La bête était assaillie. ils n'étaient pas nombreux, mais diablement bien organisés. L'horreur Immonde poussa un hurlement qui glaça la moelle épinière des combattants et leur dressa les cheveux sur la tête, lorsqu'il sentit le sang suinter de ses nombreuses plaies.
Alors l'Horreur souleva les masses qui lui tenaient lieu de bras, et les abattit sur la piétaille qui osait l'attaquer. Plusieurs, assez véloces, esquivèrent facilement les poings. Angylus Junior en profita pour continuer à trancher les bourrelets de l'Horreur.
Alors l'Horreur se concentra sur Angylus. Il écrabouilla sa tête entre ses deux poings. Angylus glissa par terre. son corps inerte laissa s'échapper un dernier filet de vie.
[Balrog] l'Horreur Immonde
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La Conscience
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Au prise avec deux démonettes, aux atouts aussi développés que la précision de leurs attaques, angylus pere, ne pu qu’assister de loin a l’effondrement de son fils.
Le bruit sourd du corps de sa progeniture s’écrasant massivement sur le sol poisseux de baves, fut le dernier qu’il entendit.
Plus rien ne détournait son attention.
Le sang de son fils s’étalait a ses pieds. Cette flaque contrastait avec la bave verdâtre de l’horreur, celle qui venait de porter le coup fatal.
Ses gloussements lubriques, ses pustules plus présents que jamais, l’image du pachiderme rampant ne cessait d’obséder ce pere de famille effondré par la mort de son fils.
Les larmes coulaient le long de ses yeux. Etait ce les nerfs, de la tristesse ? nul ne pourrait le dire.
Paradant les attaques de ces assaillants sans leur preter attention, ces yeux restaient fixés sur cet amas de graisse, responsable de la mort de son fils.
« JUnnnnnnnnioooooorrrrr … »
Son cœur lui, ne cessait de repeter le nom de son enfant. Ses levres, elles bredouillaient une mot , sans pour autant sortir de son, ce mot « vengeance … vengeance … »
- Angylus pere -
Le bruit sourd du corps de sa progeniture s’écrasant massivement sur le sol poisseux de baves, fut le dernier qu’il entendit.
Plus rien ne détournait son attention.
Le sang de son fils s’étalait a ses pieds. Cette flaque contrastait avec la bave verdâtre de l’horreur, celle qui venait de porter le coup fatal.
Ses gloussements lubriques, ses pustules plus présents que jamais, l’image du pachiderme rampant ne cessait d’obséder ce pere de famille effondré par la mort de son fils.
Les larmes coulaient le long de ses yeux. Etait ce les nerfs, de la tristesse ? nul ne pourrait le dire.
Paradant les attaques de ces assaillants sans leur preter attention, ces yeux restaient fixés sur cet amas de graisse, responsable de la mort de son fils.
« JUnnnnnnnnioooooorrrrr … »
Son cœur lui, ne cessait de repeter le nom de son enfant. Ses levres, elles bredouillaient une mot , sans pour autant sortir de son, ce mot « vengeance … vengeance … »
- Angylus pere -
Dernière modification par Angylus le 14 mars 2006 00:19, modifié 2 fois.
Ca y est... apres le familier de York, le premiere courageux à s'être lancé dans la bataille venait de périr...
Oli était fou de rage !!! Personne ne venaient les aider, à 24 cela faisait maintenant une nuit et une journée entière qu'ils étaient la...
Tous les coups étaient portés à la bête. Le sang de celle ci commencait à couler au sol formant une flaque mi-visqueuse mi-liquide. Combien de temps encore allaient ils tenir ?
Après la mort d'Angylus il fallait faire payer l'horreur. Oli invoqua une épée de feu, et se lanca la lame en l'air, pour l'abattre pas trois nouvelles fois sur les bourrelets immondes.
Oli
Oli était fou de rage !!! Personne ne venaient les aider, à 24 cela faisait maintenant une nuit et une journée entière qu'ils étaient la...
