Massacre
<HRP>Je ne sais pas, je dirais entre une demi-heure et trois quarts d'heure, vu que quand j'ai validé, il a fallu que je me relogue.
Pas de suite, à mon avis, vu que je suis encore au niveau 0 pour pas mal de temps. Mais je pense que ça peut permettre à certains balaises du niveau 0 d'avoir une bonne excuse RP pour descendre un peu.
Ca doit être bourré de fautes d'orthographe, mais c'est la nuit, et je vais bientôt aller embrasser mon lit.</HRP>
Pas de suite, à mon avis, vu que je suis encore au niveau 0 pour pas mal de temps. Mais je pense que ça peut permettre à certains balaises du niveau 0 d'avoir une bonne excuse RP pour descendre un peu.
Ca doit être bourré de fautes d'orthographe, mais c'est la nuit, et je vais bientôt aller embrasser mon lit.</HRP>
NOBODY expect the South Inquisition!
"Je cherche, euh..., une jeune fille pour une amitié longue, euh..., pour une nuit."
"Pas besoin d'être un morpion pour être cerné par les cons, malheureusement..."
"Je cherche, euh..., une jeune fille pour une amitié longue, euh..., pour une nuit."
"Pas besoin d'être un morpion pour être cerné par les cons, malheureusement..."
Je n'ai pas reconnu les lieux, le combat demandait toute mon attention.
Mais j'éprouve un doute, en repensant à ce sanglant étage.
Suis-je moi aussi tombé à l'endroit décrit dans le message ?
Ou Malkiar contrôle-t-il deux secteurs au lieu d'un, avec ses mignons ?
Mais j'éprouve un doute, en repensant à ce sanglant étage.
Suis-je moi aussi tombé à l'endroit décrit dans le message ?
Ou Malkiar contrôle-t-il deux secteurs au lieu d'un, avec ses mignons ?
Smaug, Barde d'Anastasia
Planqué du -9 de temps en temps
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- Kakita Ryojin
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Rapport d'Husquar-Vana à son frère Darn Tarazak, Régent de la Caravane :
Second frère,
Je ne me suis jamais senti aussi seul dans les souterrains. Je loge depuis plus de cinq jours au temple de Râ, en plein milieu du quatrième sous-sol. Ma récolte de matériel n'est guère satisfaisante, néanmoins, les runes pleuvent par ici, et, je peux t'affirmer qu'on va pouvoir tirer un bon paquet de celles que je possède déjà. Ton contact est il toujours intéressé ?
Quoi qu'il en soit, je ne t'écris pas afin de te mettre l'eau à la bouche, mais, pour t'informer de la situation désespérée dans laquelle est plongée le secteur dans lequel je me trouve. En effet, les abords du temple, aussi loin que porte ma vue, sont couverts de l'engeance de Malkiar. On ne compte plus les harpies, les basilics géants, les guerriers squelettes, les gelées et les démons. Tous semblent attendre que je sorte du temple en se lêchant les babines.
Je ne commettrai pas cette folie, surtout quand je vois ce qu'il est advenu du lord du clan warloque, Neldoril Abaffon. Il a eu l'audace, ou, la témérité, de sortir du temple sans s'en éloigner suffisament, les monstres n'en ont fait qu'une bouchée. Il se repose actuellement dans le cloître et ses blessures se remettent à peine.
Mais, rassure toi, je ne perds pas mon temps. Il m'arrive de sortir du temple pendant que la vigileance des séïdes de l'Infernal s'estompe, et là, je m'empare de toutes les runes qui jonchent le sol autour du temple.
J'espère que les journées qui arrivent verront arriver de nombreux aventuriers afin que la faune hostile locale soit un peu clairsemée et que je puisse enfin venir te retrouver pour que nous fassions affaire.
Puisse Grogknÿr, Père de l'Or, bénir ta route et affuter ta hache,
Husquar-Vana Tarazak, caravanier.
Second frère,
Je ne me suis jamais senti aussi seul dans les souterrains. Je loge depuis plus de cinq jours au temple de Râ, en plein milieu du quatrième sous-sol. Ma récolte de matériel n'est guère satisfaisante, néanmoins, les runes pleuvent par ici, et, je peux t'affirmer qu'on va pouvoir tirer un bon paquet de celles que je possède déjà. Ton contact est il toujours intéressé ?
Quoi qu'il en soit, je ne t'écris pas afin de te mettre l'eau à la bouche, mais, pour t'informer de la situation désespérée dans laquelle est plongée le secteur dans lequel je me trouve. En effet, les abords du temple, aussi loin que porte ma vue, sont couverts de l'engeance de Malkiar. On ne compte plus les harpies, les basilics géants, les guerriers squelettes, les gelées et les démons. Tous semblent attendre que je sorte du temple en se lêchant les babines.
Je ne commettrai pas cette folie, surtout quand je vois ce qu'il est advenu du lord du clan warloque, Neldoril Abaffon. Il a eu l'audace, ou, la témérité, de sortir du temple sans s'en éloigner suffisament, les monstres n'en ont fait qu'une bouchée. Il se repose actuellement dans le cloître et ses blessures se remettent à peine.
Mais, rassure toi, je ne perds pas mon temps. Il m'arrive de sortir du temple pendant que la vigileance des séïdes de l'Infernal s'estompe, et là, je m'empare de toutes les runes qui jonchent le sol autour du temple.
