A cette réplique, Kaali partit dans un rire tonitruant :
« AAhaaaaaahhhhhhhhaaaaahhhh!!!
Vous vous faites donc mener par le bout du nez par une morveuse qui a la folie des grandeurs.
Je me demande lequel des partis est le plus ridicule dans cette affaire.
En tout cas je saurais me souvenir que vous m'avez fait perdre mon temps.
Veuillez ne pas continuer à le faire messires les nourrices et mademoiselle la peste. »
Ré-Münde, elle aussi donna la réplique à Ecate :
« Ecate...tu peux m'insulter tant que tu veux ... tu ne fais pas partie de ceux dont les insultes peuvent me toucher. Tu n'es rien par toi-même Ecate. Tu as aujourd'hui une existence aux yeux de ceux qui sont ici car tu es la fille de Nenya et l'incarnation d'Ecatis. Tu n'as rien réalisé, rien accompli. Regarde ton corps Ecate, tu es une humaine...et tu es ici pour apprendre à exister. Continue comme maintenant, et ce ne sera que la solitude et l'isolement que tu trouveras!
Enfin, tu sembles n'éprouver du respect que pour ta mère. Celle qui t'as abandonné en nos mains. S’il faut que nous fassions pression sur elle pour que tu obéisses, cela ne me posera aucun problème. Sache-le! Maintenant suis nous. »
Ecate
« Kaali, es-tu à ce point aveugle ... ou fou de ne pas voir un Dieu quand il se présente devant toi ?
Tu devrais trembler et me montrer du respect.
Balgur a fait de toi son jouet, il te manipule au point de te faire croire que tu es ton propre maître. »
Ecate fixa alors Kaali droit dans les yeux.
Et les mots devinrent réalité.
Tu devrais trembler et me montrer du respect.
Balgur a fait de toi son jouet, il te manipule au point de te faire croire que tu es ton propre maître. »
Ecate fixa alors Kaali droit dans les yeux.
Et les mots devinrent réalité.
Et les mots devinrent 2 petits tuors de magie que Jasmin peut faire aussi bien que toi.
A la difference que je ne resiste pas aux sorts de Jasmin.
Tu es donc une petite surdouée qui merite une fessée et je te l'ai donné, acompagnée d'un baillon pour avoir la paix le temps que tu t'en ailles.
Le fait que tu pique une colere et lance des boules de feu pour me roussir les vetements apres n'y change rien. J'espere ne pas avoir a te croiser a nouveau ou alors que d'ici la tes precepteurs aient fait leur travail..... ce qui devrait commencer par un retour a la surface de ce monde pour etre mise dans une ecole digne de ce nom d'ailleurs.
A la difference que je ne resiste pas aux sorts de Jasmin.
Tu es donc une petite surdouée qui merite une fessée et je te l'ai donné, acompagnée d'un baillon pour avoir la paix le temps que tu t'en ailles.
Le fait que tu pique une colere et lance des boules de feu pour me roussir les vetements apres n'y change rien. J'espere ne pas avoir a te croiser a nouveau ou alors que d'ici la tes precepteurs aient fait leur travail..... ce qui devrait commencer par un retour a la surface de ce monde pour etre mise dans une ecole digne de ce nom d'ailleurs.
Kaali.
Kyroi de Balgur
Kyroi de Balgur
Ce fut Darnikouille Tharazak qui, le premier, me parla d’elle.
Nous l’avions croisé au Pays des Gelées. Il avançait tête baissée, et regard srutant le sol, à la recherche d’on ne sait quoi…
Je compris plus tard que Darni, en digne Caravanier, était amateur d’objets en tout genre, et qu’il les accumulait avec une voracité inquiétante…
Le nain me plut tout de suite : hâbleur, rusé, baratineur, provocateur et à l’humour incisif.
Il évoqua l’histoire de sa famille (un bronx hallucinant…) et me conta la sienne.
Bref…Je lui proposai de partager notre route.
Les miens l’accueillirent chaleureusement :
Paladhe le menaça de son sourire ahuri, l’intrépide Belonda Hachefeu, les mains crispées sur son arme, se désespérait de ne rien trouver à pourfendre, Humbert, méchamment imbibé, titubait laborieusement devant Darni, pour finalement accoucher d’un malheureux : « HEY ! ! ! », qu’il mit la soirée à formuler…
Morel, douce et innocente elfette, tourna autour de l’invité, évaluant ses capacités guerrières ou autre… nul ne sait.
Seuls Raskolnikof et Celebfin, êtres doués de sagesse et de raison, le saluèrent…Dans les règles.
Darni, resté serein malgré l’étrange spectacle offert, posa alors LA question qui tue. Celle qu’il ne cessera plus de marteler : « Euh…Vous allez où ? Vous avez des projets ? On fait quoi ? »…
Délicat…Délicat…Vu la nature de nos desseins…
Cependant, je cédai et lui avouai tout…
Ma réponse le combla, nos projets étaient communs.
Aussi, nous invita-t-il à rejoindre ses amis qui bataillaient ferme dans l’ Antichambre.
Les CDJ nous accueillirent sans effusion.
Seule Ecate trépignait de joie. De nouvelles proies pour soulager sa hargne…
BONHEURRRRRRRRR….
Nous l’avions croisé au Pays des Gelées. Il avançait tête baissée, et regard srutant le sol, à la recherche d’on ne sait quoi…
Je compris plus tard que Darni, en digne Caravanier, était amateur d’objets en tout genre, et qu’il les accumulait avec une voracité inquiétante…
Le nain me plut tout de suite : hâbleur, rusé, baratineur, provocateur et à l’humour incisif.
Il évoqua l’histoire de sa famille (un bronx hallucinant…) et me conta la sienne.
Bref…Je lui proposai de partager notre route.