Tous les coups étaient portés à la bête. Le sang de celle ci commencait à couler au sol formant une flaque mi-visqueuse mi-liquide. Combien de temps encore allaient ils tenir ?
Après la mort d'Angylus il fallait faire payer l'horreur. Oli invoqua une épée de feu, et se lanca la lame en l'air, pour l'abattre pas trois nouvelles fois sur les bourrelets immondes.
Oli
Au sol gisait le corps du nain. Autour , des bouts de gras, des trainées de sang et une substance verdâtre visqueuse. Une odeur de chaud vint se meler a celle des gazs de l’immondice rampante. Cette odeur bien que legere, prit le dessus autour de bénabard . C’était celle de la mort. Ca sentait la mort !
Balloté, par des nausées de plus en plus pressantes, l’elfe releva son regard. Instinctivement ou par simple hasard, ces yeux se posérent sur l’esclave. Elle ne bronchait toujours pas. N’éssayait pas de profiter de la situation pour fuir. Elle contemplait les combats sans esquisser de sentiments. Impossible de lire elle.
Le barde, pris alors sa lyre. La bave de l’horreur était meme présente sur les cordes de l’instrument. Il entonna d’une voix emplit de mélancolie un chant. Ses paroles glorifiées les vertues de la liberté et avaient pour dessein de redonner courages aux aventuriers presents. L’esclave pourrait ainsi, entendre cette mélodie, et se laisser entrainer à suivre cette invitation a combattre l’oppression.
Balloté, par des nausées de plus en plus pressantes, l’elfe releva son regard. Instinctivement ou par simple hasard, ces yeux se posérent sur l’esclave. Elle ne bronchait toujours pas. N’éssayait pas de profiter de la situation pour fuir. Elle contemplait les combats sans esquisser de sentiments. Impossible de lire elle.
Le barde, pris alors sa lyre. La bave de l’horreur était meme présente sur les cordes de l’instrument. Il entonna d’une voix emplit de mélancolie un chant. Ses paroles glorifiées les vertues de la liberté et avaient pour dessein de redonner courages aux aventuriers presents. L’esclave pourrait ainsi, entendre cette mélodie, et se laisser entrainer à suivre cette invitation a combattre l’oppression.
Depuis le début, les mages de l'Ordre d'Hermès se consacraient aux soins. York brisait régulièrement des runes pour lancer des Soins partisans qui soulageaient tous les guerriers et mages présents, et Eldarielle pansait les plaies les plus graves qui subsistaient avec des Soins Importants, assistée de son phoenix pour cautériser ce qui restait.
Puis l'elfe consulta son grimoire, fouilla dans sa besace... Et passa à la vitesse supérieure, dispensant à son tour un autre soin de masse. Soignant ainsi tout le monde, ils comptaient sur les autres pour veiller sur leur propre santé et celle de leurs compagnons d'avant le rassemblement. Ils ne parvenaient qu'à endiguer le flot de blessés, mais Hermès ne faillirait pas.
Puis l'elfe consulta son grimoire, fouilla dans sa besace... Et passa à la vitesse supérieure, dispensant à son tour un autre soin de masse. Soignant ainsi tout le monde, ils comptaient sur les autres pour veiller sur leur propre santé et celle de leurs compagnons d'avant le rassemblement. Ils ne parvenaient qu'à endiguer le flot de blessés, mais Hermès ne faillirait pas.
Nhyima - Preux d'Io au chômage
Siobhan - Chevalière de Justice, Ordre de la Croix Blanche
Eldarielle - Mage de l'Ordre d'Hermès
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Iuchi_Ozogi
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Mission accomplie !
La bête,qui avait montré des signes de faiblesse la veille, sentait sa fin approcher en même temps que la vague de guerriers qui déferlaient maintenant de toutes parts.
Alors qu'elle se préparait à s'échapper, une poignée de guerrier entreprit un assault... Bras de fer se jetta sur l'Horreur immonde avec rage, usant toutes ses forces et la laissant pour morte.
Affrrrrreux, sans une seconde d'hésitation, porta le coup final.
La montagne de chair se disloqua et explosa... enfin les efforts et le courage étaient récompensés.
