Un amour improbable
*Depuis quelque temps Kaiba avais changé, il semblais reveur, ces pas de danse étais plus rapide, plus beau, plus sensuel, c'est vers étais plus gai, plus habité. Il semblais s'etre trouvé une ame.
Bhlown et Burk ne le reconnaissais plus, Kaiba passais ces journées a écrire et a chanter, il lui arrivais meme de laisser la vie sauvent a ceux a qui il donnais des cours. Burk n'en pouvais plus de finir le travail de Kaiba.
"Mais qu'est ce qu'il t'arrive merde y'en as marre, c'est tres bien, tu n'as jamais aussi bien dansé, tu n'as jamais aussi bien écris. Mais merde tu laisse la vie a des gens qui ne la méritepas, la plus part n'ont rien appris de tes cours, il ne mérite pas la vie.
-C'est plus fort que Burk (comme séga) mon coeur a chaviré, je suis amoureux.
A ces mots Bh arriva:
-J't'ai d'ja dis qu'les gonz' c'est que du mal, t'peu pas f''re c'mme tout l'mond et t'payer une fille de joie
-Non je ne suis pas comme ça tu le sais bien, en plus j'ai pas un sous en poches.
k-s écoutais avec attention la discution le petite elfe s'approchas du groupe
-Tu sais une femme aime les jolies mots, dis lui ce que tu pense, tu n'as rien a perdre, au faites de qui est tu amoureux?
Kaiba se tue deux minutes et dans un toussotement géné
-A...re..dhiel
-Argggg mais t'est tombé sur la tete cette femme n'ai pas fais pour toi, ce n'est qu'une harpie qui te manipule
-Non je l'aime et je suis sure qu'elle as des sentiments pour moi, je m'en vais lui dire ce que je pense, puisse toutes ma verve et mon talent lui ouvrir l'esprit"
*Sur ces mots Kaiba pris sa veste sur son épaules et partie, tout le monde était resté bouche bée*
Bhlown et Burk ne le reconnaissais plus, Kaiba passais ces journées a écrire et a chanter, il lui arrivais meme de laisser la vie sauvent a ceux a qui il donnais des cours. Burk n'en pouvais plus de finir le travail de Kaiba.
"Mais qu'est ce qu'il t'arrive merde y'en as marre, c'est tres bien, tu n'as jamais aussi bien dansé, tu n'as jamais aussi bien écris. Mais merde tu laisse la vie a des gens qui ne la méritepas, la plus part n'ont rien appris de tes cours, il ne mérite pas la vie.
-C'est plus fort que Burk (comme séga) mon coeur a chaviré, je suis amoureux.
A ces mots Bh arriva:
-J't'ai d'ja dis qu'les gonz' c'est que du mal, t'peu pas f''re c'mme tout l'mond et t'payer une fille de joie
-Non je ne suis pas comme ça tu le sais bien, en plus j'ai pas un sous en poches.
k-s écoutais avec attention la discution le petite elfe s'approchas du groupe
-Tu sais une femme aime les jolies mots, dis lui ce que tu pense, tu n'as rien a perdre, au faites de qui est tu amoureux?
Kaiba se tue deux minutes et dans un toussotement géné
-A...re..dhiel
-Argggg mais t'est tombé sur la tete cette femme n'ai pas fais pour toi, ce n'est qu'une harpie qui te manipule
-Non je l'aime et je suis sure qu'elle as des sentiments pour moi, je m'en vais lui dire ce que je pense, puisse toutes ma verve et mon talent lui ouvrir l'esprit"
*Sur ces mots Kaiba pris sa veste sur son épaules et partie, tout le monde était resté bouche bée*
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi
*Kaiba venais de prendre une décision qui allais peut etre changer sa vie, des souvenirs lui revinrent alors....*
C'etait un jour important pour les menestrels, ils allaient enfin sortir de prison, il avais durant plus d'un mois preparés leurs spéctacle, il étais enfin prés. Tout leurs fan les attendais a la sortie de la prison il le savais, depuis trop longtemps maintenant il les faisaient attendre, et meme si le spectacle n'etait pas parfais, l'appel de la foule était la plus forte.
Enfin les portes s'ouvraient, les menestrels urent d'abord du mal a s'aclimater a cette chaleur qu'ils n'avais plus sentis depuis trop longtemps, oui c'etait bien ça, le soleil, cette astre magnifique allais faire briller le spéctacle. Les uns aprés les autres les menestrels sortirent, la foule était pressé au abord de la prefecture, les cris des fans en folie qu'ils n'avais plus entendu depuis trop longtemps, cette lumiere divine qui les irradiais. Tout étais préssant pour que le spéctacle soit magnifique, mais les menestrels ne devaient pas commencé leurs tournées ici, ils avaient des engagements.
Le seul but des menestrels est de satisfaire le public, alors advienne que pourras, la tournée commencera ici. Des miliciens était parmis les fans, ils voulaient plus que tout participer, ils furent donc choisi, une premiere valse, une deuxieme la foule en furie qui acoure, bientot trop de fan, les menestrels était submergé. mais ce n'etait pas important, ils allaient contenté la foule jusqu'as ce qu'ils meurt de fatigue, c'etait aussi ça d'etre menestrels.
Soudain Kaiba vu apparaitre ce qu'il ne pensais pas possible, une beauté incroyable, qui etait elle, cette fan n'etait pas comme les autres, elle appreciais le spéctacle mais restais en arriére, Kaiba n'en croyais pas ces yeux, ce qu'elle pouvais etre belle, il devais a tout pris la connaitre, il le savais cette vision venais de le changer, "qu'est ce que cette chaleur que je ressend soudain? Mon coeur bat comme il n'as jamais battu, je n'en supporterais pas plus, il faut que je lui dise, elle dansera avec moi et m'aimera comme je l'aime".
Kaiba entama donc les premiers pas de danse, elle ne semblais pas interessé, elle semblais vouloir éviter son regard, Kaiba ne la laisserais pas, elle devait s'amuser, il en est ainsi. Peu a peu le visage de cette femme s'ouvri, un sourire apparu meme sur ce visage magnifique, "un sourire elle me sourit, qu'est ce qu'elle est belle", cette dame qui semblais si froide et si rigide semble s'ouvrir au monde, une valse demarre, un deux trois, un deux trois, elle lui écrase un peu les pieds mais se débrouille tres bien tout de meme, quel bonheur pour Kaiba il avait oublié tout le reste, seul comptais cette instant, le ciel pouvais s'effondrer kaiba n'en avais que faire. C'etait elle, elle qui allais permettre a Kaiba de devenir enfin l'artiste qu'il avais toujours révé d'etre. Sa muse cette femme deviendrais sa muse, tout étais tellement parfais......
............Kaiba se reveilla, il étais encore en prison, que c'etait il passé avait il revé? Rien n'avais changé toujours cette prison, toujours le froid, toujours ces habis en lambeau. Mais ou étais ces amis menestrels? kaiba devrais se trouver devant la porte, mais il était au dispensaire, comment cela était'il possible? Il se releva doucement, son crane le souffrais souffrir, ces cotes étais endoloris, mais..... ces pieds.... il sentais une légére souffrances provenant de ces pieds..... ce n'etait peut etre pas un reve..... peut etre existe t'elle vraiment.... Kaiba couru..... il ne ressentais plus la douleur.... il cherchais Bhlown.... il devais le trouver..... il devais lui demander......enfin il était là.....