Les miens l’accueillirent chaleureusement :
Paladhe le menaça de son sourire ahuri, l’intrépide Belonda Hachefeu, les mains crispées sur son arme, se désespérait de ne rien trouver à pourfendre, Humbert, méchamment imbibé, titubait laborieusement devant Darni, pour finalement accoucher d’un malheureux : « HEY ! ! ! », qu’il mit la soirée à formuler…
Morel, douce et innocente elfette, tourna autour de l’invité, évaluant ses capacités guerrières ou autre… nul ne sait.
Seuls Raskolnikof et Celebfin, êtres doués de sagesse et de raison, le saluèrent…Dans les règles.
Darni, resté serein malgré l’étrange spectacle offert, posa alors LA question qui tue. Celle qu’il ne cessera plus de marteler : « Euh…Vous allez où ? Vous avez des projets ? On fait quoi ? »…
Délicat…Délicat…Vu la nature de nos desseins…
Cependant, je cédai et lui avouai tout…
Ma réponse le combla, nos projets étaient communs.
Aussi, nous invita-t-il à rejoindre ses amis qui bataillaient ferme dans l’ Antichambre.
Les CDJ nous accueillirent sans effusion.
Seule Ecate trépignait de joie. De nouvelles proies pour soulager sa hargne…
BONHEURRRRRRRRR….
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Les présentations achevées, l’agitation me gagna…
Notre « but commun », approchait dans un tel vacarme qu’il nous était difficile de l’ignorer.
Le dernier passage lancé, sans la moindre précaution, par les Mercenaires sonna l’alarme.
L’affrontement était proche…
Alors que l’excitation atteignait son paroxysme, et que les trippes se nouaient, Ré-Münde, menacée par une révolution, nous planta sans ménagement, emportant dans son tourbillon l’escorte d’Ecate au grand complet…
Omettant cependant un léger détail…. : ECATE…
Malgré tout, décision fut prise de satisfaire nos desseins. L’assaut fut lancé.
Une jolie pagaille…
Bref…
A l’issue du combat, nous nous apprêtions à reprendre notre route, lorsqu’une Ecate esseulée s’incrusta parmi nous avec une telle effronterie que je ne sus résister…
Puis…Le calme…
Enfin….Vite dit….
L’incarnation d’Ecatis se chargea d’abîmer mon humeur…
Une missive me fut portée…C’était Ré-Münde. Les insurgés avaient échoué, elle restait Prima des CDJ.
J’en informai les miens. Les réactions furent diverses et variées :
Paladhe agita sa tête en tout sens, signifiant ainsi son contentement, Belonda scrutait encore et toujours l’horizon à la recherche d’un danger quelconque dans lequel elle pourrait se jeter tête baissée, Darni trainait et justifia son retard par cette expression de son cru : « Je cours après ma barbe depuis 3 jours », ce qui me laissa perplexe… Et Celebfin, avide de connaissance restait prostré devant un ouvrage de magie. Seule Ecate s’agita, grognant sur les CDJ qu’elle m’assura mépriser….
Je m’aventurai en terrain glissant, je le sentais…Mais rétorquai :
« OULAaaaaa....Euh...Ecate ?
Si je me souviens bien, lorsque nous avons eu l'immense privilège de te rencontrer *sourire en coin*, Ré-Munde te tenait la main, non ?
Est-ce son départ plus que précipité et totalement injustifié qui attise ta rancoeur ?? »
Voilà…C’était parti…Le décor était planté.
« Ré-Münde ? Me tenir par la main ?
Elle est bien bonne celle-là.
Comme tu es un nain bavard et pas très malin, je vais prendre ça pour une blague.
Ré-Münde, tout comme les Chevaliers qui l'entourent, n'a pas bougé le petit doigt quand Kaali est venu m'humilier.
Ré-Münde, toujours elle, est allée se mettre dans un bourbier de monstres et c'est moi qui les ai maintenus en vie.
Alors ne parle pas de Ré-Münde comme d'une mère protectrice.
Je méprise Ré-Münde et ses chevaliers de Justice comme je méprise les faibles »
Le mordant de la môme m’amusa tant qu’un éclat de rire roula entre mes lèvres…
Notre « but commun », approchait dans un tel vacarme qu’il nous était difficile de l’ignorer.
Le dernier passage lancé, sans la moindre précaution, par les Mercenaires sonna l’alarme.
L’affrontement était proche…
Alors que l’excitation atteignait son paroxysme, et que les trippes se nouaient, Ré-Münde, menacée par une révolution, nous planta sans ménagement, emportant dans son tourbillon l’escorte d’Ecate au grand complet…
Omettant cependant un léger détail…. : ECATE…
Malgré tout, décision fut prise de satisfaire nos desseins. L’assaut fut lancé.
Une jolie pagaille…
Bref…
A l’issue du combat, nous nous apprêtions à reprendre notre route, lorsqu’une Ecate esseulée s’incrusta parmi nous avec une telle effronterie que je ne sus résister…
Puis…Le calme…
Enfin….Vite dit….
L’incarnation d’Ecatis se chargea d’abîmer mon humeur…
Une missive me fut portée…C’était Ré-Münde. Les insurgés avaient échoué, elle restait Prima des CDJ.
J’en informai les miens. Les réactions furent diverses et variées :
Paladhe agita sa tête en tout sens, signifiant ainsi son contentement, Belonda scrutait encore et toujours l’horizon à la recherche d’un danger quelconque dans lequel elle pourrait se jeter tête baissée, Darni trainait et justifia son retard par cette expression de son cru : « Je cours après ma barbe depuis 3 jours », ce qui me laissa perplexe… Et Celebfin, avide de connaissance restait prostré devant un ouvrage de magie. Seule Ecate s’agita, grognant sur les CDJ qu’elle m’assura mépriser….
