Au début, Syfe n'était qu'un morbelin comme les autres. Et c'était mon adversaire, j'en faisais bien ce que je voulais... Si ça me chantait de lui laisser la vie sauve, après avoir discuté avec lui.
Quoique c'était marrant de voir toutes les tortures que vous aviez envie de lui infliger quand j'ai prévenu les gens autour de moi que je voulais le laisser partir.
Vous aviez une sacré imagination...
Pour le voyage en commun qui a suivi, j'ai dû commettre des erreurs, c'est sûr, je ne maîtrisais pas du tout la vie et les combats en groupe, et découvrais la coterie. Jusque là, j'avais au mieux voyagé sporadiquement en triplette, ou avec un autre joueur.
Mais la seule fois où j'ai frappé votre groupe, c'est à la fin de la quête. Sur un familier en plus, même pas un perso. Quand j'étais ENFIN d'accord pour tuer ou livrer le traître Syfe. Et que vous ne l'étiez plus...
Juste après que vous ayez envoyé des flèches sur Guidora qui lockait Syfe pour l'empêcher de filer. Fallait bien une riposte quand même.
Comme elle était trop loin des archers, ce fut Mandine qui frappa le familier costaud de Niko.
(évidemment j'ai pas fait grand-chose en dégâts)
Quant aux soins sur un monstre, normal: j'étais en plein pourparlers avec un groupe de morbelins, pour obtenir des infos que je cherchais depuis des mois, quasimment depuis mes débuts (en lien avec le RP que je construisais pour mes persos). Et vous les tuiez un par un, malgré mes demandes de les laisser en vie...
Dans la coterie, y'avait plein de soigneurs avec des PA chez vous pour aider votre perso, alors qu'aucun de vous n'aurait soigné mes pauvres morbelins, qui tombaient sous vos coups. Enfin, j'ai eu "de la chance", le dernier survivant a eu le droit de rester en vie et prisonnier.
Eh oui, Cap'taine, deux logiques opposées, ça fait cet effet-là.
EDIT: j'oubliais, ces attaques de part et d'autres n'ont pas fait de morts, pour laisser "la négo" se mettre en place. Les costauds auraient pu tuer mes persos à l'époque, et ne l'ont pas fait, c'était sympa.
Et c'est en partant, une fois tout fini, que Guido a failli mourir.