vide tes poches !
- Niko
- Membre de Avatars & Co, Filliale de M&Co
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vide tes poches !
un p'tit souvenir qui me revient alors que je relisais les vacances de kroum.
J'avais pas encore la vingtaine, j'étais au lycée, et avec mes potes on est partis en juin se faire un séjour de kayak. On a fait deux groupes :
-le groupe dit des adultes, environ la trentaine, qui voyageaient dans le camion du club de kayak, avec la bouffe, tout le bordel, la remorque avec les bateaux etc...
-le groupe des jeunes, des lycéens en voiture pour pouvoir rentrer quelques jours plus tot pour réviser le bac.
Avant toute chose, je me dois de préciser que la veille j'ai passé une petite soirée avec d'autres amis, dans une chambre mal aérée, ou il s'est consommé une bonne quantité de tabac qui fait rire. J'en avais par ailleurs un petit bout sur moi, on va dire pour dépanner un ami...
Le lendemain, il est encore tôt (beaucoup trop) lorsque je me lève pour rejoindre mes potes et faire la longue route qui nous attend jusqu'aux hautes alpes. Fatigué, mal aux cheveux et mal réveillé, je remets les même fringues que la veille sans faire le ménage dans les poches, celles qui puent l'alcool, la transpiration et la fumée illégale. En résumé, une paire de rangers, un trailli et un t-shirt sans manches et plein de trous, mes cheveux longs et ma sale gueule de fêtard.
Le voyage s'organise donc avec le camion et les adultes devant, la voiture et les jeunes derrière.
Arrivés à un col, nous avons la bonne surprise de tomber sur un barrage des douanes volantes. Le camion se gare ainsi que notre voiture. Les réceptions de l'ambassadeur sont réputées pour le bon gout du maitre d'hotel parait-il... En l'occurence le maitre d'hotel jette un oeil sur le camion : 4 adultes, des sportifs visiblement. Derrière, 4 jeunes mals réveillés avec des gros sacs à dos qui semblent partis pour faire du camping sauvage. BINGO !
Pendant que la fouille s'organise, on nous demande de nous écarter. J'en profite pour m'éloigner généreusement avec mes fringues de voleur de sac à main. Pendant ma promenade, le maitre d'hotel s'approche de moi et un pote et me regarde droit dans les yeux. Plein de respect et de bonne humeur il me lance amicalement :
"Vide tes poches !"
C'est là tout l'avantage du trailli militaire, des poches il en a pas mal. Lorsque déçu de voir de la crème solaire, des vieux mouchoirs sales et autres pièces de monnaie il se barre sans même s'intéresser à mon pote pourtant tout désireux de lui montrer ses modestes possessions.
Douane 0 - kayakistes 1
Voici donc que s'annonce le round 2
Une hotesse s'intéressait particulièrement au contenu du coffre. Elle prend un sac au hasard et entreprend de le fouiller, vous savez les gros sacs à dos de montagnes 60 litres pleins de poches et bourrés à mort de fringues même pas pliées. Alors une lampe, des chaussettes, encore des chaussettes, une trousse de toilette, des chaussettes, des slips... bien vite elle abandonne. Mais ce n'est reculer que pour mieux sauter.
Arrive alors mon pote le labrador à poil court. On nous demande de fermer les fenêtres, d'enlever la bouffe (pas touche au saucisson !) et de reculer. vu comme mes fringues puent les substances interdites, je recule de facile 50 mètres. Le chien met de la terre partout dans la voiture, et a le malheur de gratter une demie seconde par terre au niveau du passager avant.
Tout victorieux le maitre chien saute à 4 pattes dans la voiture et fouille le vide poches, jetant par terre toutes les cassettes de cabrel qu'il trouve en vidant les boites bien entendu. Mais rien, nouvelle déception...
Le gars sort de la voiture, s'approche de nous (je rappelle que nous étions 4 dans la voiture), se colle à 1 cm de moi, me fixe droit dans les yeux l'air vengeur et lance cette question :
"c'est qui qui était assis devant ?"
Là une petite voix sort dans son dos : "c'est moi" crie une jeune fille à l'air si innocent qu'il ne peut douter.