Je m’aventurai en terrain glissant, je le sentais…Mais rétorquai :
« OULAaaaaa....Euh...Ecate ?
Si je me souviens bien, lorsque nous avons eu l'immense privilège de te rencontrer *sourire en coin*, Ré-Munde te tenait la main, non ?
Est-ce son départ plus que précipité et totalement injustifié qui attise ta rancoeur ?? »
Voilà…C’était parti…Le décor était planté.
« Ré-Münde ? Me tenir par la main ?
Elle est bien bonne celle-là.
Comme tu es un nain bavard et pas très malin, je vais prendre ça pour une blague.
Ré-Münde, tout comme les Chevaliers qui l'entourent, n'a pas bougé le petit doigt quand Kaali est venu m'humilier.
Ré-Münde, toujours elle, est allée se mettre dans un bourbier de monstres et c'est moi qui les ai maintenus en vie.
Alors ne parle pas de Ré-Münde comme d'une mère protectrice.
Je méprise Ré-Münde et ses chevaliers de Justice comme je méprise les faibles »
Le mordant de la môme m’amusa tant qu’un éclat de rire roula entre mes lèvres…
Dernière modification par bardamu le 28 juil. 2005 16:04, modifié 1 fois.
La Horde Sauvage / Le Fight Club
La missive, que je reçus quelques jours plus tard, me troubla.
Son auteur, qui m’était inconnu, sollicitait une rencontre…Dans un but bien précis…
Lorsque j’en eus achevé la lecture, mon regard se leva sur Ecate…
L’anxiété me gagna…Comme par instinct.
J’observai la fillette et réalisai que je ne connaissais presque rien d’elle.
Lorsqu’elle évoquait sa mère, ses traits s’altéraient sous l’effet de la douleur.
Du discours décousu de la môme, je compris que Nenya l’avait abandonnée alors qu’elle poussait ses premiers cris.
J’ignorais qui l’avait bercée dans sa petite enfance, qui lui prodiguait des soins lorsqu’elle était souffrante, qui lui témoignait de l’affection lorsqu’elle en éprouvait le besoin…
Ecate restait une énigme.
Puis les rumeurs, vivaces dans ces bas-fonds, parvinrent jusqu’à moi.
Mes craintes premières se révélèrent fondées.
La missive concernait directement Ecate, même si son nom n’y était pas mentionné.
Malgré tout, je décidai d’accéder à la demande de l’auteur: la rencontre aurait lieu.
Les destins des uns et des autres étaient sur le point de se mêler, sans que nul ne puisse en anticiper l’issue.
Aussi, nous dirigions nous, gavés d’appréhension, vers les incertitudes…
Seule Ecate, toujours assoiffée d’embrouilles, semblait satsifaite...
Son auteur, qui m’était inconnu, sollicitait une rencontre…Dans un but bien précis…
Lorsque j’en eus achevé la lecture, mon regard se leva sur Ecate…
L’anxiété me gagna…Comme par instinct.
J’observai la fillette et réalisai que je ne connaissais presque rien d’elle.
Lorsqu’elle évoquait sa mère, ses traits s’altéraient sous l’effet de la douleur.
Du discours décousu de la môme, je compris que Nenya l’avait abandonnée alors qu’elle poussait ses premiers cris.
J’ignorais qui l’avait bercée dans sa petite enfance, qui lui prodiguait des soins lorsqu’elle était souffrante, qui lui témoignait de l’affection lorsqu’elle en éprouvait le besoin…
Ecate restait une énigme.
Puis les rumeurs, vivaces dans ces bas-fonds, parvinrent jusqu’à moi.
Mes craintes premières se révélèrent fondées.
La missive concernait directement Ecate, même si son nom n’y était pas mentionné.
Malgré tout, je décidai d’accéder à la demande de l’auteur: la rencontre aurait lieu.
Les destins des uns et des autres étaient sur le point de se mêler, sans que nul ne puisse en anticiper l’issue.
Aussi, nous dirigions nous, gavés d’appréhension, vers les incertitudes…
Seule Ecate, toujours assoiffée d’embrouilles, semblait satsifaite...
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Sur notre route, nous croisâmes Mongo Park…Individu fort agité, dont l’esprit tourmenté représentait une menace de tout instant pour tous ceux, qui comme nous, avaient la chance de le rencontrer.
Alors que Paladhe et Mongo évoquaient leurs péripéties passées, ponctuant le tout d’éclats de voix et de rires tonitruants, Mongo se figea.
D’un signe de tête, il nous invita à observer Ecate…
S’ensuivirent des paroles qui nous accablèrent tous, et qui nécessitèrent d’être très réactifs :
« Beuh…C’est qui ce Ecate ? ? ? Je crois que je vais le tuer ! ! ! »
Paladhe se roula à terre, submergé par une crise de rire qu’il ne parvint pas à contenir, alors qu’un léger vertige affaiblit Celebfin. Celui-ci, incrédule et blafard, resta sans voix…
Seule Morel, la délicieuse, posa sa main sur le torse de Mongo afin de freiner son pas :
« Teuteuteuteu…Pas touche mec…Sinon, je sors les morning stars…Ok ? ? »
La proposition enthousiasma Mongo qui émit un grognement en signe d’approbation.
Par chance, Celebfin recouvra la santé, et mit un terme à ce cirque.
Puis, la nuit arriva, sournoise et inquiètante.
Tous s’endormirent.
A l’aube, Mongo, méchamment imbibé, trébucha et s’écrasa face contre sol.
De sa main tremblante, il ramassa les runes tombées de ses poches, et, le bougre, étant dans l’incapacité totale d’émettre le moindre raisonnement, joua avec les cailloux.
Une boule de feu nous accabla.
Et, c’est en toute amitié que je le menaçais d’un trépas atroce…
Bref….
Pensant l’affaire close, je tentai de replonger dans le sommeil.