"BHLOWNNNNNN, Qu'EST CE QU'IL C'EST PASSE??
-Calme toi le spéctacle est fini voilà tout, tu a été parfais, tu fais de gros progrés.
-Qué....Qué....Qué ce qu'il c'est passé?
-Trop de fans nous n'avons pas pu les retenirs, mais ne t'inquiete pas, cette femme avec qui tu dansais n'est pas n'importe qui.
-Elle.....elle.....elle existe vraiment?
-Mais bien sure que oui que raconte tu, le coup que tu as reçu a t'il été si puissant que tu ne te rappel plus?
-Qui.....Qui.....Qui est elle?
-Tu as danser avec la prefete de la milice Dame Aredhiel
C'etait un jour important pour les menestrels, ils allaient enfin sortir de prison, il avais durant plus d'un mois preparés leurs spéctacle, il étais enfin prés. Tout leurs fan les attendais a la sortie de la prison il le savais, depuis trop longtemps maintenant il les faisaient attendre, et meme si le spectacle n'etait pas parfais, l'appel de la foule était la plus forte.
Enfin les portes s'ouvraient, les menestrels urent d'abord du mal a s'aclimater a cette chaleur qu'ils n'avais plus sentis depuis trop longtemps, oui c'etait bien ça, le soleil, cette astre magnifique allais faire briller le spéctacle. Les uns aprés les autres les menestrels sortirent, la foule était pressé au abord de la prefecture, les cris des fans en folie qu'ils n'avais plus entendu depuis trop longtemps, cette lumiere divine qui les irradiais. Tout étais préssant pour que le spéctacle soit magnifique, mais les menestrels ne devaient pas commencé leurs tournées ici, ils avaient des engagements.
Le seul but des menestrels est de satisfaire le public, alors advienne que pourras, la tournée commencera ici. Des miliciens était parmis les fans, ils voulaient plus que tout participer, ils furent donc choisi, une premiere valse, une deuxieme la foule en furie qui acoure, bientot trop de fan, les menestrels était submergé. mais ce n'etait pas important, ils allaient contenté la foule jusqu'as ce qu'ils meurt de fatigue, c'etait aussi ça d'etre menestrels.
Soudain Kaiba vu apparaitre ce qu'il ne pensais pas possible, une beauté incroyable, qui etait elle, cette fan n'etait pas comme les autres, elle appreciais le spéctacle mais restais en arriére, Kaiba n'en croyais pas ces yeux, ce qu'elle pouvais etre belle, il devais a tout pris la connaitre, il le savais cette vision venais de le changer, "qu'est ce que cette chaleur que je ressend soudain? Mon coeur bat comme il n'as jamais battu, je n'en supporterais pas plus, il faut que je lui dise, elle dansera avec moi et m'aimera comme je l'aime".
Kaiba entama donc les premiers pas de danse, elle ne semblais pas interessé, elle semblais vouloir éviter son regard, Kaiba ne la laisserais pas, elle devait s'amuser, il en est ainsi. Peu a peu le visage de cette femme s'ouvri, un sourire apparu meme sur ce visage magnifique, "un sourire elle me sourit, qu'est ce qu'elle est belle", cette dame qui semblais si froide et si rigide semble s'ouvrir au monde, une valse demarre, un deux trois, un deux trois, elle lui écrase un peu les pieds mais se débrouille tres bien tout de meme, quel bonheur pour Kaiba il avait oublié tout le reste, seul comptais cette instant, le ciel pouvais s'effondrer kaiba n'en avais que faire. C'etait elle, elle qui allais permettre a Kaiba de devenir enfin l'artiste qu'il avais toujours révé d'etre. Sa muse cette femme deviendrais sa muse, tout étais tellement parfais......
............Kaiba se reveilla, il étais encore en prison, que c'etait il passé avait il revé? Rien n'avais changé toujours cette prison, toujours le froid, toujours ces habis en lambeau. Mais ou étais ces amis menestrels? kaiba devrais se trouver devant la porte, mais il était au dispensaire, comment cela était'il possible? Il se releva doucement, son crane le souffrais souffrir, ces cotes étais endoloris, mais..... ces pieds.... il sentais une légére souffrances provenant de ces pieds..... ce n'etait peut etre pas un reve..... peut etre existe t'elle vraiment.... Kaiba couru..... il ne ressentais plus la douleur.... il cherchais Bhlown.... il devais le trouver..... il devais lui demander......enfin il était là.....
"BHLOWNNNNNN, Qu'EST CE QU'IL C'EST PASSE??
-Calme toi le spéctacle est fini voilà tout, tu a été parfais, tu fais de gros progrés.
-Qué....Qué....Qué ce qu'il c'est passé?
-Trop de fans nous n'avons pas pu les retenirs, mais ne t'inquiete pas, cette femme avec qui tu dansais n'est pas n'importe qui.
-Elle.....elle.....elle existe vraiment?
-Mais bien sure que oui que raconte tu, le coup que tu as reçu a t'il été si puissant que tu ne te rappel plus?
-Qui.....Qui.....Qui est elle?
-Tu as danser avec la prefete de la milice Dame Aredhiel
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi
*Kaiba arrivais devant la milice avec des reves plein la tete, il ne savais pas comment il devais s'y prendre pour gagner le coeur d'Aredhiel, cette femme n'etait pas de son rang, elle venais de la haute société. Lui n'etais rien, si ce n'est un va nu pied, un badaud, toute sa vie n'etais que boheme, il allais de vilage en vilage pour danser et chanter, bien sure cette vie ne lui rapportais pas grand chose, mais il était heureux ainsi c'etait la vie qu'il avais choisi. Mais Aredhiel ne faisait pas partie de ce monde, allait'elle accepté d'aimé un homme comme lui? De toute façon il étais trop tard pour reculer, il étais parti de chez lui et claquant la porte et ne reviendrais qu'en ayant accomplis ce pourquoi il était parti*
Sur ce Kaiba trouva un milicien, il semblais nouveau, apres deux ou trois pas de danse, le milicien ne semblais plus, Kaiba pris donc le mégaphone du milicien
"Désolé c'est pour la bonne cause, je te rend apres
Kaiba pris le mégaphone
Madame, je ne sais pas si vous vous rappelé de moi, en effet je ne suis personne,un simple danseur, un artiste sans ame, et meme un danseur raté. Du moins c'est ce que j'etais avant de vous rencontrer, vous avez changé ma vie, a votre vie mon coeur c'est ouvert, je ne pensais qu'as danser et chanter, rendre mon public heureux, je ne savais pas pourquoi je n'y arrivais pas. Mais maintenant je sais que si je n'arrivais pas a rendre les gens heureux, c'est tout simplement parce que je n'etais pas heureux.
Vous etes mon rayon de soleil, mon oxygene, ma muse, votre image m'accompagne partout, tout mes gestes toutes mes paroles, toutes mes poémes, tout mes pas de danse vous sont dédié. Je ne vis que dans l'espoir de vous voir sourire, vous sembliez si stricte, si rigide avant que je ne vous fasse danser, mais déja vous me plaisiez, j'ai vu en vous une femme radieuse, une joie caché malheuresement, je me demandais ce qui pouvais vous rendre ainsi, je sais maintenant que ce n'etait que le poids des responsabilité sous lequels vous croulez. Durant cette danse vous etes etes révélé, j'en suis sure vous y avez pris plaisir.