Douane 0 - kayakistes 2
Frustré mais toujours poli, le maitre d'hotel nous invite à nous "casser" vite fait. Ce qu'on a fait sans se faire prier. Le camion de nos potes étant déjà libéré depuis longtemps, tout comme cette voiture avec 2 retraités que les douanes n'ont pas voulu arrêter (va comprendre, moi je les trouvais louches ces deux vieux là), nous reprenons la route pour retrouver nos amis plus loin. en effet, à quelques kilomètres ils attendent sur une air de repos.
S'entame alors une discussion sur les évènements récents et les diverses métodes de fouille employées. Il faut le préciser maintenant, mes potes ont une facheuse tendance à ne pas aimer les forces de police, tout comme ces anticonformistes ont réussi à éviter le service militaire et ne veulent pas voter.
L'un d'eux annonce donc tout fier qu'il a provoqué les douanes en leur disant "allez mais venez donc le fouiller le camion, et amenez le votre chien !". Devant les tonnes de sacs à fouiller, ils ont abandonnés, surement aussi persuadés que les bons clients c'étaient les 4 jeunes juste derrière.
Et là les potes s'inquiètent du fait qu'on ait mis si longtemps pour les rejoindre et me connaissant un peu me posent cette question :
"on a eu peur pour toi. T'en avais ?"
Ce à quoi je réponds : "oui"
Stupeur générale, éclats de rire, soulagement... tout se mélange.
-mais tu l'avais mis ou ?
-dans mon portefeuille
-et ton portefeuille ?
-dans mon sac
-et ton sac ?
-dans votre camion
On a vécu une minute de silence pendant laquelle les potes se souvenaient de leurs provocations et de leurs invitations à faire venir le chien dans le camion...
Finalement, pour me faire pardonner, on a dut consommer mes restes autour d'un bon feu après une belle journée de kayak au soleil
Une grosse peur, mais qui est un souvenir bien marrant qui ressort tous les ans autour du feu...
J'avais pas encore la vingtaine, j'étais au lycée, et avec mes potes on est partis en juin se faire un séjour de kayak. On a fait deux groupes :
-le groupe dit des adultes, environ la trentaine, qui voyageaient dans le camion du club de kayak, avec la bouffe, tout le bordel, la remorque avec les bateaux etc...
-le groupe des jeunes, des lycéens en voiture pour pouvoir rentrer quelques jours plus tot pour réviser le bac.
Avant toute chose, je me dois de préciser que la veille j'ai passé une petite soirée avec d'autres amis, dans une chambre mal aérée, ou il s'est consommé une bonne quantité de tabac qui fait rire. J'en avais par ailleurs un petit bout sur moi, on va dire pour dépanner un ami...
Le lendemain, il est encore tôt (beaucoup trop) lorsque je me lève pour rejoindre mes potes et faire la longue route qui nous attend jusqu'aux hautes alpes. Fatigué, mal aux cheveux et mal réveillé, je remets les même fringues que la veille sans faire le ménage dans les poches, celles qui puent l'alcool, la transpiration et la fumée illégale. En résumé, une paire de rangers, un trailli et un t-shirt sans manches et plein de trous, mes cheveux longs et ma sale gueule de fêtard.
Le voyage s'organise donc avec le camion et les adultes devant, la voiture et les jeunes derrière.
Arrivés à un col, nous avons la bonne surprise de tomber sur un barrage des douanes volantes. Le camion se gare ainsi que notre voiture. Les réceptions de l'ambassadeur sont réputées pour le bon gout du maitre d'hotel parait-il... En l'occurence le maitre d'hotel jette un oeil sur le camion : 4 adultes, des sportifs visiblement. Derrière, 4 jeunes mals réveillés avec des gros sacs à dos qui semblent partis pour faire du camping sauvage. BINGO !
Pendant que la fouille s'organise, on nous demande de nous écarter. J'en profite pour m'éloigner généreusement avec mes fringues de voleur de sac à main. Pendant ma promenade, le maitre d'hotel s'approche de moi et un pote et me regarde droit dans les yeux. Plein de respect et de bonne humeur il me lance amicalement :
"Vide tes poches !"
C'est là tout l'avantage du trailli militaire, des poches il en a pas mal. Lorsque déçu de voir de la crème solaire, des vieux mouchoirs sales et autres pièces de monnaie il se barre sans même s'intéresser à mon pote pourtant tout désireux de lui montrer ses modestes possessions.
