discuter avec tout le monde jusqu'à tomber sur une personne qui sortait du lot : en pleine forme, habillé luxueusement étrange dans ce lieu, dotant plus que ce n’était pas un prêtre, son nom est Onya l’architecte.
Ce nom m’évoqua un vague souvenir, mais quoi ? Au bout de plusieurs minutes de concentration la mémoire me revint, Onya était là pour construire un mur bloquant le Balrog. C’est à ce moment là qu’un détail me frappa, le passage plus au sud du dispensaire était bouché par un mur, un mur qui n’était pas la lors de mon dernier passage quelques mois plus tôt.
Petit à petit une idée grandissait dans mon esprit : « Et si je tentais de m’attaquer au mur récemment construit ? La pioche que j’ai ramassée au détour d’un couloir pourrait peut être m’aider ? » Aussitôt dit aussitôt fait je tendais la pioche à Gomz qui se mit à creuser instantanément.
Plusieurs jours passèrent, de longs jours pas très palpitants, surtout pour Gomz qui apprenait à piocher au milieu des chutes de pierres et des coups de grisou, quand un beau matin un nain petit et maigrichon arrive la bouche en cœur :« Je peux aider ? Ca a l’air passionnant ! » dit il. En tant normal je n’aime pas trop les nains arrivant à l’inconnue mais un peu d’aide n’était pas de refus. Le temps de lui donner une pioche et hop il se mit au travail.
Il faisait preuve de bonne volonté mais son incompétence commençait à m’exaspérer, les chutes de pierres sous ses petits coups de pioches commençant à le blesser je lui proposais gentiment mes soins, c’est à ce moment là que je reçu une réponse négative, ce fut la goutte d’eau qui fait déborder le vase elle venait de remettre en doute ma capacité de mage.
Normalement je suis difficilement irritable mais là je n’en pouvais plus. Il me fallut a peine deux secondes pour faire appelle a ma magie et projeter instantanément 4 petites boules colorées qui vinrent se loger dans le frêle corps du nain. Il les encaissa violemment ce qui me surpris pour un nain sensé résister plus que la normal à la magie. Il l’avait bien cherché, j’espérais que ça le calmerait.
Le lendemain à mon réveil horreur et stupéfaction plus de Tasdor Dur à nos cotés (ce qui n’étais pas plus mal) mais pire que ça le bougre avait emporter MA pioche avec lui. Plusieurs passages étaient en vue, je ne saurais jamais où il était parti. C’est avec résignation que Gomz se remis au travail ce départ lui rajoutais de la charge de travail.
Le miracle arriva quelque jour plus tard, comme par magie Tasdor Dur réapparu à coté de moi. Un détail avait pourtant changé il n’était plus énervé mais terrifié. Il tenta de m’expliquer ce qui lui était arrivait, une histoire de rencontre avec des meurtriers sanguinaires puis l’assassinat de plusieurs personnes autour de lui, je ne comprenais pas grand-chose, en tout cas il avait a peine fini l’explication qu’il était dans le dispensaire bien protégé derrière les hauts murs. Je me résigna moi aussi à contre cœur et retourna au dispensaire en attendant l’incursion éventuelle des tueurs présumés.
Après une courte période d’attente pour être sur (bien trop longue à mon goût) nous nous remîmes tous ensemble au travail. Le mur s’effondra assez vite sous les coups cumulés de Gomz et Tasdor Dur. Nous avions enfin atteint notre but : ré ouvrir la voie reliant l’escalier montant et l’escalier descendant au Pays des pas perdus.
A peine le mur était tombé que Tasdor Dur me fit savoir qu’il n’avait pas supporté ma réaction (somme toute assez banale) et qu’il désirait quitter notre trio de choc. Il fallait l’avouer, ce petit nain nouvellement arrivé était quand même bien utile, je devais à tout prit le convaincre de rester. Heureusement pour moi un nain est assez bête, il suffit de lui promettre de la bière ou un trésor et il serait prêt à tout pour vous suivre. Ce que je fit aussitôt, je lui parlais d’une histoire fictive de trésor à la quelle il crut directement.
C’est quand même bien bête un nain.