Mais…Mongo, abîmé par sa consommation excessive de chopines, réitéra l’expérience.
Il applaudit son second succés, un sourire niais aux lèvres, alors que ses yeux fous semblaient vouloir quitter leurs orbites.
J’étais à bout…
Ecate, attendrie par tant de « chaleur », acheva de martyriser ma sérénité, alors que je hurlais à la tête de Mongo, maintenant à demi somnolent :
« Que de violence dans ces propos mon petit Bardamu
Mais pourquoi est-il aussi méchant ?
On te jetait des pierres quand tu étais petit ?
Mongo t'a jeté des pierres cette nuit ? »
Au petit matin, nous semions Mongo…
Alors que Paladhe et Mongo évoquaient leurs péripéties passées, ponctuant le tout d’éclats de voix et de rires tonitruants, Mongo se figea.
D’un signe de tête, il nous invita à observer Ecate…
S’ensuivirent des paroles qui nous accablèrent tous, et qui nécessitèrent d’être très réactifs :
« Beuh…C’est qui ce Ecate ? ? ? Je crois que je vais le tuer ! ! ! »
Paladhe se roula à terre, submergé par une crise de rire qu’il ne parvint pas à contenir, alors qu’un léger vertige affaiblit Celebfin. Celui-ci, incrédule et blafard, resta sans voix…
Seule Morel, la délicieuse, posa sa main sur le torse de Mongo afin de freiner son pas :
« Teuteuteuteu…Pas touche mec…Sinon, je sors les morning stars…Ok ? ? »
La proposition enthousiasma Mongo qui émit un grognement en signe d’approbation.
Par chance, Celebfin recouvra la santé, et mit un terme à ce cirque.
Puis, la nuit arriva, sournoise et inquiètante.
Tous s’endormirent.
A l’aube, Mongo, méchamment imbibé, trébucha et s’écrasa face contre sol.
De sa main tremblante, il ramassa les runes tombées de ses poches, et, le bougre, étant dans l’incapacité totale d’émettre le moindre raisonnement, joua avec les cailloux.
Une boule de feu nous accabla.
Et, c’est en toute amitié que je le menaçais d’un trépas atroce…
Bref….
Pensant l’affaire close, je tentai de replonger dans le sommeil.
Mais…Mongo, abîmé par sa consommation excessive de chopines, réitéra l’expérience.
Il applaudit son second succés, un sourire niais aux lèvres, alors que ses yeux fous semblaient vouloir quitter leurs orbites.
J’étais à bout…
Ecate, attendrie par tant de « chaleur », acheva de martyriser ma sérénité, alors que je hurlais à la tête de Mongo, maintenant à demi somnolent :
« Que de violence dans ces propos mon petit Bardamu
Mais pourquoi est-il aussi méchant ?
On te jetait des pierres quand tu étais petit ?
Mongo t'a jeté des pierres cette nuit ? »
Au petit matin, nous semions Mongo…
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Aucun monstre ne vint jouer avec nous…
Ce qui posa rapidement problème. Il fallait canaliser les énergies débordantes de Paladhe et Humbert…
Les abandonner au désoeuvrement, revenait à courir au devant d’ennuis sérieux…
Mais, étrangement, leurs nerfs ne furent pas les premiers à craquer.
Celebfin s’élança dans une course folle, provoquant Ecate qui s’empressa de relever le défi :
« Il fallait le dire que c'etait une course ! Jusqu'à présent, je le faisais en dilettante sur une jambe en portant mon familier pour ne pas user ses tentacules. »
Evidemment, je ne fus pas épargné par ses sarcasmes dont elle m’abreuva jusqu’à plus soif :
« Enfin, sérieusement, si le nabot pouvait avancer plus vite ... C'est que je m'ennuie ferme a l'attendre moi . S'il utilisait, ne serait-ce que la moitié de l'énergie qu'il dépense à parler, nous serions déjà arrivés depuis belle lurette.
Bardamu, tais toi et marche ... euh ... cours plutôt »
Le moment était des plus mal choisi…Darni courait encore après sa barbe et Belonda nous perdit de vue.
Quant à moi, Je les laissai jouer, préférant me délecter du paysage… Et papoter avec quelques Epées du Vent rencontrées par hasard.
Le mage et la môme furent, comme attendu, les premiers arrivés au magasin, où nous avions prévu une pause shopping…Non…En fait, MOREl nous imposa cette pause shopping, et nous menaça d’une crise de nerfs toute féminine si nous ne cédions pas à son caprice. Pris de panique, les mâles s’empressèrent de lui donner satisfaction…
Darni fut définitivement égaré, et Ô surprise, Belonda, pisteuse de génie, retrouva notre trace, et me devança.
Je perdis la course, et débarquai dans un état d’épuisement avancé . Je me vautrai à quelques lieues de tous les intrépides retombés en enfance sous l’influence d’Ecate…
Le calme des lieux me crispa.
Le silence pesant m’oppressa…Quelque chose n’allait pas…
Cependant, je décidai de m’abandonner au sommeil, la nuit étant bien avancée.
Au petit matin, un vacarme assourdissant m’éveilla dans un sursaut : des bruits de bottes qui claquaient sur la pierre, des ordres vociférés par des voix étrangères et enfin, les râles de Celebfin, qui s’en prenait plein la tête.
Des crampes me clouèrent sur place. Je ne pus que trépigner, brailler, suer et flipper…
Puis, levant la tête, j’ identifiai rapidement nos assaillants : les Valshcezc qui…Donnaient la main à des Mercenaires, qui eux-mêmes étreignaient des mains MDMiennes…
Les tueurs exhibaient leurs crocs acérés sous le nez de Paladhe, Celebfin, plutôt mal barré, Morel et Ecate plus qu’attendrie par tant d’effusion, pendant que David Von Carstein, euphorique, malmenait Celebfin avec hargne.