Douane 0 - kayakistes 1
Voici donc que s'annonce le round 2
Une hotesse s'intéressait particulièrement au contenu du coffre. Elle prend un sac au hasard et entreprend de le fouiller, vous savez les gros sacs à dos de montagnes 60 litres pleins de poches et bourrés à mort de fringues même pas pliées. Alors une lampe, des chaussettes, encore des chaussettes, une trousse de toilette, des chaussettes, des slips... bien vite elle abandonne. Mais ce n'est reculer que pour mieux sauter.
Arrive alors mon pote le labrador à poil court. On nous demande de fermer les fenêtres, d'enlever la bouffe (pas touche au saucisson !) et de reculer. vu comme mes fringues puent les substances interdites, je recule de facile 50 mètres. Le chien met de la terre partout dans la voiture, et a le malheur de gratter une demie seconde par terre au niveau du passager avant.
Tout victorieux le maitre chien saute à 4 pattes dans la voiture et fouille le vide poches, jetant par terre toutes les cassettes de cabrel qu'il trouve en vidant les boites bien entendu. Mais rien, nouvelle déception...
Le gars sort de la voiture, s'approche de nous (je rappelle que nous étions 4 dans la voiture), se colle à 1 cm de moi, me fixe droit dans les yeux l'air vengeur et lance cette question :
"c'est qui qui était assis devant ?"
Là une petite voix sort dans son dos : "c'est moi" crie une jeune fille à l'air si innocent qu'il ne peut douter.
Douane 0 - kayakistes 2
Frustré mais toujours poli, le maitre d'hotel nous invite à nous "casser" vite fait. Ce qu'on a fait sans se faire prier. Le camion de nos potes étant déjà libéré depuis longtemps, tout comme cette voiture avec 2 retraités que les douanes n'ont pas voulu arrêter (va comprendre, moi je les trouvais louches ces deux vieux là), nous reprenons la route pour retrouver nos amis plus loin. en effet, à quelques kilomètres ils attendent sur une air de repos.
S'entame alors une discussion sur les évènements récents et les diverses métodes de fouille employées. Il faut le préciser maintenant, mes potes ont une facheuse tendance à ne pas aimer les forces de police, tout comme ces anticonformistes ont réussi à éviter le service militaire et ne veulent pas voter.
L'un d'eux annonce donc tout fier qu'il a provoqué les douanes en leur disant "allez mais venez donc le fouiller le camion, et amenez le votre chien !". Devant les tonnes de sacs à fouiller, ils ont abandonnés, surement aussi persuadés que les bons clients c'étaient les 4 jeunes juste derrière.
Et là les potes s'inquiètent du fait qu'on ait mis si longtemps pour les rejoindre et me connaissant un peu me posent cette question :
"on a eu peur pour toi. T'en avais ?"
Ce à quoi je réponds : "oui"
Stupeur générale, éclats de rire, soulagement... tout se mélange.
-mais tu l'avais mis ou ?
-dans mon portefeuille
-et ton portefeuille ?
-dans mon sac
-et ton sac ?
-dans votre camion
On a vécu une minute de silence pendant laquelle les potes se souvenaient de leurs provocations et de leurs invitations à faire venir le chien dans le camion...
Finalement, pour me faire pardonner, on a dut consommer mes restes autour d'un bon feu après une belle journée de kayak au soleil
Une grosse peur, mais qui est un souvenir bien marrant qui ressort tous les ans autour du feu...