Bien joué les gars !
Bon c'est pas encore fini pour nous, y reste un paquet de démons à charcuter !
La bête,qui avait montré des signes de faiblesse la veille, sentait sa fin approcher en même temps que la vague de guerriers qui déferlaient maintenant de toutes parts.
Alors qu'elle se préparait à s'échapper, une poignée de guerrier entreprit un assault... Bras de fer se jetta sur l'Horreur immonde avec rage, usant toutes ses forces et la laissant pour morte.
Affrrrrreux, sans une seconde d'hésitation, porta le coup final.
La montagne de chair se disloqua et explosa... enfin les efforts et le courage étaient récompensés.
Bien joué les gars !
Bon c'est pas encore fini pour nous, y reste un paquet de démons à charcuter !
Iuchi Ozogi.
Vorbis le teigneux, caravanier.
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La Conscience
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L'Horreur Immonde souffrait, mais continuait d'engranger ses monstres afin de les envoyer au pays des pas perdus. Quand l'assaut commença, elle hurla de douleur. Les démons tentèrent de soigner leur maître, en vain. La cohorte d'aventuriers vint à bout de l'Horreur Immonde. Son ventre explosa, projetant sur tous les aventuriers aux alentours un liquide verdâtre qui sentait la charogne. L'odeur piquait les yeux tant elle était âcre.
Alors que les guerriers se jetaient sur l'esclave, afin de la tuer, cette dernière posa son regard doré et candide sur Bénabard. Une larme glissa sur sa joue veloutée. Elle ne bougea pas, ne résista pas aux coups violents qui perforaient son corps gracile.
Alors que les guerriers se jetaient sur l'esclave, afin de la tuer, cette dernière posa son regard doré et candide sur Bénabard. Une larme glissa sur sa joue veloutée. Elle ne bougea pas, ne résista pas aux coups violents qui perforaient son corps gracile.
Alors que l'horreur immonde explosait en deversant tripes et boyaux ...
"Ha la vache, mais bon dieu qui a garder un aint marcellin 3 emaines dans son sac la ?!
ca flaire le renard mort !!!
mais .. mais quel est le salopard qui m'a tout englué ?! (
) "
"Ha la vache, mais bon dieu qui a garder un aint marcellin 3 emaines dans son sac la ?!
ca flaire le renard mort !!!
mais .. mais quel est le salopard qui m'a tout englué ?! (
) "Megharde ,Gerant de l'echoppe "Au Surplus Morbelins" -1
Frappadingue, Reincarnation de nain ... ou de troll on sais pas trop
FallaisPasFaireChier Gerant de l'echoppe "Au Bazard de Baleth nord ouest du -5
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Pinguin magique
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Couverts du sang infect de la bête, les aventuriers maudirent cette Horreur Immonde qui les couvrait de cette odeur pestinentielle jusque dans sa mort...(bon Dieu FallaisPasFaireChier, je croyais que c'était mon familier qui avait encore fait des siennes !)
Les aventuriers ressentirent ensuite un grand soulagement, la bete était terrassée. Ils étaient dans un état fébrile, du à des jours et des nuits entières passées à se battre, souvent entre la vie et la mort, dans un état second.
Le temps de reprendre ses esprits, un rapide coup d'oeil aux alentours permettait de comprendre que la situation n'était pas rose pour autant :
les démons étaient très nombreux, et surexcités, et ils n'avaient toujours pas repris en main leur trident, cette arme dangereuse mais au combien peu maniable..
il allait encore falloir fournir de nombreux efforts pour achever tous les sbirres de l'Horreur Immonde..
Les aventuriers ressentirent ensuite un grand soulagement, la bete était terrassée. Ils étaient dans un état fébrile, du à des jours et des nuits entières passées à se battre, souvent entre la vie et la mort, dans un état second.
Le temps de reprendre ses esprits, un rapide coup d'oeil aux alentours permettait de comprendre que la situation n'était pas rose pour autant :
les démons étaient très nombreux, et surexcités, et ils n'avaient toujours pas repris en main leur trident, cette arme dangereuse mais au combien peu maniable..
il allait encore falloir fournir de nombreux efforts pour achever tous les sbirres de l'Horreur Immonde..
