Les vacances, moment de détente et de repos, souvent mis à profit pour se changer les idées... Voici une définition qui aurait pu figurer dans notre fameux Larousse.
Et bien ce n'est pas tellement cette idée que l'on s'en fait qui est fausse mais bien la triste réalité qui en découle... Mettez vous dans la peau d'un encore jeune étudiant même pas encore sorti de ces études, contraint de faire une croix dessus. Imaginez l'insupportable idée de voir vos amis vous souhaiter de bonnes vacances, l'esprit détendu, ayant sur l'euphorie du moment mis de coté idée qu'il ne peut en être le cas pour tout le monde. Résigné à l'idée de passé votre été dans un bureau, vous vous contraignez à fixer votre réveil à 7h05. Imaginez la difficulté d'abandonner son lit un lundi matin, lorsque celui-ci, encore douillé vous somme de lui tenir compagnie encore un moment. Mais lorsqu'enfin vous arriver à surmonter cette difficile épreuve et que les différentes formalités du matin sont remplies, il ne vous reste plus qu'à prendre votre mal en patience dans vos 15 min de bouchon du matin...
Bref, une fois arrivé au bureau, on se dit, j'ai fait le plus dur... et bien dites vous que dans ce cas là, il vaut mieux avoir des journées bien remplies... Vous cherchez alors une quelconque occupation, vous vous surprennez à penser à vos amis qui doivent se prélasser sur la plage. Et lorsqu'enfin la journée touche à sa fin, il ne vous reste plus qu'à ronger votre frein durant le quart d'heure de bouchon du soir.
Au bout de quelques semaines, vous commencez enfin à vous habituer à ce difficile train de vie, vous en oublier presque vos amis partis. C'est à ce moment là que vous vous faites généralement rattraper par toutes ces pensées si agréables et si déprimantes à la fois, liées à vos dernieres vacances à la Martinique, lorsque votre voisin de bureau vous glisse à l'oreille un vendredi soir, "Allez bon courage, moi je pars pour quinze jours de vacances...". A ce moment là, vous êtes assez partager entre un sentiment de soulagement (car plutôt encombrant le voisin...) et un sentiment de haine (pourquoi il me dit ça à moi !).
Ce petit manége dur généralement deux bons mois... Cerise sur le gâteau, lorsque ce sont vos potes venus eux aussi connaitre les joies du bureau estivale, vous quittent à leur tour, vous abandonnant et vous laissant seul dans cette interminable et omiprésente lutte pour ne pas jeter l'éponge.
Bref, ici j'achéve l'été, mais pas encore le bureau. Une chose est sure, cette expérience ne sera pas reconduite l'année prochaine!
A tous les collégiens, lycéens, étudiants qui liront la petite histoire de mes vacances, je leur dirais, PROFITEZ-EN tant qu'il est encore temps!
Ahhh les vacances...
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- Pilier
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et dire que meme si jbosse pas l'ete, jconnais pas vraiment les vacances a la plage, alors qu'est-ce que se sera l'an prochain alors que je cherche du travail actuellement
vous croyez que lorsqu'on commence a travailler ils nous offrent un flingue et une balle?
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je suis un savant, j'ai enfin une signature
Pour guérir il faut avoir mal, moi j'ai choisi
je suis maso et toujours en bonne santé
Romarin©
Forum des Aventurier Aventureux
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jvais aller postuler dans les sex shop alors
merci arno
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