Je sais que pour vous je ne suis rien, tout au plus des pieds que vous avez écrasé rien de plus, mais je peux vous assuré que ce moment de bonheur simple que vous avez vécu en ma compagnie, je ferais tout pour vous le faires revivre au centuple, rien n'est plus important pour moi que votre bonheur, vos responsabilités sont bien belle mais elle vous enleve le droit d'etre heureuse. Gardez votre milice et je me chargerais de vous redonner le sourire
Sur ce Kaiba trouva un milicien, il semblais nouveau, apres deux ou trois pas de danse, le milicien ne semblais plus, Kaiba pris donc le mégaphone du milicien
"Désolé c'est pour la bonne cause, je te rend apres
Kaiba pris le mégaphone
Madame, je ne sais pas si vous vous rappelé de moi, en effet je ne suis personne,un simple danseur, un artiste sans ame, et meme un danseur raté. Du moins c'est ce que j'etais avant de vous rencontrer, vous avez changé ma vie, a votre vie mon coeur c'est ouvert, je ne pensais qu'as danser et chanter, rendre mon public heureux, je ne savais pas pourquoi je n'y arrivais pas. Mais maintenant je sais que si je n'arrivais pas a rendre les gens heureux, c'est tout simplement parce que je n'etais pas heureux.
Vous etes mon rayon de soleil, mon oxygene, ma muse, votre image m'accompagne partout, tout mes gestes toutes mes paroles, toutes mes poémes, tout mes pas de danse vous sont dédié. Je ne vis que dans l'espoir de vous voir sourire, vous sembliez si stricte, si rigide avant que je ne vous fasse danser, mais déja vous me plaisiez, j'ai vu en vous une femme radieuse, une joie caché malheuresement, je me demandais ce qui pouvais vous rendre ainsi, je sais maintenant que ce n'etait que le poids des responsabilité sous lequels vous croulez. Durant cette danse vous etes etes révélé, j'en suis sure vous y avez pris plaisir.
Je sais que pour vous je ne suis rien, tout au plus des pieds que vous avez écrasé rien de plus, mais je peux vous assuré que ce moment de bonheur simple que vous avez vécu en ma compagnie, je ferais tout pour vous le faires revivre au centuple, rien n'est plus important pour moi que votre bonheur, vos responsabilités sont bien belle mais elle vous enleve le droit d'etre heureuse. Gardez votre milice et je me chargerais de vous redonner le sourire
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi
Kaiba assis devant cette batisse aurais pu ne pas se sentir a l'aise, en effet il se trouvais devant la milice, beaucoup de ceux s'y trouvant n'avais encore rien compris, il le prenais toujours pour un tueur sanguinaire. Ils n'avaient pas compris que le but des menestrels est donner des cours, montrer leurs joies de vivre et la faire partager.
Comment etais ce possible celà faisait presque une lune que Kaiba attendais patiemment, il avais eu besoin d'un mégaphone et avais du pour ça assomer un milicien, ce milicien étais depuis rentré en courant dans ces quartiers, Kaiba c'etait attendu a la venu de certains miliciens pour demander des explications, mais rien personne, la milice semblais endormi depuis sont arrivé.
Kaiba, depuis sa rencontre de la prefette, evitais de juger les miliciens. Mais il se mettais a penser que les miliciens n'etait en faites que des balots qui ne comprennais rien, comment cette femme dont la beauté ne sera jamais d'égalé pouvait elle rester ici, comment pouvait elle supporter cette bande d'autiste. Nul n'etait venu, il c'etait attendu a ce faire conspuer, et aurait été pres a tout endurer, mais les miliciens ne semblais pas capable de prendre des responsabilités.
Kaiba se dis qu'il n'avais rien a leurs envier, lui au moins étais capable de dire ce qu'il pense. Lui au moins n'avais pas peur de ses sentiments et n'avais pas peur de se dévoiler.
Comment etais ce possible celà faisait presque une lune que Kaiba attendais patiemment, il avais eu besoin d'un mégaphone et avais du pour ça assomer un milicien, ce milicien étais depuis rentré en courant dans ces quartiers, Kaiba c'etait attendu a la venu de certains miliciens pour demander des explications, mais rien personne, la milice semblais endormi depuis sont arrivé.
Kaiba, depuis sa rencontre de la prefette, evitais de juger les miliciens. Mais il se mettais a penser que les miliciens n'etait en faites que des balots qui ne comprennais rien, comment cette femme dont la beauté ne sera jamais d'égalé pouvait elle rester ici, comment pouvait elle supporter cette bande d'autiste. Nul n'etait venu, il c'etait attendu a ce faire conspuer, et aurait été pres a tout endurer, mais les miliciens ne semblais pas capable de prendre des responsabilités.
Kaiba se dis qu'il n'avais rien a leurs envier, lui au moins étais capable de dire ce qu'il pense. Lui au moins n'avais pas peur de ses sentiments et n'avais pas peur de se dévoiler.
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi
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- Inscription : 27 janv. 2005 00:22
[Maglor Inglorion]
C'est la fin de journée, le soleil redescend
Dans Delain se coucher
Y'a c'grand type un peu lourd qui partage ta serviette,
Il t'apprend à danser
De ses yeux de cocker, il te raconte blessé
Qu'il attend une grande histoire, enfin...
Qu'il a besoin de chaleur, qu'il est pote avec un morb'lin
Bras dessus bras dessous, des épaules taillées
A former une éclipse
Sans dessus, sans dessous, j'avale le calice... hips !
C'est la fin de journée, le soleil redescend
Dans Delain se coucher
Y'a c'grand type un peu lourd qui partage ta serviette,
Il t'apprend à danser
De ses yeux de cocker, il te raconte blessé
Qu'il attend une grande histoire, enfin...
Qu'il a besoin de chaleur, qu'il est pote avec un morb'lin
Bras dessus bras dessous, des épaules taillées
A former une éclipse
Sans dessus, sans dessous, j'avale le calice... hips !
Sous Préfet de la Milice
*Kaiba toujours assis a attendre la femme de son coeur regardais attentivement les locaux de la milice, il lui semblais appercevoir depuis déjà un bon moment un homme a une fenetre, a force de regarder attentivement il en su sure, un homme étais a la fenetre, le regard triste, une bouteille a la main. Cette vision le toucha, il tenta d'ecrire quelque mots son sur bloc note a la tristesse de cette homme*
Oh toi homme qui de est si haut perché
Le regard dans le vide et la bouteille a la main
Qu'est ce qui te rend triste du soir au matin?
Oh toi homme et ton regard enbrumé
Laisse entrer le soleil qui guéri tout les maux
Le bonheur est infime, il se dis en un mots
Ne te laisse pas abbatre, et bat toi tant et plus
Que de ta tristesse, le courage rejaisse
Que de tes peurs, tu rende fiere la milice
La paix de l'esprit tu trouvera sans abus
Alors posse cette bouteille, et ose crier
Ce qui te rend malheureux sans te l'avouer
*Ceci n'etait que peu de chose, mais le regard assombris de cette homme avais troublé Kaiba lui qui semblais toujours heureux*
Oh toi homme qui de est si haut perché
Le regard dans le vide et la bouteille a la main
Qu'est ce qui te rend triste du soir au matin?