Je me demandai alors auxquels de mes amis je devais faire mes adieux en premier…Quoique Celebfin était en bonne position pour emporter la palme…
Ce qui posa rapidement problème. Il fallait canaliser les énergies débordantes de Paladhe et Humbert…
Les abandonner au désoeuvrement, revenait à courir au devant d’ennuis sérieux…
Mais, étrangement, leurs nerfs ne furent pas les premiers à craquer.
Celebfin s’élança dans une course folle, provoquant Ecate qui s’empressa de relever le défi :
« Il fallait le dire que c'etait une course ! Jusqu'à présent, je le faisais en dilettante sur une jambe en portant mon familier pour ne pas user ses tentacules. »
Evidemment, je ne fus pas épargné par ses sarcasmes dont elle m’abreuva jusqu’à plus soif :
« Enfin, sérieusement, si le nabot pouvait avancer plus vite ... C'est que je m'ennuie ferme a l'attendre moi . S'il utilisait, ne serait-ce que la moitié de l'énergie qu'il dépense à parler, nous serions déjà arrivés depuis belle lurette.
Bardamu, tais toi et marche ... euh ... cours plutôt »
Le moment était des plus mal choisi…Darni courait encore après sa barbe et Belonda nous perdit de vue.
Quant à moi, Je les laissai jouer, préférant me délecter du paysage… Et papoter avec quelques Epées du Vent rencontrées par hasard.
Le mage et la môme furent, comme attendu, les premiers arrivés au magasin, où nous avions prévu une pause shopping…Non…En fait, MOREl nous imposa cette pause shopping, et nous menaça d’une crise de nerfs toute féminine si nous ne cédions pas à son caprice. Pris de panique, les mâles s’empressèrent de lui donner satisfaction…
Darni fut définitivement égaré, et Ô surprise, Belonda, pisteuse de génie, retrouva notre trace, et me devança.
Je perdis la course, et débarquai dans un état d’épuisement avancé . Je me vautrai à quelques lieues de tous les intrépides retombés en enfance sous l’influence d’Ecate…
Le calme des lieux me crispa.
Le silence pesant m’oppressa…Quelque chose n’allait pas…
Cependant, je décidai de m’abandonner au sommeil, la nuit étant bien avancée.
Au petit matin, un vacarme assourdissant m’éveilla dans un sursaut : des bruits de bottes qui claquaient sur la pierre, des ordres vociférés par des voix étrangères et enfin, les râles de Celebfin, qui s’en prenait plein la tête.
Des crampes me clouèrent sur place. Je ne pus que trépigner, brailler, suer et flipper…
Puis, levant la tête, j’ identifiai rapidement nos assaillants : les Valshcezc qui…Donnaient la main à des Mercenaires, qui eux-mêmes étreignaient des mains MDMiennes…
Les tueurs exhibaient leurs crocs acérés sous le nez de Paladhe, Celebfin, plutôt mal barré, Morel et Ecate plus qu’attendrie par tant d’effusion, pendant que David Von Carstein, euphorique, malmenait Celebfin avec hargne.
Je me demandai alors auxquels de mes amis je devais faire mes adieux en premier…Quoique Celebfin était en bonne position pour emporter la palme…
La Horde Sauvage / Le Fight Club
L’instinct de survie…C’est lui qui sauva Celebfin…
Bien amoché, il parvint à s’extirper de ce bourbier et se précipita jusqu’au magasin, où l’attendaient Paladhe et Morel…
Par chance, l’endroit interdisait toute violence, et condamnait les combats…
Trois lieues nous séparaient du havre de paix…Raskolnikof, humbert, les trois Belles, et moi.
Mes crampes s’aténuèrent, redonnant liberté à mes mouvements.
Je secouai Belonda et ses sœurs que le vacarme n’avait pas réveillées.
Rien à faire…
Je hurlai …
Mauvaise technique. Elles savouraient le sommeil profond qui les berçait.
Mon regard se promena sur les vampires, et les tueurs divers qui jouaient avec leurs lames.
La panique me saisit…J’avançai vers le magasin…
Quelques instants après, ils attaquaient les trois Belles…Deux d’entre elles succombèrent.
Consternation…
L’armée nous faisait face, alors que nous protégions nos vies entassés dans la boutique.
Morel en oublia même le combat et harcela de questions un vendeur. Elle déploya sur lui tous ses charmes, si bien que le malheureux bafouillait à chaque mot…L’elfette le taquina jusqu’à épuisement.
La journée allait être longue et usante…
J’entamai le dialogue avec quelques uns de mes amis, mais la tension retint leurs langues.
Je commençai à m’ennuyer ferme, lorsqu’un souvenir me revint en mémoire…
Je voulus le faire partager, et m’adressai donc aux seuls individus qui semblaient disposés à écouter : les méchants…
-"Salutations Duc….mmm....Un léger doute m'étreint, et ma mémoire étant quelque peu défaillante, je fais appel à la tienne pour m'éclairer....
Ne sont-ce pas les tiens qui ont sollicité notre secours alors qu'ils étaient empêtrés dans une lutte hasardeuse au pays des Gelées ??
Ah !! J'oubliais...Il est vrai qu'un Von Carstein fort agité avait promis un trépas des plus douloureux à Celebfin...Et sa rancoeur semble des plus tenaces...
Bien...Chers Amis...Je vous souhaite une bonne tuerie."
