D'étranges vacances....

Spécial souvenirs.....
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Perf
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Message par Perf » 14 sept. 2004 18:16

Ce texte est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes vivantes serait totalement faite exprès par l'auteur.

Mon meilleur souvenir de vacances ?
C'est une question très vaste et très vague.
Mais je crois que je sais quel souvenir je vais vous conter.

Cet été là, j'étais parti dans un coin paumé en bord de mer avec deux amis, Stéphane et Julie.
Pour faire les présentations, Stéphane est quelqu'un de réfléchit et dont le QI est assez élevé, mais vu son âge, c'est bien normal. Ensuite vient Julie. Julie la perle, l'impétueuse, la généreuse, toujours souriante et maniant le baton à la perfection, ceci grâce à ses années de cours de canne d'arme. Elle aime à s'entrainer avec des batons de plus en plus lourd afin de parfaire sa condition physique. Mais détrompez-vous, celà ne gâche en rien son physique, bien au contraire.
Ensuite, moi, grand, on pourrait dire quelconque, mais bon, on va arrêtez là les présentations car je sens que certains au fond de la salle commence à trépigner et se demandent comment ils vont réussir à partir en douce.

Bref, nous avions tous les trois une chose en commum : notre amour de la "coupette" comme disait souvent Stéphane qui, en tant que le plus âgé de nous trois, s'était vu affectueusement surnommé "Papy Coupette" car, il faut bien le dire, on le voyait plus souvent avec une flute de champagne à la main qu'avec toute autre boisson.

Venons-en maintenant à notre sujet. Ces fameuses vacances.
Il faisait nuit, nous étions donc tous les trois dans une petite crique tranquille, assis autour d'un feu que nous avions eu du mal à allumer, à discuter en écoutant le ressac de la mer.
Ayant épuisé les sujets de conversation pour la journée, nous avons décidé d'aller explorer les environs.
La ciel nocturne était suffisemment dégagé pour que la lune éclaire notre progression et c'est ainsi que nous sommes parti à l'aventure, Stéphane en premier, Julie ensuite et moi fermant la marche.
Alors que nous traversions un bosquet de ronces, je trébuchais sur une racine et glissais plusieurs mètres en contrebas du sentier que nous arpentions.

- Est-ce que ca va ? me demanda Julie, inquiète. rien de cassé ?
- Non, non, tout va bien. Juste quelques égratignures, mais rien de bien méchant je pense.
- Tu vas pouvoir remonter tout seul ? demanda Stéphane.
- Je vais avoir du mal, j'y vois pas grand chose. Passez-moi la lampe. Elle est dans le sac de Julie normalement.

Julie alluma la lampe-torche et l'envoya dans ma direction.
Le sol était humide là où je me trouvais et je glissais encore en me baissant pour ramasser la torche.
Signe du destin ? Je ne sais pas. Toujours est-il que si je n'avais pas glissé, jamais je n'aurai apperçu l'entrée de la grotte qui se trouvait non loin de moi. L'entrée était à moitié dissimulée par un monticule de terre et de cailloux qui semblait venir de plus haut sur la pente.

- Attendez 2mn, dis-je à l'adresse de mes amis. Y'a une grotte ici, j'vais voir si y'a quelque chose à voir dedans.
- Fais gaffe à pas te trouver nez à nez avec un ours, répondit Stéphane en rigolant.

J'entrai donc dans la grotte. Elle semblait naturelle, creusée par un glissement de terrain et personne ne semblait y avoir mis les pieds récemment. La grotte s'enfoncait profondément sous le sentier sur lequel je me trouvais 5mn auparavant.
Le tunnel descendait doucement dans les entrailles de la terre. Le seul son que j'entendais était le "spoutch spoutch" de mes chaussures dans la boue. Au bout d'un moment, j'arrivai dans une grande salle où stalagmites et stalagtites se battaient en un duel millénaire.
Je remarquais plusieurs autres galeries de l'autre coté de la salle.
Je décidai donc d'aller chercher Stéphane et Julie pour explorer ces grottes. Avec de la chance, peut être qu'on trouverai quelque chose d'intéressant.
Je nous imaginais déjà trouver de nouvelles grottes de Lascaut. Pourquoi pas non ? Il est permis de rêver !

Evidemment Julie ne fût pas longue à convaincre ; elle était toujours prète à partir à l'aventure.
Stéphane, quant à lui, nous suivis aussi, ne voulant pas rester tout seul, mais aussi - bien qu'il ne voulut pas l'admettre - car sa curiosité avait été piquée au vif.