Oh toi homme et ton regard enbrumé
Laisse entrer le soleil qui guéri tout les maux
Le bonheur est infime, il se dis en un mots
Ne te laisse pas abbatre, et bat toi tant et plus
Que de ta tristesse, le courage rejaisse
Que de tes peurs, tu rende fiere la milice
La paix de l'esprit tu trouvera sans abus
Alors posse cette bouteille, et ose crier
Ce qui te rend malheureux sans te l'avouer
*Ceci n'etait que peu de chose, mais le regard assombris de cette homme avais troublé Kaiba lui qui semblais toujours heureux*
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi
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- Inscription : 27 janv. 2005 00:22
Les discussions allaient bon train dans le bureau de la prefette, aux paroles de méfiances s'ajoutèrent les reproches de certains qui pensaient qu'elle ne devait pas s'afficher en public avec Kaiba. Aredhiel avait été patiente jusqu'e là mais elle commencait à se lasser des bonnes intentions de ceux qui venaient lui parler. Soudain elle se leva et leur déclara qu'elle allait parler à Kaiba et que celà leur plaise ou non. Devant la porte d'accès, des gardes faisant barrage, empêchait poliment la prefette de passer pour des raisons de sécurité.
Garde: "Madame, nous ne pouvons vous laisser rejoindre cette vermine qui profiterait que vous soyez seule pour vous attaquer ou pire encore, nous avons reçu l'ordre de ne point vous laisser sortir de la préfecture tant qu'il sera encore là."
Aredhiel: "Il me semble que vous oubliez à qui vous vous adressez, messire, est il besoin de vous rappeller que je cherche toujours des volontaires pour assainir les douches de la prison ? J'ai passé la journée à écouter ce genre de propos au sujet de messire Kaiba, ma patience a atteint ses limites, je vous déconseille de me désobéir. Si toutefois vous craignez pour ma vie accompagnez-moi mais ne m'empêchez pas d'aller lui parler."
Les gardes inquiets de la réponse de la préfette et ne souhaitant pas changer de poste, décidèrent de l'accompagner. Elle allait se diriger vers celui qui faisait l'objet des conversations... Elle avait encore en mémoire leur rencontre qui l'avait troublée...Elle qui était venue voir ce qui se passait à la prefecture quand elle avait apprit qu'un rassemblement assez houleux s'y tenait. Elle était surprise de voir tant de gens danser et crier des noms quelle ne connaissait pas, elle observait tout ce qui se passait. Et soudain, il apparu devant elle, cet inconnu souriant et l'instant suivant elle se retrouvait tournoyant dans une danse ennivrante dont elle tentait maladroitement de garder la cadence au détriment des pieds de son cavalier... Et soudain, un milicien l'avait appelé et à peine le temps de se retourner pour savoir de quoi il s'agissait que son cavalier avait disparu, ne laissant de son passage qu'un sentiment de joie et un étourdissement...
"Bin vl'a qui sont en prison m'dame la préfette, lui dit un milicien, y vont plus causer d'problèmes pendant un bon temps"...
Aredhiel sortit de ses pensées quand un des gardes lui cria de prendre garde... Elle était à nouveau devant celui qui l'avait fait danser et réver l'espace d'un instant. Son regard semblait si lointain qu'elle eut du mal à sortir ces mots.
"Bonjour messire, je suis ravie de vous voir à nouveau, notre dernière recontre s'en est trouvé très vite abbrégée sans que je puisses vous remercie des pas de danses que vous m'avez apprit... J'espère que vous ne me tenez pas rigueur des douleurs que j'ai infligé à vos pieds par ma maladresse... Vo.. votre arrivée à la préfecture a surprit bien du monde de part les propos que vous avez tenu..."
La préfette se sentant rougir cessa de parler...
Garde: "Madame, nous ne pouvons vous laisser rejoindre cette vermine qui profiterait que vous soyez seule pour vous attaquer ou pire encore, nous avons reçu l'ordre de ne point vous laisser sortir de la préfecture tant qu'il sera encore là."
Aredhiel: "Il me semble que vous oubliez à qui vous vous adressez, messire, est il besoin de vous rappeller que je cherche toujours des volontaires pour assainir les douches de la prison ? J'ai passé la journée à écouter ce genre de propos au sujet de messire Kaiba, ma patience a atteint ses limites, je vous déconseille de me désobéir. Si toutefois vous craignez pour ma vie accompagnez-moi mais ne m'empêchez pas d'aller lui parler."
Les gardes inquiets de la réponse de la préfette et ne souhaitant pas changer de poste, décidèrent de l'accompagner. Elle allait se diriger vers celui qui faisait l'objet des conversations... Elle avait encore en mémoire leur rencontre qui l'avait troublée...Elle qui était venue voir ce qui se passait à la prefecture quand elle avait apprit qu'un rassemblement assez houleux s'y tenait. Elle était surprise de voir tant de gens danser et crier des noms quelle ne connaissait pas, elle observait tout ce qui se passait. Et soudain, il apparu devant elle, cet inconnu souriant et l'instant suivant elle se retrouvait tournoyant dans une danse ennivrante dont elle tentait maladroitement de garder la cadence au détriment des pieds de son cavalier... Et soudain, un milicien l'avait appelé et à peine le temps de se retourner pour savoir de quoi il s'agissait que son cavalier avait disparu, ne laissant de son passage qu'un sentiment de joie et un étourdissement...
"Bin vl'a qui sont en prison m'dame la préfette, lui dit un milicien, y vont plus causer d'problèmes pendant un bon temps"...
Aredhiel sortit de ses pensées quand un des gardes lui cria de prendre garde... Elle était à nouveau devant celui qui l'avait fait danser et réver l'espace d'un instant. Son regard semblait si lointain qu'elle eut du mal à sortir ces mots.
"Bonjour messire, je suis ravie de vous voir à nouveau, notre dernière recontre s'en est trouvé très vite abbrégée sans que je puisses vous remercie des pas de danses que vous m'avez apprit... J'espère que vous ne me tenez pas rigueur des douleurs que j'ai infligé à vos pieds par ma maladresse... Vo.. votre arrivée à la préfecture a surprit bien du monde de part les propos que vous avez tenu..."
La préfette se sentant rougir cessa de parler...
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*Fingon apparut derrière son ami de toujours...*
FF : Dans la vie courante,dans ses relations avec ses pareils, l'homme doit se servir de sa raison, mais il commettra moins d'erreurs s'il écoute son coeur...
MI : Vous savez que la raison et l'amour sont ennemis jurés... Malheureusement, l'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas... Voilà mon erreur...
Il est temps pour moi de me retirer... On se donne des souvenirs quand on se quitte...
FF : Dans la vie courante,dans ses relations avec ses pareils, l'homme doit se servir de sa raison, mais il commettra moins d'erreurs s'il écoute son coeur...
MI : Vous savez que la raison et l'amour sont ennemis jurés... Malheureusement, l'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas... Voilà mon erreur...
Il est temps pour moi de me retirer... On se donne des souvenirs quand on se quitte...