J'espère que les journées qui arrivent verront arriver de nombreux aventuriers afin que la faune hostile locale soit un peu clairsemée et que je puisse enfin venir te retrouver pour que nous fassions affaire.
Puisse Grogknÿr, Père de l'Or, bénir ta route et affuter ta hache,
Husquar-Vana Tarazak, caravanier.
Dans toute cette folie, je n'ai pas eu le temps de consigner mes découvertes. Il faut que celà soit fait. Devant la masse imposante de l'armée, et l'insuffisance de nos forces pour le dégager, Daïn m'a demander d'user de ma magie pour accélérer son groupe, afin qu'ils puissent traverser les lignes ennemies et les combattre à la périphérie. En se qui me concerne, je suis toujours en haut de cet escalier maudit.
Ce matin, Frenela, rapidement aidée de plusieurs bénévoles a transformé le palier en hopital de campagne. Elles y reccueuillent tous les malheureux qui ont bravés nos avertissements pour alimenter la boucherie du bas. Ils sont dans un état pitoyables, et ont autant besoin de réconfort que de soins. Certains d'entre eux n'ont pas vraiment réalisés qu'ils sont encore vivants. Ils ne comprennent pas encore ou ils sont ni se qui leur est arrivé.
Ce soir j'ai eu des réponses. Je commence à entrevoir comment tout ceci a pu se produire. Celà remonte à deux semaines semble il. Il existe un lieu de passage privilégié entre le deusième et le quatrième sous sol. Deux escaliers trés proches, permettant un transit rapide. De par le nombre d'aventuriers l'empruntant, ce passage est couvert du sang des morbelins et des basilics. Nous le nommons entre nous la "route verte".
Il y a deux semaines donc, un détachement des forces demoniaques a attaqué la route. La bataille fit rage et elle eu un résultat des plus currieux. Le transit fut bloqué suffisement longtemps pour être remarqué des généraux adverses. Je ne sais comment celà peut être, mais ils semblent trés bien renseignés sur notre nombre. Peut être pensèrent ils qu'ils allaient perdre pied sur ce niveau devant la quantité de combattant ressencée. Toujours est il que des armées entières sortirent des différents portails mais elles arriverent trop tard. La "route verte" avait entre temps été dégagée, et déjà nos forces se dirigeaient vers le quatrième sous sol laissant sur ce niveau des armées considérables sans réèlle opposition. Et le massacre put commençer.
Il me faut encore consigner un élément important. Il est bien difficile d'accuser un escalier de tuer. Et celui ci ne l'a certes pas fait. Mais il a constitué un élément aggravant. Cette escalier est une curriosité architecturale. Certainement l'oeuvre d'un démon architecte. Une magie maléfique est à l'oeuvre. Il n'y a pas de correspondance entre l'arrivée, et le bas pour remonter. C'est assez confus comme description, il suffit de savoir que ceux qui l'empruntent pour descendre ne peuvent remonter sans se déplacer d'une bonne lieux. Le piège parfait.
Mes mémoires, selon Thranduil
Ce matin, Frenela, rapidement aidée de plusieurs bénévoles a transformé le palier en hopital de campagne. Elles y reccueuillent tous les malheureux qui ont bravés nos avertissements pour alimenter la boucherie du bas. Ils sont dans un état pitoyables, et ont autant besoin de réconfort que de soins. Certains d'entre eux n'ont pas vraiment réalisés qu'ils sont encore vivants. Ils ne comprennent pas encore ou ils sont ni se qui leur est arrivé.
Ce soir j'ai eu des réponses. Je commence à entrevoir comment tout ceci a pu se produire. Celà remonte à deux semaines semble il. Il existe un lieu de passage privilégié entre le deusième et le quatrième sous sol. Deux escaliers trés proches, permettant un transit rapide. De par le nombre d'aventuriers l'empruntant, ce passage est couvert du sang des morbelins et des basilics. Nous le nommons entre nous la "route verte".
Il y a deux semaines donc, un détachement des forces demoniaques a attaqué la route. La bataille fit rage et elle eu un résultat des plus currieux. Le transit fut bloqué suffisement longtemps pour être remarqué des généraux adverses. Je ne sais comment celà peut être, mais ils semblent trés bien renseignés sur notre nombre. Peut être pensèrent ils qu'ils allaient perdre pied sur ce niveau devant la quantité de combattant ressencée. Toujours est il que des armées entières sortirent des différents portails mais elles arriverent trop tard. La "route verte" avait entre temps été dégagée, et déjà nos forces se dirigeaient vers le quatrième sous sol laissant sur ce niveau des armées considérables sans réèlle opposition. Et le massacre put commençer.
Il me faut encore consigner un élément important. Il est bien difficile d'accuser un escalier de tuer. Et celui ci ne l'a certes pas fait. Mais il a constitué un élément aggravant. Cette escalier est une curriosité architecturale. Certainement l'oeuvre d'un démon architecte. Une magie maléfique est à l'oeuvre. Il n'y a pas de correspondance entre l'arrivée, et le bas pour remonter. C'est assez confus comme description, il suffit de savoir que ceux qui l'empruntent pour descendre ne peuvent remonter sans se déplacer d'une bonne lieux. Le piège parfait.
Mes mémoires, selon Thranduil