De retour dans la "Stalag'salle", nous avons décidé de visiter la galerie la plus à gauche, cette dernière semblait s'enfoncer encore plus profond.
Après avoir marcher pendant 10mn, nous sommes tombés sur un cul-de-sac et nous avons bien évidemment été obligé de retourner dans la "Stalag'salle" pour choisir une autre galerie.
Les deux suivantes nous donnèrent le même résultat : à part une petite salle circulaire vide, il n'y avait rien d'intéressant.
Nous avons donc emprunté la dernière galerie, mais je pensais que nous ne trouverions rien d'intéressant dedans. En fin de compte, ce n'était qu'une grotte tout bête. Aucun trésor à trouver dedans, pas de gloire à tirer d'une quelconque découverte archéologique...

J'étais perdu dans mes pensées quand Stéphane s'arrêta brusquement en nous faisant signe de nous taire.

- Chut ! Ecoutez ! Vous n'entendez rien ?

J'écoutais attentivement et le bruit se faufila jusqu'à mes oreilles. Un grondement sourd, comme le bruit que fait une voile quand un vent fort souffle. "Frrrrrrr-clac. Frrrrrr-clac !"

- Ouais, je l'entends, dis-je.
- Moi aussi, ajouta Julie.
- Qu'est-ce que ca peut être, d'après vous ? demanda Stéphane.
- Aucune idée, mais y'a qu'un moyen de le savoir, non ?

Ni une, ni deux, nous sommes repartis vers l'avant, pressé de découvrir.
C'est limite en courant que nous sommes arrivés au bout du tunnel. Nous avons débouché en haut d'une corniche. L'origine du grondement était en contrebas de la corniche : un fleuve souterrain.
Evidemment.

- C'est la fin du voyage, nous dit Stéphane. On peut pas aller plus loin.
- Mais si ! Regarde en face, y'a un autre tunnel. On a qu'à descendre, traverser la rivière et le tour est joué !
- Heu.. Ouais, mais bon, je pense pas que ce soit une si bonne idée que ça d'aller plus loin. On sait jamais ce qui pourrait nous arriver, rétorqua Stéphane, peu convaincu lui-même par ses paroles.
- Oh, allez Stef, t'en meurs d'envie autant que nous ! Fais pas ta chochotte ! lui lançai-je
- Ok, ok, vous avez gagné !

Nous entreprimes donc de descendre la corniche. Ce fût assez facile, la paroi regorgeant de pierres saillantes pour y poser les pieds et s'accrocher.
La traversée de la rivière aurait du être tout aussi facile. Mais vous vous en doutez, il en fût tout autrement.
Nous avions repéré plusieurs grosses pierres formant un gué sommaire au dessus des flots profonds.
Malheureusement, Julie glissa sur une pierre humide. En essayant de retrouver son équilibre, elle m'aggripa le bras. Nous sommes tombés tous les deux à l'eau, et Stéphane nous a suivi très vite, perdant l'équilibre lui aussi en se retournant pour voir ce qui nous arrivait.

Le courant nous emporta avec lui, implacable.
A chaque fois que j'essayais de reprendre mon souffle, j'avais l'impression que des mains invisibles me tirait vers le fond pour m'emmener dans leur giron, vers le repos éternel.
Alors que je croyais ma dernière arrivée, ici, loin de tout, là où personne ne nous trouverai jamais, le courant se calma et je réussi à rejoindre la rive. J'entendis un "Ahhaaaaahhhhh" et Stéphane sorti de l'eau non loin de moi.

- Ca va ? lui demandai-je.
- Ouais, ouais, trempé, mais en vie. Et julie ?
- Je l'ai perdue. Je tenai sa main et le moment d'après...

Je regardai mes pieds. Je ne voulais pas penser que nous puissions l'avoir perdue.

- Vous m'enterre un peu vite, les gars ! s'exclama une voix derrière moi.

Je me retournai et elle était là, dégoulinante, les vêtements collés sur elle - tout comme Stéphane et moi d'ailleurs - mais elle était en vie.

- J'ai été emportée un peu plus loin. J'ai réussi à rejoindre la berge et je suis remonté le long de la rivière en vous cherchant dans les remous, et je vous ai entendu... Et moi voilà !
- Tu nous as fichu une de ces frousses ! lui dit Stéphane en lui donnant un coup de poing amical sur l'épaule. Avec qui on aurait descendu les caisses de champagne si t'étais plus là ?
- Ah bah bravo ! J'ai faillit mourir noyée, et toi tu t'inquiètes seulement d'avoir perdu un camarade de beuverie, rétorqua-t-elle faussement vexée.