Sous Préfet de la Milice
Kaiba n'en croyais pas ces yeux, depuis une lune qu'il regardais cette porte, il ne pensais plus qu'elle allais s'ouvrir, pourtant cette porte était entrain de s'ouvrir, le temps n'etait plus a la danse, il devrais ce défendre face a ces miliciens qui venais surement pour le chasser de là, il s'y étais préparé, il n'avais aucune chance mais n'en avais que faire, il se défendrais corps et ame par amour, pour pouvoir enfin voir cette femme qu'il cherissais tant.
Mais..... mais.... mais..... ce n'etait pas possible, il devais réver, il se frotta les yeux, toujours cette meme image, il se pinça de peur de rever, il ne sentis que la douleur de son bras meutris, mais toujours cette image. C'etait elle, c'etait bien elle, belle comme le jour et radieuse comme cette astre qu'on appel soleil, elle s'avançais d'un pas lent, Kaiba voulu la rejoindre mais il avais fait le plus dure, il était venu jusque a elle, lui avais déclaré son amour. Elle venais de passer la porte, une secondes semblait etre une éternité, tout semblais tourner au ralenti, c'etait trop lent, il n'en pouvais plus d'attendre.
Soudain Kaiba remarqua deux hommes la suivant, deux hommes armés, ce n'etait pas possible, elle allais le faire chatier, non elle ne pouvais pas faire ça, pourtant son regard était étincellent, elle semblais heureuse, était-elle capable de prendre du plaisir a le voir souffrir, non Kaiba se refusais a y croire, ces gardes ne doivaient etre là que pour l'accompagner, ils doivent avoir peur que je ne lui fasse du mal.....
Un sentiment bizarre envahi alors Kaiba, il ressentais une boule au ventre, son coeur battais a cent a l'heure alors que le groupe se rapprochais lentement, qu'est ce que c'etait? Etais ce de la peur? Oui c'etait bien de la peur, mais la peur de quoi.... surement pas de ces deux gros bras qui suivais la prefete de pres, de trop pres au gout de Kaiba, il n'avais pas peur de mourir par amour...... alors quoi..... cette peur qu'etait elle.... Oui c'etait bien celà..... la peur d'etre rejetté.....
Enfin elle était là devant lui.... Les gardes n'avais pas osé approcher plus.... ou peut etre n'en avaient il pas le droit.... il étais resté a 3 ou 4 metres d'eux....elle allais parler.... des millions d'idée, de pensé passais dans la tete de Kaiba a ce moment là.... elle ouvrais la bouche.... puis la refermais..... elle avais fini..... ou peut etre ne savait elle pas quoi dire d'autre.... elle semblais géné..... Kaiba lui ne pouvais se résoudre a ce semblant de réponse.....
"Madame, je n'y croyais plus, je pensais que vous m'aviez oublié, ou peut etre.... Que vous ne m'aimiez pas comme je vous aime. Cependant vous etes là devant moi, plus belle que jamais, radieuse comme au jour de notre rencontre. Je ne sais trop quoi vous dire, je n'ai pas l'habitude de ces choses là. Je n'ai jamais vécu que pour rendre les gens heureux, cependant par cette belle journée devant la prefecture, j'ai été moi meme heureux, plus heureux que jamais. Vous avez su me rendre heureux, j'ai beaucoup souffert dans ma vie, je ne suis pas quelqu'un de la haute société, j'ai du travailler dure pour survivre, les jours et les nuits n'etait pour moi que travail. Cependant je n'echangerais pour rien au monde ma vie et tout ces problemes, a une autre vie plus rangé, car ma vie m'as permis pendant un court moment d'etre plus heureux que je le serais jamais, ce jour là a la prefecture a éffacé tout ce qui a pu etre dure pour moi. Mes malheurs et mes problemes, je les gardes si je peut garder en mémoire ces instants mémorable que j'ai passé avec vous.
Kaiba se sentis géné....
Excusé moi mes idées sont un peu confuse, mais c'est parce que je vous aime"
Edit:Fautes d'orthographe et mot manquant
Mais..... mais.... mais..... ce n'etait pas possible, il devais réver, il se frotta les yeux, toujours cette meme image, il se pinça de peur de rever, il ne sentis que la douleur de son bras meutris, mais toujours cette image. C'etait elle, c'etait bien elle, belle comme le jour et radieuse comme cette astre qu'on appel soleil, elle s'avançais d'un pas lent, Kaiba voulu la rejoindre mais il avais fait le plus dure, il était venu jusque a elle, lui avais déclaré son amour. Elle venais de passer la porte, une secondes semblait etre une éternité, tout semblais tourner au ralenti, c'etait trop lent, il n'en pouvais plus d'attendre.
Soudain Kaiba remarqua deux hommes la suivant, deux hommes armés, ce n'etait pas possible, elle allais le faire chatier, non elle ne pouvais pas faire ça, pourtant son regard était étincellent, elle semblais heureuse, était-elle capable de prendre du plaisir a le voir souffrir, non Kaiba se refusais a y croire, ces gardes ne doivaient etre là que pour l'accompagner, ils doivent avoir peur que je ne lui fasse du mal.....
Un sentiment bizarre envahi alors Kaiba, il ressentais une boule au ventre, son coeur battais a cent a l'heure alors que le groupe se rapprochais lentement, qu'est ce que c'etait? Etais ce de la peur? Oui c'etait bien de la peur, mais la peur de quoi.... surement pas de ces deux gros bras qui suivais la prefete de pres, de trop pres au gout de Kaiba, il n'avais pas peur de mourir par amour...... alors quoi..... cette peur qu'etait elle.... Oui c'etait bien celà..... la peur d'etre rejetté.....
Enfin elle était là devant lui.... Les gardes n'avais pas osé approcher plus.... ou peut etre n'en avaient il pas le droit.... il étais resté a 3 ou 4 metres d'eux....elle allais parler.... des millions d'idée, de pensé passais dans la tete de Kaiba a ce moment là.... elle ouvrais la bouche.... puis la refermais..... elle avais fini..... ou peut etre ne savait elle pas quoi dire d'autre.... elle semblais géné..... Kaiba lui ne pouvais se résoudre a ce semblant de réponse.....
"Madame, je n'y croyais plus, je pensais que vous m'aviez oublié, ou peut etre.... Que vous ne m'aimiez pas comme je vous aime. Cependant vous etes là devant moi, plus belle que jamais, radieuse comme au jour de notre rencontre. Je ne sais trop quoi vous dire, je n'ai pas l'habitude de ces choses là. Je n'ai jamais vécu que pour rendre les gens heureux, cependant par cette belle journée devant la prefecture, j'ai été moi meme heureux, plus heureux que jamais. Vous avez su me rendre heureux, j'ai beaucoup souffert dans ma vie, je ne suis pas quelqu'un de la haute société, j'ai du travailler dure pour survivre, les jours et les nuits n'etait pour moi que travail. Cependant je n'echangerais pour rien au monde ma vie et tout ces problemes, a une autre vie plus rangé, car ma vie m'as permis pendant un court moment d'etre plus heureux que je le serais jamais, ce jour là a la prefecture a éffacé tout ce qui a pu etre dure pour moi. Mes malheurs et mes problemes, je les gardes si je peut garder en mémoire ces instants mémorable que j'ai passé avec vous.
Kaiba se sentis géné....