Et, c’était en effet à la plus sanguniaire des tueries que nous semblions destinés…
Le Duc garda le silence, seule la tête de la meute, David, daigna me répondre :
- "Oui en effet …Le problème étant que depuis vous attaquez tous nos allies alors que veux-tu , ils crient vengeance et le jeu des alliances fait que ...Rien de personnel"
Les mots de David me firent sourire…
Et comme je l’avais sous la main, je ne résistai pas l’envie de tester la solidité de ses nerfs et la virulence de ses mots…
-"Très cher David...Lorsque nous croisons vos...Euh...Alliés, leurs regards noirs et menaçants nous font rapidement comprendre que ce sera eux ou nous. Bref...Rien de personnel... "
Puis sentant le regard du Vampire s’attarder sur Ecate, j’ajoutai :
-"Ah ! Une dernière chose, puisque vous vous entassez à ses côtés...
Inutile de penser dresser Ecate par une bonne fessée...Tout enseignement glisse sur elle..."
- "Bien, je vois qu'il y a un conflit d'interet sur ma personne. C'est interessant Eh bien ! que le meilleur gagne !!!" rétorqua la peste, l’œil noir et brillant d’un éclat que je ne lui connaissais pas encore
-"Ecate, en plus d’être le portrait de ta mère , tu en as aussi le caractère . Ca promet !" ainsi, David entrait-il dans le jeu dont Ecate avait établi les rêgles…
-"mmm...Est-ce la seule ruse que tu as trouvée pour attendrir la fillette ??
TSsssss..." Enchainai-je, amusé par la naïveté du Vampire.
-"Je n’espère en rien attendrir la fillette . Vos langues perfides ont déjà du lui raconter multiples mensonges ."
-"Tu penses de travers...Mon Ami. Et il est bien présomptueux de ta part d'imaginer que nos conversations tournent autour de toi...
Ecate ignore tout des conflits qui nous opposent...Elle partage notre route à sa demande.Et, bien que j'avoue m'y être attaché (tant de virulence et d'audace m'ont fait fondre...), si la délicieuse peste souhaite vous suivre, je ne la retiendrai pas."
Je savais que ces derniers mots affecteraient Ecate…Mais, je devais les prononcer, afin que Von Carstein comprenne que la fillette était étrangère à ce conflit, et qu’elle devait le rester.
Nous combattions animés par nos haines réciproques, non pour obtenir la garde de la fillette…
Plus tard, j’aurais à m’en expliquer avec elle….
Bien amoché, il parvint à s’extirper de ce bourbier et se précipita jusqu’au magasin, où l’attendaient Paladhe et Morel…
Par chance, l’endroit interdisait toute violence, et condamnait les combats…
Trois lieues nous séparaient du havre de paix…Raskolnikof, humbert, les trois Belles, et moi.
Mes crampes s’aténuèrent, redonnant liberté à mes mouvements.
Je secouai Belonda et ses sœurs que le vacarme n’avait pas réveillées.
Rien à faire…
Je hurlai …
Mauvaise technique. Elles savouraient le sommeil profond qui les berçait.
Mon regard se promena sur les vampires, et les tueurs divers qui jouaient avec leurs lames.
La panique me saisit…J’avançai vers le magasin…
Quelques instants après, ils attaquaient les trois Belles…Deux d’entre elles succombèrent.
Consternation…
L’armée nous faisait face, alors que nous protégions nos vies entassés dans la boutique.
Morel en oublia même le combat et harcela de questions un vendeur. Elle déploya sur lui tous ses charmes, si bien que le malheureux bafouillait à chaque mot…L’elfette le taquina jusqu’à épuisement.
La journée allait être longue et usante…
J’entamai le dialogue avec quelques uns de mes amis, mais la tension retint leurs langues.
Je commençai à m’ennuyer ferme, lorsqu’un souvenir me revint en mémoire…
Je voulus le faire partager, et m’adressai donc aux seuls individus qui semblaient disposés à écouter : les méchants…
-"Salutations Duc….mmm....Un léger doute m'étreint, et ma mémoire étant quelque peu défaillante, je fais appel à la tienne pour m'éclairer....
Ne sont-ce pas les tiens qui ont sollicité notre secours alors qu'ils étaient empêtrés dans une lutte hasardeuse au pays des Gelées ??
Ah !! J'oubliais...Il est vrai qu'un Von Carstein fort agité avait promis un trépas des plus douloureux à Celebfin...Et sa rancoeur semble des plus tenaces...
Bien...Chers Amis...Je vous souhaite une bonne tuerie."
Et, c’était en effet à la plus sanguniaire des tueries que nous semblions destinés…
Le Duc garda le silence, seule la tête de la meute, David, daigna me répondre :
- "Oui en effet …Le problème étant que depuis vous attaquez tous nos allies alors que veux-tu , ils crient vengeance et le jeu des alliances fait que ...Rien de personnel"
Les mots de David me firent sourire…
Et comme je l’avais sous la main, je ne résistai pas l’envie de tester la solidité de ses nerfs et la virulence de ses mots…
-"Très cher David...Lorsque nous croisons vos...Euh...Alliés, leurs regards noirs et menaçants nous font rapidement comprendre que ce sera eux ou nous. Bref...Rien de personnel... "
Puis sentant le regard du Vampire s’attarder sur Ecate, j’ajoutai :
-"Ah ! Une dernière chose, puisque vous vous entassez à ses côtés...
Inutile de penser dresser Ecate par une bonne fessée...Tout enseignement glisse sur elle..."
- "Bien, je vois qu'il y a un conflit d'interet sur ma personne. C'est interessant Eh bien ! que le meilleur gagne !!!" rétorqua la peste, l’œil noir et brillant d’un éclat que je ne lui connaissais pas encore
-"Ecate, en plus d’être le portrait de ta mère , tu en as aussi le caractère . Ca promet !" ainsi, David entrait-il dans le jeu dont Ecate avait établi les rêgles…
-"mmm...Est-ce la seule ruse que tu as trouvée pour attendrir la fillette ??
TSsssss..." Enchainai-je, amusé par la naïveté du Vampire.