- Moslinko
- Membre de Avatars & Co, Filliale de M&Co
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- Inscription : 29 juil. 2004 10:16
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En même temps on s'appercoit avec le temps que c'est des coup de flip du à la jeunesse tout ca... Car ils vont quand même pas retirer de la constitution l'abolition de la peine de mort pour un gratton
Moi une fois, bourré, 18 ans et qques, j'faisais le malin devant un agent de la maréchaussée à 2 heure du mat en lui répondant avec un ton à la orange mécanique "oui mssieu, clair comme un lac de montagne monsieur, je n'oserai pas me moquer monsieur, je coopére meussieu, je suis un bon citoyen...Etc...." Le flic gonflé (sans dec ! et j'me demande bien pourquoi ) me fouille partout mais ne pense pas à ouvrir ma carte d'électeur dans laquelle sechait tranquillement un feuille d'erable d'amsterdam
tellement bourré que j'l'vais oublié cette feuille là
Moi une fois, bourré, 18 ans et qques, j'faisais le malin devant un agent de la maréchaussée à 2 heure du mat en lui répondant avec un ton à la orange mécanique "oui mssieu, clair comme un lac de montagne monsieur, je n'oserai pas me moquer monsieur, je coopére meussieu, je suis un bon citoyen...Etc...." Le flic gonflé (sans dec ! et j'me demande bien pourquoi ) me fouille partout mais ne pense pas à ouvrir ma carte d'électeur dans laquelle sechait tranquillement un feuille d'erable d'amsterdam
tellement bourré que j'l'vais oublié cette feuille là
---Contre les lieux protégés---
Leodrielle, Ghurdil, Coyote furtif.
Enfant de T'ren.
Leodrielle, Ghurdil, Coyote furtif.
Enfant de T'ren.
- Labrute
- Dans la vie il y'a 2 catégories de personnes : les guyldiens, et ceux qui les exploitent.
- Messages : 1428
- Inscription : 12 juin 2007 07:56
Ah moi un récent souvenir c'était à la gare de lyon.
On sortait d'une teuf dans le jura. On avait eu le temps de décuver dans le premier train.
A gare de lyon mon poto me demande de nous rouler une ultime cigarette qui fait rire histoire de pas se laisser abattre...
Je tiens le bon bout, je sors ma langue et j'entends, tel un long souffle plein de desespoir "merde les schmitts"
Mode "je flippe" activé...
Je ne lève pas les yeux, je retourne ma main, balaye du pied gauche et pose les pieds sur les reliquats...
Malgré moi, les premières explications affluent dans mon esprit. Les premières gouttes de sueur aussi.
Toute cette intense reflexion ne m'a permis de répondre que "Rien m'sieur..." à la question "qu'est ce que tu faisais là ?"
Mais vu le que le "coup de pied balayette" avait eu l'air efficace ils ont juste trouver un peu de tabac et quelques bribes vertes...
J'me dis : "yes, société tu m'auras pas"
Et je déchante quand ils trouvent une micro-boulette dans la poche avant de mon sac à dos...
mon pote, même sifflement du desespoir, "ah oui j't'avais pas dit..."
moi, re-grosse gouttes "enculé, super cachette..."
Du coup les condés demandent à tout le banc qui me connait et qui possède des stup'
une pauvre nana sort penaude une micro tête de beuh et se fait embarquer avec moi "c'est la première fois que j'ai ça je sais même pas comment on fait ! ca se fume ?"
On entam de vaines négociations "s'il vous plait on va rater notre train, vous allez pas nous embarquer pour ça quand même ?"
Ben quand même si.
Nuit au poste avec les menottes au radiateur...
Passage à 23h devant unn cheffe qui me lance négligemment "ca valait pas le coup de t'arrêter pour ça" et jette la kakine dans une poubelle, devant moi et pars 5 min "finaliser le dossier"
"T'es con ou quoi pourquoi t'as envie d'aller la repêcher tu sais bien qu'ils attendent que ça..."
J'ai dormi dans un coin pourri avec la meuf (elle aussi menottes et tout le tsoin tsoin) loupé le train, loupé un partiel, me suis fait engueler par mes profs et j'ai une période de mise à l'épreuve d'un an avec inscription dans les fichiers nationaux de la police
LES SCHMITTS 1 - MOI 0
Moralité : faites les poubelles des comissariats ça peut valoir le coup
On sortait d'une teuf dans le jura. On avait eu le temps de décuver dans le premier train.
A gare de lyon mon poto me demande de nous rouler une ultime cigarette qui fait rire histoire de pas se laisser abattre...
Je tiens le bon bout, je sors ma langue et j'entends, tel un long souffle plein de desespoir "merde les schmitts"
Mode "je flippe" activé...
Je ne lève pas les yeux, je retourne ma main, balaye du pied gauche et pose les pieds sur les reliquats...
Malgré moi, les premières explications affluent dans mon esprit. Les premières gouttes de sueur aussi.