Excusé moi mes idées sont un peu confuse, mais c'est parce que je vous aime"
Edit:Fautes d'orthographe et mot manquant
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi
*Aredhiel sourit tendrement à Kaiba en entendant ces paroles*
"vous devez être fatigué d'avoir attendu ainsi pour me voir... suivez moi, je vous prie, nous pourrons discuter dans un lieu qui je l'espère vous plaira..."
*Aredhiel fit signe aux gardes pour qu'il laisse passer Kaiba... ils passèrent dans un long couloir menant dans les différentes salles d'instructions et autres leixu administratif... ils arrivèrent devant un porte, un des garde l'ouvrit et Kaiba fut étonné de découvrir un grand jardin avec en son centre une fontaine... Aredhiel lui fit signe d'entrer...*
"venez donc mon cher Kaiba, nous serons plus tranquille pour parler en ces lieux... nous pourrons faire quelques pas, si vous vous en sentez la force... Vous me demandez si je vous aime comme vous m'aimez, je serais franche avec vous car je ne puis vous mentir... Lorsque vous m'avez entrainer dans cette danse, j'ai ressentit une joie que je ne connaissais pas, je me sentais transportée...
*Aredhiel souriait en repensant à cet instant où ses pieds s'entremèlaient à ceux de Kaiba, les écrasaient et il gardait toujours le sourire malgré la douleur*
... même si ma maladresse vous a causer quelques blessures... cet instant magique m'a fait oublier un instant les raisons de ma présence à la préfecture... et lorsque nous avons été séparé, j'ai douté un moment de votre existance... cela ressemblait plus à un rêve qur j'aurais fait éveillé... j'ai souvent repensé à vous en entendant vos exploits et je dois vous avouer que j'espérais vous revoir à nouveau pour mieux vous connaitre... je sais que nous sommes de deux mondes différents et opposés mais cela n'a pas d'importance à mes yeux... Il n'existe aucun mot pour décrire l'instant que k'ai vécu à vos cotés...
Je vous porte des sentiments qui je ne sais repousser même si mon entourage me pousse à vous éviter... Il m'est impossible actuellement de répondre à votre attente et cela n'a rien à voir avec un quelconque rang ou même avec la fonction que j'occupe mais il y a dans ma vie un autre homme pour qui mon coeur bat... je regrette de devoir vous imposer cela à tout deux mais je n'y peux rien actuellement... Je ne pensais pas qu'une telle chose puisse m'arriver, je n'ai jamais levé les yeux sur un homme depuis... depuis... je préfère éviter d'en parler pour l'instant. Je me consacrais à aider les autres sans m'attacher, cela évite bien des souffrances et aujourd'hui en est la preuve puisque je fais souffrir involontairement les deux hommes qui comptent le plus dans ma vie... Je comprendrais que vous m'en vouliez de vous annoncer cela aussi rapidement, vous qui avait fait un si long voyage pour me retrouver mais je ne peux vous trahir en faisant comme si je ne ressentait ces sentiments que pour vous..."
"vous devez être fatigué d'avoir attendu ainsi pour me voir... suivez moi, je vous prie, nous pourrons discuter dans un lieu qui je l'espère vous plaira..."
*Aredhiel fit signe aux gardes pour qu'il laisse passer Kaiba... ils passèrent dans un long couloir menant dans les différentes salles d'instructions et autres leixu administratif... ils arrivèrent devant un porte, un des garde l'ouvrit et Kaiba fut étonné de découvrir un grand jardin avec en son centre une fontaine... Aredhiel lui fit signe d'entrer...*
"venez donc mon cher Kaiba, nous serons plus tranquille pour parler en ces lieux... nous pourrons faire quelques pas, si vous vous en sentez la force... Vous me demandez si je vous aime comme vous m'aimez, je serais franche avec vous car je ne puis vous mentir... Lorsque vous m'avez entrainer dans cette danse, j'ai ressentit une joie que je ne connaissais pas, je me sentais transportée...
*Aredhiel souriait en repensant à cet instant où ses pieds s'entremèlaient à ceux de Kaiba, les écrasaient et il gardait toujours le sourire malgré la douleur*
... même si ma maladresse vous a causer quelques blessures... cet instant magique m'a fait oublier un instant les raisons de ma présence à la préfecture... et lorsque nous avons été séparé, j'ai douté un moment de votre existance... cela ressemblait plus à un rêve qur j'aurais fait éveillé... j'ai souvent repensé à vous en entendant vos exploits et je dois vous avouer que j'espérais vous revoir à nouveau pour mieux vous connaitre... je sais que nous sommes de deux mondes différents et opposés mais cela n'a pas d'importance à mes yeux... Il n'existe aucun mot pour décrire l'instant que k'ai vécu à vos cotés...
Je vous porte des sentiments qui je ne sais repousser même si mon entourage me pousse à vous éviter... Il m'est impossible actuellement de répondre à votre attente et cela n'a rien à voir avec un quelconque rang ou même avec la fonction que j'occupe mais il y a dans ma vie un autre homme pour qui mon coeur bat... je regrette de devoir vous imposer cela à tout deux mais je n'y peux rien actuellement... Je ne pensais pas qu'une telle chose puisse m'arriver, je n'ai jamais levé les yeux sur un homme depuis... depuis... je préfère éviter d'en parler pour l'instant. Je me consacrais à aider les autres sans m'attacher, cela évite bien des souffrances et aujourd'hui en est la preuve puisque je fais souffrir involontairement les deux hommes qui comptent le plus dans ma vie... Je comprendrais que vous m'en vouliez de vous annoncer cela aussi rapidement, vous qui avait fait un si long voyage pour me retrouver mais je ne peux vous trahir en faisant comme si je ne ressentait ces sentiments que pour vous..."
*A ces mots Kaiba eut un moment d'égarement, elle l'aimais, ou du moins avait elle des entiments pour lui. Mais il n'etait pas seul, il aurais du s'en douter, il étais claire que cette femme ne peut pas etre convoité. Apres cette pensé Kaiba repris la parole*
"Ce que vous me dites me touche, vous avez des sentiments pour moi et j'en suis flatté, touché, émus. Cependant je ne puis vous cacher ma déception, votre coeur est partagé, vous en aimé un autre, un autre de votre rang.
Cependant ou est'il, il est un milicien c'est presque certain, il vous sais a mes cotés, il vous sais dans ces superbe jardin avec moi, et il reste coit. A t'il une si grande confiance en lui et en vos sentiments a son égard qu'il ne viens meme pas défendre ses chances, défendre son honneur, défendre votre honneur.
Vous savez que je ne me battrais pas pour votre coeur, en tout cas pas avec des armes, il n'est pas dans mes habitudes de me battre. Mais je n'ai pas honte de mes sentiments, moi je ne me cache pas derriere un mur de pierre.
Pour votre coeur je ne sortirais pas les armes, vous avez déjà d'apres moi vu beaucoup trop de choses horribles, de meurtres, de sang, de cadavres. Je sais que vous y etes accoutumé, mais je ne veut pas a mon tour vous faires endurer ces choses là
Cependant, je suis pres a vous ouvrir mon coeur, a me battre pour vous conquérir.
Ou est cette homme qui dis avoir des sentiments pour vous, et qui prefere se cacher, est ce comme ça que vous voulez vivre toutes votre vie? Voulez vous toute votre vie avoir besoin de vous cacher pour aimer?