-"Je n’espère en rien attendrir la fillette . Vos langues perfides ont déjà du lui raconter multiples mensonges ."
-"Tu penses de travers...Mon Ami. Et il est bien présomptueux de ta part d'imaginer que nos conversations tournent autour de toi...
Ecate ignore tout des conflits qui nous opposent...Elle partage notre route à sa demande.Et, bien que j'avoue m'y être attaché (tant de virulence et d'audace m'ont fait fondre...), si la délicieuse peste souhaite vous suivre, je ne la retiendrai pas."
Je savais que ces derniers mots affecteraient Ecate…Mais, je devais les prononcer, afin que Von Carstein comprenne que la fillette était étrangère à ce conflit, et qu’elle devait le rester.
Nous combattions animés par nos haines réciproques, non pour obtenir la garde de la fillette…
Plus tard, j’aurais à m’en expliquer avec elle….
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Ecate, restée à une lieue de nous, vivait cet assaut avec une étonnante sérénité…
Sa moue boudeuse cédait maintenant à un sourire épanoui. Ses yeux pétillaient.
De légers frissons la parcouraient, trahissant sa jubilation…
Mon regard quitta les assaillants, pour s’accrocher sur la diablesse.
Elle m’inquiétait. Je la trouvais limite plus menaçante que les crocs acérés de Von Carstein…
Le pas en avant, qui jeta Celebfin hors du lieu protégé, me sortit de ma torpeur.
Cependant, aucun de nous ne s’étonna de sa hardiesse.
Les sourires vinrent même animer nos visages.
Le mage se tenait droit, face à l’armée lourdement équipée en plates qui la rendaient presqu’increvable.
Puis, il se livra au rituel : tête penchée sur le côté, il jaugeait les brutes qui se dressaient devant lui….Il choisassait sa cible.
-« mmm….Aenur ? ? » demanda-t-il .
Acquiescement général.
Paladhe trépignait avec fureur, alors que Morel lâcha enfin son timide vendeur pour s’intéresser au spectacle. Humbert grognait, abîmant sa paume gauche avec son poing droit.
Raskolnikof prenait des cours, et Ecate prenait son pied…
Celebfin tendit alors les mains vers sa proie, et libéra son feu.
Aenur succomba. Les flammes affectèrent aussi Liloo, Morveux et Lordy, alors que Von Carstein négociait avec la mort…
De retour à nos côté, l’incendiaire évalua les dégâts, et n’en fut pas satisfait :
-« Il y a des veinards dans le coin !
Dis bonjour à Aenur quand tu la verras David et excuse-moi auprès d'elle mais une vie pour deux de mes amies c'est pas cher payer...
La chaleur ne t’ incommode pas trop j'espère ? » s’inquiéta-t-il.
-« Pfiouuuuuuu....
Ton ardeur a embrasé les lieux, et l'atmosphère est suffocante ici....
Ma lame fond sous l'effet du feu et ma peau craquelle, accablée par la chaleur !
Celeb...Laisse-nous au moins le temps de respirer...J'etouffe !!!
Liloo...J'espère qu'une "Sam" au masculin, et aussi légérement vêtu que l'infirmière, gâtera Aenur... » lachai-je.
David, passablement irrité par ma fougue…Verbale…Emit une plainte :
- « De la part d’un personnage qui se cache a l’ abris d’ une boutique , je ne pavoiserais pas autant ...
Ca va , vous êtes a l’ aise dans votre masure ? ?
Et après c’ est censé aimer le combat alors que ça agit comme un planqué !
Bravo chers membres du Fight Club , vous portez très mal votre nom ! ! »
Je crus un instant que sa diatribe n’en finirait plus…Puis, lorsque le silence s’imposa de nouveau, je renchéris :
-« Héhéhé !!! David...Le combat serait-il fini ?? Non...Alors, prends patience.. »
-« Je m'excuse… Mais le magasin est la seule protection face à une vingtaine de vampires / MDM / Mercenaires assoiffés de notre sang.
Tu n'es pas passé loin de la mort, sois content. Aenur a une sacrée résistance à la magie mais elle est partie avec votre banque ! » se moqua Celebfin, soudainement très agité.
Entre temps, Ulrich Asturia, Subutaï et Cornegidouille firent leur entrée…
Ils se pointèrent en vainqueurs, ce qui n’était pas fait pour me rassurer.
Je craignais que le reste de leur troupe ne leur emboîte le pas, mais il n’en fut rien…
Leur surnombre afolait déjà bien assez mon angoisse !
Alors que les trois nouveaux effectuaient une danse étrange autour de nous, Ulrich, que j’estimais pour avoir déjà combattu à ses côtés, s’adressa à moi.
Son discours était d’une totale incohérence et très éloigné de ce à quoi il m’avait habitué jusqu’ici.
Mais, je connaissais le fin stratège qu’il était, et devinai qu’il ourdissait un plan machiavélique.
Tous remuèrent beaucoup…Alors que nous étions condamnés à nous engourdir dans cette boutique.
Puis de nouveau, le temps s’écoula avec une lenteur exaspérante…
Tard dans la nuit, je m’aventurai hors du magasin et m’installai aux côtés des tueurs : « mmm…Pas mal…. »
Mais, n’étant pas disposé à jouer les héros, je tabassai leurs peluches. Trois d’entre elles trépassèrent, dont celle, fort belle, d’Ulrich.
Ce n’était que symbolique, mais J’étais sûr de méchamment les irriter…
Le lendemain matin, je trouvai un mot écrit de la main de David :
« Sentant l’enfant perdue pour de bon, nous avons décidé de retourner dans la nuit
Les pertes ont été nombreuses de parts et d’autres . trop de sang a été versé pour une enfant dont la destinée maintenant ne coïncide plus avec celle de mon clan . »
« Ainsi David voulait l’enfant… » murmurai-je.