Maintenant que nous étions tous ensemble à nouveau, je regardai autour de moi.
Nous étions arrivés dans une grande salle parsemée de rochers de ci, de là. Nous étions sortis de l'eau sur la berge opposée à celle d'où nous venions. La seule issue était un tunnel qui partait derrière nous. Il nous était impossible de remonter la rivière car entre le lieu de notre chute et
ici, il y avait toute une partie souterraine que je n'avais pas remarqué alors que le courant m'entrainnais ; et vue la force du courant, je n'avais pas envie de m'aventurer à l'aveuglette sans être sur de la longueur que nous aurions à nager sous l'eau et à contre-courant, si c'était possible bien sur.
C'est ainsi que, dégoulinant, nous nous sommes dirigés vers l'unique issue.

C'est alors que je remarquai que nous n'avions plus la torche et que pourtant, la clarté était suffisante pour nous permettre de voir autour de nous.
Cette luminosité venait d'une sorte de mousse phosporescente qui recouvrait les parois du tunnel et de la grotte où nous nous trouvions.
Le tunnel ne ressemblait pas aux autres. Celui-ci n'était pas naturel, les parois étaient trop lisses. Il avait été creusé par la main de l'homme.

Loin au bout du tunnel, j'apperçu une lumière qui ne venait pas de la mousse. L'éclairage tremblait sur les parois, comme le ferait un brandon ou une torche.
Avec stupeur, nous débouchâmes dans ce qui ressemblait à un bureau.
En face de nous, se trouvait un autre tunnel, éclairé régulièrement par des torches accrochées aux murs. Sur notre droite, il y avait un guichet. Que venait faire un guichet au beau milieu d'un tunnel sous un grotte ? J'aurai pu me poser cette question bien entendu. Mais celle qui me vint à
l'esprit fut : "Qu'est-ce que c'est que cette créature ?"

- Bonjour, amis de l'aventure ! Bienvenue à vous.
La personne qui nous salua n'avait rien d'humain, mis à part son langage. En fait elle ressemblait à... un Elfe ! Oui, un elfe. Ses long cheveux soyeux, ses yeux d'un bleu profond, sa peau cuivré, mais surtout ses oreilles pointues, tout en elle respirait l'elfe.

- Je m'appelle Ilfiss et je suis le gardien de l'entrée. Je vais vous demander de vous avancer et de signer quelques papiers. Ensuite vous pourrez continuer votre chemin. Mais n'oubliez pas de prendre votre équipement sinon, vous aurez l'air malin face aux créatures qui peuplent les souterrains.
- Heu... Excusez-moi mais... On est où ? On est sorti de la grotte et on s'est retrouvé je ne sais comment sur le tournage d'un film ? Ou bien alors je rêve, c'est ça ?
- Pas du tout, me répondit l'elfe. Venez, suivez-moi dans la salle d'armes. Vous allez vous équiper et ensuite je vais tout vous expliquer.

Etrangement, je ne ressenti pas le besoin de questionner plus avant l'elfe. Il se dégageait de lui un aura de confiance et j'étais persuadé - sans savoir pourquoi - que tout ce qui se passait était réel et... normal.
Nous sommes passé derrière le guichet dans une petite salle regorgeant de toute sortes d'armes et d'armures.

- Je veux une hache et une armure de cuir !! s'écria Julie !
- Moi je veux une robe de burre et un baton de magicien ! s'eclama Stéphane

Et les voilà qui était en train de s'habiller comme les personnages d'une histoire de Donjon & Dragon..
Je décidai de ne pas trop penser et choisissait un glaive et une armure de cuir cloutée que je revêtai.
Nous nous regardâmes dans un grand miroir accroché au mur.

- Et bien ! On dirait vraiment qu'on est dans un film. Je suis sur que si je me retourne, Aragorn ou Frodon vont apparaitre, dit Julie. A partir de maintenant, vous m'appelerez... Shan !
- Et moi, je serai connu sous le nom de Merrick, ajouta Stéphane.
- Bon, bah moi, ce sera Perfectus alors ! Et gare aux monstres !

Ilfiss s'avance vers nous en frappant des mains et arborant un large sourire.

- Oui, c'est ca. Bravo ! Vous avez l'esprit qu'il faut.

Il retourna à l'entrée et nous le suivimes. Il resta derrière son guichet tandis que nous allions de l'autre coté, face au tunnel éclairé par les torches.