A t'il seulement eu le courage de ces ambitions? Croyez vous beaucoup de gens sois capable comme moi de risquer de se rididuliser par amour?"
*Kaiba avais dis ceci avec un ton assuré, mais sans aucune méchanceté il restais calme, meme si il semblais un peu déçu*
"Ce que vous me dites me touche, vous avez des sentiments pour moi et j'en suis flatté, touché, émus. Cependant je ne puis vous cacher ma déception, votre coeur est partagé, vous en aimé un autre, un autre de votre rang.
Cependant ou est'il, il est un milicien c'est presque certain, il vous sais a mes cotés, il vous sais dans ces superbe jardin avec moi, et il reste coit. A t'il une si grande confiance en lui et en vos sentiments a son égard qu'il ne viens meme pas défendre ses chances, défendre son honneur, défendre votre honneur.
Vous savez que je ne me battrais pas pour votre coeur, en tout cas pas avec des armes, il n'est pas dans mes habitudes de me battre. Mais je n'ai pas honte de mes sentiments, moi je ne me cache pas derriere un mur de pierre.
Pour votre coeur je ne sortirais pas les armes, vous avez déjà d'apres moi vu beaucoup trop de choses horribles, de meurtres, de sang, de cadavres. Je sais que vous y etes accoutumé, mais je ne veut pas a mon tour vous faires endurer ces choses là
Cependant, je suis pres a vous ouvrir mon coeur, a me battre pour vous conquérir.
Ou est cette homme qui dis avoir des sentiments pour vous, et qui prefere se cacher, est ce comme ça que vous voulez vivre toutes votre vie? Voulez vous toute votre vie avoir besoin de vous cacher pour aimer?
A t'il seulement eu le courage de ces ambitions? Croyez vous beaucoup de gens sois capable comme moi de risquer de se rididuliser par amour?"
*Kaiba avais dis ceci avec un ton assuré, mais sans aucune méchanceté il restais calme, meme si il semblais un peu déçu*
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi
*Les paroles que venait de prononcé Kaiba résonnait dans sa tête...Cette assurance dans les propos qu'il venait de dire semblait perturbé Aredhiel*
"Effectivement, il est milicien mais vous vous méprimez en pensant qu'il est de mon rang... Quand a sa confiance en moi, elle a été éprouvée quand je lui ai parlé de vous... décidément je décois les personnes qui me font confiance et qui me porte de l'intérêt... Ses sentiments sont sincères, je n'ai aucun doute la dessus mais je ne puis vous répondre quand à son absence ici alors qu'il sait que je suis à vos cotés...Peut être l'ai-ja déçu au point qu'il ait décidé de ne plus poser son regard sur moi... Ne croyez pas que de vivre cacher me plaise, bien au contraire, je souhaiterais vivre un amour au grand jour sans avoir à me cacher pour rejoindre celui qui fait battre mon coeur, celui qui hante mes rêves et mes pensées de chaque instant... celui pour qui je combattrais quiconque tenterait de lui oter la vie...
Je trouve qu'il faut beaucoup de courage pour faire ce que vous avez fait pour me prouver votre amour, peu d'homme oserait le faire. Vous connaissiez les dangers que vous devirez affronter en agissant ainsi pourtant cela ne vous a pas empecher de faire savoir à tous quels sentiments vous ont amenés en ces lieux...Le courage d'un homme n'est pas de montrer sa force pour impressionner la femme qu'il aime mais de lui apporter une preuve d'amour...
"Effectivement, il est milicien mais vous vous méprimez en pensant qu'il est de mon rang... Quand a sa confiance en moi, elle a été éprouvée quand je lui ai parlé de vous... décidément je décois les personnes qui me font confiance et qui me porte de l'intérêt... Ses sentiments sont sincères, je n'ai aucun doute la dessus mais je ne puis vous répondre quand à son absence ici alors qu'il sait que je suis à vos cotés...Peut être l'ai-ja déçu au point qu'il ait décidé de ne plus poser son regard sur moi... Ne croyez pas que de vivre cacher me plaise, bien au contraire, je souhaiterais vivre un amour au grand jour sans avoir à me cacher pour rejoindre celui qui fait battre mon coeur, celui qui hante mes rêves et mes pensées de chaque instant... celui pour qui je combattrais quiconque tenterait de lui oter la vie...
Je trouve qu'il faut beaucoup de courage pour faire ce que vous avez fait pour me prouver votre amour, peu d'homme oserait le faire. Vous connaissiez les dangers que vous devirez affronter en agissant ainsi pourtant cela ne vous a pas empecher de faire savoir à tous quels sentiments vous ont amenés en ces lieux...Le courage d'un homme n'est pas de montrer sa force pour impressionner la femme qu'il aime mais de lui apporter une preuve d'amour...
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FF : Que croyais-tu réellement ? Être le seul à convoiter une telle femme ? Sois sérieux... Aredhiel fait partie des créatures les plus splendides de ce monde. Préfette qui plus est !
MI : Tu as raison. J'ai été aveuglé par cette romance... J'étais dans un état second, à chaque instant... jusque sur les champs de bataille. Chaque moment passé à ses côtés cicatrisait un peu plus mes blessures, chaque rencontre loin de tous était remplie d'amour, et parfois très torride... *A ces pensées, Maglor se sentit rougir.* J'ai pu lui ouvrir mon coeur, faire part de mon passé plutôt... mouvementé. Aux vues de ses paroles et au déroulement de chaque rencontre, je n'ai pensé à aucun moment que tout cela pouvait m'échapper...
*Maglor restait là, les yeux dans le vague, absent... Il était temps qu'il réagisse pourtant... Fingon n'avait jamais vu son ami si heureux ces dernières semaines... Il fallait faire quelque chose, le remuer... Il avait enfin réappri à aimer...*
FF: Que tu sois un homme, un elfe, ou un nain... que tu sois un être vivant dans ces souterrains.. quelques soient tes origines... nous sommes tous identiques, sensibles à la flatterie... C'est ce qu'a su faire Kaiba, en avouant ses sentiments sur la place publique... Rien de plus... Qu'attends-tu pour te bouger ? Qu'attends-tu pour crier ton amour ? Réagit nom d'une pipe !!!!!!!!!!!!!! Remue-toi ! *Fingon joignit le geste à la parole* Tu vas la perdre ! Est-ce vraiment cela que tu veux... Perdre l'être le plus cher sans te battre, sans essayer...
*A cet instant, Maglro se retourna, le regard assombri et rempli de haine, saisissant son ami à la gorge et le plaquant contre le mur. A cet instant, Fingon comprit qu'il était allé trop loin. A cet instant, Fingon reconnut dans le regard de Maglor l'ancien elfe noir qui avait jadis, pris naissance suite aux attrocités qu'il avait subi. A cet instant, l'aura de Maglor s'obscurcit. A cet instant, Fingon pensa devoir de nouveau sortir son épée et combattre son ami.*
MI : NE COMPRENDS-TU PAS ? Ne comprends-tu pas ce qui se passe ? *En un éclair, Maglor lacha sa prise, redevint l'ami de toujours, l'elfe au coeur pur aimé d'Aredhiel.* Je lui ai ouvert mon coeur, les bas-fonds de mon âme. Nous étions censés filer le parfait amour... Il a suffit qu'un danseur vienne la convoiter pour tout chambouler... Nous étions aux prémisses de notre histoire... Et déjà là... elle remet tout en question... Qu'en sera t'il dans 2 ou 5 ans ? Mon ami, quelque-chose s'est cassé... quelque-chose d'important... Ma confiance... Oui je l'aime comme je n'ai jamais aimé... Mais le fil est brisé...
