voici se que je propose :
1) Détruire la notion de "capacité de réparation" ainsi que tout se qui s'y rapporte. Pour éviter les abus, limiter l'usage de la compétence comme les compétences de combat à deux fois par DL.
2) Soit supprimer l'interdiction de forger en combat, soit ralentir la dégradation des objets.
3) Augmenter la résolution du libellé servant à connaitre l'état d'un objet. 10 statuts différents seraient un bon ordre de grandeur.
Concernant le point 1 :
"C'est en forgeant qu'on devient forgeron"
Cet adage célèbre est très juste et se vérifie tout les jours... Sauf sur Delain!
En effet, ici pour devenir un maitre forgeron et avoir le droit de réparer des chefs d'oeuvre de forge, il faut naitre maitre forgeron ou bien tapper du monstre et passer des niveaux! Aucun besoin de réparer quoi que ce soit.
Pour moi la compétence "réparer arme/armure" et la "capacité de réparation" sont redondants.
Ne pourrait-on pas imaginer un système de bonus/malus au jet de réparation en fonction de l'objet réparé? Une épée de morbelin ajouterait 25% à la compétence de réparation, ce qui parait logique vu qu'il suffit de 3 coups de marteau et un coup de meule pour réparer ce vulgaire tas de ferraille.
A l'inverse, imaginons -25% (ou plus) lors d'une réparation de faucheuse. C'est plus délicat.
A la limite, s'il faut vraiment faire jouer les caractéristiques, et bien il suffit de modifier le pourcentage d'échèc critique en fonction des carac.
Exemple, un elfe intelligent et agile ratera ses réparations sur 100 au jet, alors qu'un nain bête et gauche abimera son arme en la réparant sur 90-100.
Point 2 :
Pourquoi pas.
Point 3 :
Augmenter la précision de la description de l'état d'un objet, d'accord.
Mais tant qu'à faire il faudrait que cette précision soit dépendante d'un facteur (Intelligence, réparer arme/armure, ou autre).
Après tout, plus on est doué en réparation, plus on devrait être capable d'évaluer précisément l'usure d'un objet.