Assaillit par des diablotins, le barde, observait impuissant les assaut béliqueux de ses compagnons sur l'esclave.
Ne pouvant Agir, il se résigna sur son violon d'ingre et adressa, un poème a la jeune ex-captive
il prit sa lyre. joua trois note, puis enchaina :
Les démons ont pour vous la même dévotion
sans limite, qu'ils avaient pour cette horreur.
Vous paraissez si douce, si frele, j'ai peur
pour vous. Venez a moi pour plus de précaution
l'immonde créature était votre soeur ?
Vos larmes, etait-ce pour votr'libération ?
Ou pour la mort de l'autre abomination ?
Essayer de laissez s'exprimer votre coeur.
Bénabard
Ne pouvant Agir, il se résigna sur son violon d'ingre et adressa, un poème a la jeune ex-captive
il prit sa lyre. joua trois note, puis enchaina :
Les démons ont pour vous la même dévotion
sans limite, qu'ils avaient pour cette horreur.
Vous paraissez si douce, si frele, j'ai peur
pour vous. Venez a moi pour plus de précaution
l'immonde créature était votre soeur ?
Vos larmes, etait-ce pour votr'libération ?
Ou pour la mort de l'autre abomination ?
Essayer de laissez s'exprimer votre coeur.
Bénabard
L'Esclave fixa longtemps Bénabard. Puis, avec une grâce surnaturelle, elle repoussa du dos de la main les épée qui l'assaillaient, se fraya un chemin parmi les aventuriers et vint se placer devant Bénabard. Sa nudité ne semblait absolument pas la gêner. Elle se tint mains croisées devant lui, dans une posture humble
L'elfe contempla la grace avec laquelle, la jeune femme parvint a se mouvoir de ces assaillants.Sa peau ne souffrait d'aucune cicatrice. A croire que les attaques portées par les guerriers n'avaient que ricoché sur elle. Cela signifait également, l'absence de coup ou de maltraitance de la part de l'immondice ambulant.
A présent a ses cotés, le barde ne ressentait l'odeur pestillentielle des flatulences de l'horreur, mais était envouté par les douces effluves de la jeune femme.
Machinalement, il essaya de retirer le collier du cou de la jeune femme, au bout du quel se tenait précédement la chaine la reliant a l'horreur.
Les démons observaient nerveusement la scène. Certains, peut être inquiet, avaient réalisé le déplacement également.
La nudité de la jeune femme symbolisait, pour le jeune elfe, une forme d'avilissement. Imaginant le calvaire et le désarroie de la captive durant les semaines précédentes, il voulu lui rendre un peu de dignité. Aussi, il lui tendit de quoi se vétir. Peut-être, est elle encore choquée?
De son attitude pourtant, ne transpirait aucune forme de panique...
Nombreux étaient les regards dans leur direction. Mais le barde ne parvenait a quitter des yeux la jeune femme devant lui ...
L'Esclave regarda l'objet que lui tendait Bénabard. Elle effleura de ses mains douces et chaudes celles de Bénabard en prenant l'objet dans ses mains. Puis elle s'en servit pour cacher l'essentiel de sa nudité.
Ensuite, elle se déplaça légèrement pour se placer aux côtés de Bénabard, dans le périmètre où il pouvait la protéger, et resta immobile. De temps en temps, son regard brillait en regardant le carnage qui avait lieu devant ses yeux. Mais elle ne cillait pas.
Dès le premier regard de la jeune femme, une forme de courage, ou d'inconscience, naquit chez le barde. Lentrainant à suivre ces compagnons dans ce combat sanglant.
A présent, la chaleur des mains de la jeune femme, eveillait en l'elfe une nouvelle sensation, encore inconnue. Il voulait lui venir en aide. Mais ne savait comment s'y prendre.
Sur le champs de bataille, le sang ne cessait de couler de part et d'autres.