Toute cette intense reflexion ne m'a permis de répondre que "Rien m'sieur..." à la question "qu'est ce que tu faisais là ?"
Mais vu le que le "coup de pied balayette" avait eu l'air efficace ils ont juste trouver un peu de tabac et quelques bribes vertes...
J'me dis : "yes, société tu m'auras pas"
Et je déchante quand ils trouvent une micro-boulette dans la poche avant de mon sac à dos...
mon pote, même sifflement du desespoir, "ah oui j't'avais pas dit..."
moi, re-grosse gouttes "enculé, super cachette..."
Du coup les condés demandent à tout le banc qui me connait et qui possède des stup'
une pauvre nana sort penaude une micro tête de beuh et se fait embarquer avec moi "c'est la première fois que j'ai ça je sais même pas comment on fait ! ca se fume ?"
On entam de vaines négociations "s'il vous plait on va rater notre train, vous allez pas nous embarquer pour ça quand même ?"
Ben quand même si.
Nuit au poste avec les menottes au radiateur...
Passage à 23h devant unn cheffe qui me lance négligemment "ca valait pas le coup de t'arrêter pour ça" et jette la kakine dans une poubelle, devant moi et pars 5 min "finaliser le dossier"
"T'es con ou quoi pourquoi t'as envie d'aller la repêcher tu sais bien qu'ils attendent que ça..."
J'ai dormi dans un coin pourri avec la meuf (elle aussi menottes et tout le tsoin tsoin) loupé le train, loupé un partiel, me suis fait engueler par mes profs et j'ai une période de mise à l'épreuve d'un an avec inscription dans les fichiers nationaux de la police
LES SCHMITTS 1 - MOI 0
Moralité : faites les poubelles des comissariats ça peut valoir le coup
S'aurait pus êt'e pire. Imagine ils auraient pus le fumer devant toi attaché au radiateur. pour moi la derniére cigarette euphorisante c'était il y a 10 ans (putain le vieux). Et il ne met jamais arrivé d'embrouille avec la marechaussée à part un sens interdit grillé en mobilette. On l'avait pas vue. (le flic pas le panneaux)
J'ai déjà proposé à un ami singapourien l'idée d'en mettre dans ses poches. Il n'a pas rit, ou alors très jaune.Moslinko a écrit :Car ils vont quand même pas retirer de la constitution l'abolition de la peine de mort pour un gratton
Dilbert a écrit :- The key to happiness is to love who you are, not who others want you to be.
- Doesn't that make you a sociopath ?
- Yeah. I love that about me.
- Labrute
- Dans la vie il y'a 2 catégories de personnes : les guyldiens, et ceux qui les exploitent.
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- Inscription : 12 juin 2007 07:56
ninja : Wah excellent !
Ce qui me fait marrer c'est que la meuf après elle se tape la poubelle à fouiller pour récuperer le matos... promis la prochaine fois je vomis dedans "pardon, l'émotion"
bebel : t'as remarqué c'est bizarre on leur dit toujours l'inverse "le panneau ? quel panneau ? ah celui-là !? mais c'est que euh..."
Ce qui me fait marrer c'est que la meuf après elle se tape la poubelle à fouiller pour récuperer le matos... promis la prochaine fois je vomis dedans "pardon, l'émotion"
bebel : t'as remarqué c'est bizarre on leur dit toujours l'inverse "le panneau ? quel panneau ? ah celui-là !? mais c'est que euh..."
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- Inscription : 07 mai 2004 15:49
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Putain j'hallucine là....j'ai une période de mise à l'épreuve d'un an avec inscription dans les fichiers nationaux de la police
Ca s'est passé quand ?
Je me suis fait arrêté plusieurs fois par les flics il y a qques années en train de consommer. Généralement, et bizarrement , ils en profitaient pour nous demander le sacro-saint : "vous avez autre chose sur vous ?" auquel on répondait par le sacro-saint: "non m'sieur".
S'en suivait une fouille au corps plus ou moins méticuleuse selon l'humeur des gardes champ' et même s'il est arrivé une ou deux fois qu'ils trouvent quelques grammes (voire plus) d'herbe, jamais ô grand jamais ils ne nous ont embarqué...
Alors c'est donc vrai ? Les temps ont changé ?
SylverFox
Joueur de Turìn, Finrod et Thorïn.
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