- Laissez moi vous expliquer, dit-il. Vous allez vous engager dans ce tunnel, là. Ensuite, l'aventure va commencer. Vous aller entrer dans un monde étrange peuplé de monstres horribles et sournois. Il vous est impossible de repartir pour où vous venez. Le seul moyen pour vous de sortir, c'est de descendre au plus profond des souterrains et d'en tuer le Maître.
En effet, il n'y a que la mort du puissant démon Malkiar qui vous permettra de sortir d'ici autrement que les pieds devant.
Gente dame et Messires, bienvenue dans les Souterrains de Delain !
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Message par Merrick » 15 sept. 2004 07:59

J'aime !!!!!
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Message par Thorgal » 15 sept. 2004 08:57

Le canevas et la manière de le faire vivre, c'est un morceau de choix !
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Message par KAIN » 15 sept. 2004 11:53

c'est du plaggiat :lol:
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co-fondateur avec Dame Nelwynn de la Confrerie de Pandore
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si j'ai dis une connerie , c'est pas la premiere et j'espere que c'est pas la derniere
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Message par davich » 15 sept. 2004 12:13

j aime beaucoup , j adore :D
mais manque quelques details
en effet ou est ?
:arrow: le lapin immortel petit pimousse :classe:
:arrow: le bouffon debile et marrant :fete:
:arrow: le dictateur inique :crucifie:
:arrow: le chevalier du zodiaque effeminee :hippy:
:arrow: le monstre au noeil unique :demon:
:arrow: et l aventurier graphiste dessinateur temeraire :help:
;)
ce demande une suite si t as le temps , bien sur !
racomte la fable de la creation des souterrains perf :book:
une suite , une suite :mrgreen:

Ps: pour ceux qui ne les reconnaitraient pas je parle des premiers perso de delain :tongue:
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Message par Perf » 15 sept. 2004 13:35

beuuuhhh ! on m'avait pas donné le cahier des charges pour raconter les vacanceuh !!!

Pis bon, ce texte était qu'un premier jet sans aucune correction et écrit d'une traite sans aucun plan (comme à chaque fois que j'écris quelque chose d'ailleurs, j'invente l'histoire au fur et à mesure ^^ et c'est pour ca que certains passages sont un peu décousu)

Sinon, pour la fable de la création des souterrains, je veux bien l'écrire, sauf que je l'ai déjà fait ICI
Après, s'il faut la réécrire en 600 pages, je peux voir ce que je peux faire :)
Mais j'ai déjà quelque idées pour d'autres histoires :)

@Kain : du plagiat de qui ?, :eek:
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Message par Mélisande » 15 sept. 2004 13:42

Excellente histoire !

Félicitations, Perf ! :classe:
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Message par Bricogne » 15 sept. 2004 15:34

Ps: pour ceux qui ne les reconnaitraient pas je parle des premiers perso de delain :tongue:
Heu, ben et moi ?

Davich ne dit rien et pointa du doigt la ligne contenant le mot "debile". Stephan, resta sans rien dire quelque seconde, puis tourna les talons, le visage ferme (avec accent) et lanca d'un ton sec : "Pffff, tous des cons, me barre sur Nainwak moi".

Stephan, alors nain bleu ou nain rouge ? depuis 1970
La connerie est un art. Sûrement le plus dur à maîtriser... Mais quand on en devient un expert, alors c’est l’orgasme perpétuel...
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Message par davich » 15 sept. 2004 15:38

le debile ne fait pas reference a ce que tu crois mon stephan adore que j aime
et qui egaye nos IRL en chantant gloire a Merrick dans des restaurants bondes et en traumatisant serveuse et couples de retraites :D
mais sur la signification que je donne au initial DP ;)
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Message par Perf » 15 sept. 2004 15:41

moi Bricogne je le verrai plutôt dans le rôle du dictateur
Me rappelle des petites prises de bec de l'année dernière à propos de "ces monstres sont à moi, tu les touches t'es mort" :D
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Message par Thorgal » 15 sept. 2004 15:47

"ces monstres sont à moi, tu les touches t'es mort"
Où l'on apprend que Bricogne est un lointain parent d'Obélix ("laissez les moi, laissez le moi tous !") :ange:
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Message par Blade » 15 sept. 2004 16:01

Me rappelle des petites prises de bec de l'année dernière à propos de "ces monstres sont à moi, tu les touches t'es mort"
Pourquoi tu parles de l'année dernière ??? :lol: C'est simplement que tu n'es plus à ses côtés :decompo:
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Message par Perf » 15 sept. 2004 16:05

Pourquoi tu parles de l'année dernière ??? :lol: C'est simplement que tu n'es plus à ses côtés :decompo:
parce que c'est arrivé l'année dernière ca :)
Après, effectivement je suis plus à coté de lui, donc je savais pas qu'il continuait, mais d'un coté, ca m'étonne pas ^^
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Message par Bricogne » 15 sept. 2004 16:10

Pardon, pardon, en ce moment, c'est "Tu touches pas a ces runes ou t'es mort !"

Stephan, en manque de sort depuis 1970
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Message par Blade » 15 sept. 2004 16:25

y'a deux semaines, c'était "tu touches pas à mon arme ou t'es mort".
Notez comme cela varie. :tongue:
Bon, moi je dis à quand la suite de cette histoire en tout cas, car comme d'hab Perf, c'est plaisant à lire ;)
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