MI : Tu as raison. J'ai été aveuglé par cette romance... J'étais dans un état second, à chaque instant... jusque sur les champs de bataille. Chaque moment passé à ses côtés cicatrisait un peu plus mes blessures, chaque rencontre loin de tous était remplie d'amour, et parfois très torride... *A ces pensées, Maglor se sentit rougir.* J'ai pu lui ouvrir mon coeur, faire part de mon passé plutôt... mouvementé. Aux vues de ses paroles et au déroulement de chaque rencontre, je n'ai pensé à aucun moment que tout cela pouvait m'échapper...
*Maglor restait là, les yeux dans le vague, absent... Il était temps qu'il réagisse pourtant... Fingon n'avait jamais vu son ami si heureux ces dernières semaines... Il fallait faire quelque chose, le remuer... Il avait enfin réappri à aimer...*
FF: Que tu sois un homme, un elfe, ou un nain... que tu sois un être vivant dans ces souterrains.. quelques soient tes origines... nous sommes tous identiques, sensibles à la flatterie... C'est ce qu'a su faire Kaiba, en avouant ses sentiments sur la place publique... Rien de plus... Qu'attends-tu pour te bouger ? Qu'attends-tu pour crier ton amour ? Réagit nom d'une pipe !!!!!!!!!!!!!! Remue-toi ! *Fingon joignit le geste à la parole* Tu vas la perdre ! Est-ce vraiment cela que tu veux... Perdre l'être le plus cher sans te battre, sans essayer...
*A cet instant, Maglro se retourna, le regard assombri et rempli de haine, saisissant son ami à la gorge et le plaquant contre le mur. A cet instant, Fingon comprit qu'il était allé trop loin. A cet instant, Fingon reconnut dans le regard de Maglor l'ancien elfe noir qui avait jadis, pris naissance suite aux attrocités qu'il avait subi. A cet instant, l'aura de Maglor s'obscurcit. A cet instant, Fingon pensa devoir de nouveau sortir son épée et combattre son ami.*
MI : NE COMPRENDS-TU PAS ? Ne comprends-tu pas ce qui se passe ? *En un éclair, Maglor lacha sa prise, redevint l'ami de toujours, l'elfe au coeur pur aimé d'Aredhiel.* Je lui ai ouvert mon coeur, les bas-fonds de mon âme. Nous étions censés filer le parfait amour... Il a suffit qu'un danseur vienne la convoiter pour tout chambouler... Nous étions aux prémisses de notre histoire... Et déjà là... elle remet tout en question... Qu'en sera t'il dans 2 ou 5 ans ? Mon ami, quelque-chose s'est cassé... quelque-chose d'important... Ma confiance... Oui je l'aime comme je n'ai jamais aimé... Mais le fil est brisé...
Sous Préfet de la Milice
*Kaiba et Aredhiel parlaient depuis déjà un long moment, des morceaux de vie, des moments de joie, des moments de peine, des pleurs et des rires, des sourires et des larmes, tout se melait, d'une paroles a une autre, d'un mot a son contraire.*
Sentiments troublant.....
Kaiba se sentait bien, heureux de ces moments passé avec elle....
Elle qui avait su faire chavirer son coeur....
Son coeur qui durant des années était resté de marbre....
De marbre de peur de devoir un jour trop souffrir....
Souffrir, pour elle il y consentait, pour elle il était prés....
Prés a se sacrifier, a courir les montagnes.....
Montagnes qui se hissaient peu a peu entre eux....
Eux, il y aura t'il jamais eu un eux, il en fit le souhait....
Souhait de voir son ange a nouveau sourire....
Sourire, il ne le trouvait plus en elle.....
Elle qui semblait s'éloigner, elle cherchait quelque chose....
Quelque chose d'impalpable mais de si important....
Important était ces moments, il ne voulait pas tout gacher...
Gacher se plaisir simple d'etre en si bonne compagnie....
Compagnie qu'il ne voulait plus jamais perdre.....
Perdre, avait il jamais perdu, il n'en avait pas le souvenir....
Souvenir de ce jour où, par un beau matin....
Matin de sa vie, ce n'etait que le début....
Début d'une grande histoire, ou début de la fin.....
Fin de tout là ou rien n'avait jamais commencé....
Commencer a y croire, il ne pouvait s'y réssoudre.....
Réssoudre cette enigme, qui fait de la vie en enfer....
Enfer, il allait y allez si elle le repoussait encore....
Encore, plus, encore, plus, encore, plus....
Plus de ces moments partagé dans un jardin....
Jardin ou tout mourait pour enfin revivre....
Revivre, il y pensait grace a cette beauté.....
Beauté éphémere, que seul efface l'oublie....
Oublie, il ne pouvait s'y réssoudre, il ne le voulais pas......
*Kaiba finissais d'ecrire ces quelques mots sur son bloc notes qui ne le quittais jamais. Il sentis un souffle chaud parcourire son cou, c'etait Aredhielle, il la croyais endormi, il referma le calpin, avait elle eu le temps de lire......*
Sentiments troublant.....
Kaiba se sentait bien, heureux de ces moments passé avec elle....
Elle qui avait su faire chavirer son coeur....
Son coeur qui durant des années était resté de marbre....
De marbre de peur de devoir un jour trop souffrir....
Souffrir, pour elle il y consentait, pour elle il était prés....
Prés a se sacrifier, a courir les montagnes.....
Montagnes qui se hissaient peu a peu entre eux....
Eux, il y aura t'il jamais eu un eux, il en fit le souhait....
Souhait de voir son ange a nouveau sourire....
Sourire, il ne le trouvait plus en elle.....
Elle qui semblait s'éloigner, elle cherchait quelque chose....
Quelque chose d'impalpable mais de si important....
Important était ces moments, il ne voulait pas tout gacher...
Gacher se plaisir simple d'etre en si bonne compagnie....
Compagnie qu'il ne voulait plus jamais perdre.....
Perdre, avait il jamais perdu, il n'en avait pas le souvenir....
Souvenir de ce jour où, par un beau matin....
Matin de sa vie, ce n'etait que le début....
Début d'une grande histoire, ou début de la fin.....
Fin de tout là ou rien n'avait jamais commencé....
Commencer a y croire, il ne pouvait s'y réssoudre.....
Réssoudre cette enigme, qui fait de la vie en enfer....
Enfer, il allait y allez si elle le repoussait encore....
Encore, plus, encore, plus, encore, plus....
Plus de ces moments partagé dans un jardin....
Jardin ou tout mourait pour enfin revivre....
Revivre, il y pensait grace a cette beauté.....
Beauté éphémere, que seul efface l'oublie....
Oublie, il ne pouvait s'y réssoudre, il ne le voulais pas......
*Kaiba finissais d'ecrire ces quelques mots sur son bloc notes qui ne le quittais jamais. Il sentis un souffle chaud parcourire son cou, c'etait Aredhielle, il la croyais endormi, il referma le calpin, avait elle eu le temps de lire......*
quand ce que tu as dire n'est pas plus beau que le silence tais toi