L'arrivée de la septième compagnie permis de donner un ascendant aux aventuriers. Avec York qui établissait magistralement les plans de batailles, les differentes guildes s'organisaient pour mener a bien ces directives.
Conscient du séptiscisme de ces amis, le barde sollicita la jeune femme :
Vous connaissez bien toutes ces créatures,
peut etre pourriez vous lancer sur nos guerriers
des sortilèges, du moins ceux appropriés.
les scéptiques en oublieraient leurs injures.
Dame, d'où venez vous? Enfant de roturier ?
Quelx étaitx vos liens avec la pourriture ?
Effacez des a present vos meurtrissures
et votre collier sera changer en laurier !
A présent, la chaleur des mains de la jeune femme, eveillait en l'elfe une nouvelle sensation, encore inconnue. Il voulait lui venir en aide. Mais ne savait comment s'y prendre.
Sur le champs de bataille, le sang ne cessait de couler de part et d'autres.
L'arrivée de la septième compagnie permis de donner un ascendant aux aventuriers. Avec York qui établissait magistralement les plans de batailles, les differentes guildes s'organisaient pour mener a bien ces directives.
Conscient du séptiscisme de ces amis, le barde sollicita la jeune femme :
Vous connaissez bien toutes ces créatures,
peut etre pourriez vous lancer sur nos guerriers
des sortilèges, du moins ceux appropriés.
les scéptiques en oublieraient leurs injures.
Dame, d'où venez vous? Enfant de roturier ?
Quelx étaitx vos liens avec la pourriture ?
Effacez des a present vos meurtrissures
et votre collier sera changer en laurier !
La jeune femme restait abritée derriere le barde. Elle s’exercait dans l’art occulte de la magie, d’ailleurs sa jeunesse cachait une talenteuse praticienne.
Les démons et les succubes, avaient laissé place a une horde de guerrier. Ne restait de l’immnde créature, que cette odeur pestilentielle, incrustée dans les murs de feu.
L’ancienne esclave, ne s’exprimant jamais par la parole, mais plus par la gestuelle, le jeune elfe en déduisit qu’elle devait surement être muette, ou bien ne pas maitriser cette langue commune aux aventuriers …
Aussi, la regardant dans les yeux, il lui demanda
« Vos paroles sont si rares, peut etre parler est un excercie que vous execrez ? Dans ce cas, voici plusieurs propositions, vous pouvez nous répondre par un signe de tête, ou de main. Que vous ait il arrivé, ou la bete vous a t elle capturée ? »
il marque une pause
« Est ce dans les bois des exterieurs ? Voulez vous aller a la surface pour retrouver les votres ? »
De nouveau il se tut
Les démons et les succubes, avaient laissé place a une horde de guerrier. Ne restait de l’immnde créature, que cette odeur pestilentielle, incrustée dans les murs de feu.
L’ancienne esclave, ne s’exprimant jamais par la parole, mais plus par la gestuelle, le jeune elfe en déduisit qu’elle devait surement être muette, ou bien ne pas maitriser cette langue commune aux aventuriers …
Aussi, la regardant dans les yeux, il lui demanda
« Vos paroles sont si rares, peut etre parler est un excercie que vous execrez ? Dans ce cas, voici plusieurs propositions, vous pouvez nous répondre par un signe de tête, ou de main. Que vous ait il arrivé, ou la bete vous a t elle capturée ? »
il marque une pause
« Est ce dans les bois des exterieurs ? Voulez vous aller a la surface pour retrouver les votres ? »
De nouveau il se tut
l'esclave de l'horreur dit :
La jeune esclave dévisagea longuement Benabard, sans ciller. Ses yeux mordorés s'iradiaient parfois, on eut dit qu'un feu latent couvait derrière les prunelles sages, et que ce feu était contenu, avec difficulté.
Elle ouvrit la bouche pour répondre à Benabard. Un petit gargouillis en sortit avant qu'elle ne referme très vite la bouche. L'esclave baissa la tête et se détourna. Elle contempla le spectacle des dépouilles de démons, démonettes et succubes, entre lesquels dansaient les diablotins entre vivants.
Son visage arborait une expression énigmatique.