Je comprenais soudain que les seuls à avoir besoin d’une « escorte », c’étaient nous !
Nos ennemis considérant Ecate comme un trophée, et nous comme des morts en sursis…
Ulrich aussi m’adressa un mot : « Je serre les dents »…
« Certainement une menace » pensai-je…
Je gardais cependant, un bon souvenir de cette aventure et éprouvais un certain respect pour le clan uni que ces sauvageons formaient.
Seuls les mots d’Ulrich resteraient pour moi, une cicatrice amère…
Il avait bafoué son honneur et trahit ses promesses…Cependant, je le comprenais…Les liens du sang…Forcément…
La tension retombée, nous quittâmes les lieux pour retrouver enfin l’auteur du mystérieux courrier reçu quelques jours plus tôt…
Sa moue boudeuse cédait maintenant à un sourire épanoui. Ses yeux pétillaient.
De légers frissons la parcouraient, trahissant sa jubilation…
Mon regard quitta les assaillants, pour s’accrocher sur la diablesse.
Elle m’inquiétait. Je la trouvais limite plus menaçante que les crocs acérés de Von Carstein…
Le pas en avant, qui jeta Celebfin hors du lieu protégé, me sortit de ma torpeur.
Cependant, aucun de nous ne s’étonna de sa hardiesse.
Les sourires vinrent même animer nos visages.
Le mage se tenait droit, face à l’armée lourdement équipée en plates qui la rendaient presqu’increvable.
Puis, il se livra au rituel : tête penchée sur le côté, il jaugeait les brutes qui se dressaient devant lui….Il choisassait sa cible.
-« mmm….Aenur ? ? » demanda-t-il .
Acquiescement général.
Paladhe trépignait avec fureur, alors que Morel lâcha enfin son timide vendeur pour s’intéresser au spectacle. Humbert grognait, abîmant sa paume gauche avec son poing droit.
Raskolnikof prenait des cours, et Ecate prenait son pied…
Celebfin tendit alors les mains vers sa proie, et libéra son feu.
Aenur succomba. Les flammes affectèrent aussi Liloo, Morveux et Lordy, alors que Von Carstein négociait avec la mort…
De retour à nos côté, l’incendiaire évalua les dégâts, et n’en fut pas satisfait :
-« Il y a des veinards dans le coin !
Dis bonjour à Aenur quand tu la verras David et excuse-moi auprès d'elle mais une vie pour deux de mes amies c'est pas cher payer...
La chaleur ne t’ incommode pas trop j'espère ? » s’inquiéta-t-il.
-« Pfiouuuuuuu....
Ton ardeur a embrasé les lieux, et l'atmosphère est suffocante ici....
Ma lame fond sous l'effet du feu et ma peau craquelle, accablée par la chaleur !
Celeb...Laisse-nous au moins le temps de respirer...J'etouffe !!!
Liloo...J'espère qu'une "Sam" au masculin, et aussi légérement vêtu que l'infirmière, gâtera Aenur... » lachai-je.
David, passablement irrité par ma fougue…Verbale…Emit une plainte :
- « De la part d’un personnage qui se cache a l’ abris d’ une boutique , je ne pavoiserais pas autant ...
Ca va , vous êtes a l’ aise dans votre masure ? ?
Et après c’ est censé aimer le combat alors que ça agit comme un planqué !
Bravo chers membres du Fight Club , vous portez très mal votre nom ! ! »
Je crus un instant que sa diatribe n’en finirait plus…Puis, lorsque le silence s’imposa de nouveau, je renchéris :
-« Héhéhé !!! David...Le combat serait-il fini ?? Non...Alors, prends patience.. »
-« Je m'excuse… Mais le magasin est la seule protection face à une vingtaine de vampires / MDM / Mercenaires assoiffés de notre sang.
Tu n'es pas passé loin de la mort, sois content. Aenur a une sacrée résistance à la magie mais elle est partie avec votre banque ! » se moqua Celebfin, soudainement très agité.
Entre temps, Ulrich Asturia, Subutaï et Cornegidouille firent leur entrée…
Ils se pointèrent en vainqueurs, ce qui n’était pas fait pour me rassurer.
Je craignais que le reste de leur troupe ne leur emboîte le pas, mais il n’en fut rien…
Leur surnombre afolait déjà bien assez mon angoisse !
Alors que les trois nouveaux effectuaient une danse étrange autour de nous, Ulrich, que j’estimais pour avoir déjà combattu à ses côtés, s’adressa à moi.
Son discours était d’une totale incohérence et très éloigné de ce à quoi il m’avait habitué jusqu’ici.
Mais, je connaissais le fin stratège qu’il était, et devinai qu’il ourdissait un plan machiavélique.
Tous remuèrent beaucoup…Alors que nous étions condamnés à nous engourdir dans cette boutique.
Puis de nouveau, le temps s’écoula avec une lenteur exaspérante…
Tard dans la nuit, je m’aventurai hors du magasin et m’installai aux côtés des tueurs : « mmm…Pas mal…. »
Mais, n’étant pas disposé à jouer les héros, je tabassai leurs peluches. Trois d’entre elles trépassèrent, dont celle, fort belle, d’Ulrich.
Ce n’était que symbolique, mais J’étais sûr de méchamment les irriter…
Le lendemain matin, je trouvai un mot écrit de la main de David :
« Sentant l’enfant perdue pour de bon, nous avons décidé de retourner dans la nuit
Les pertes ont été nombreuses de parts et d’autres . trop de sang a été versé pour une enfant dont la destinée maintenant ne coïncide plus avec celle de mon clan . »
« Ainsi David voulait l’enfant… » murmurai-je.
Je comprenais soudain que les seuls à avoir besoin d’une « escorte », c’étaient nous !
Nos ennemis considérant Ecate comme un trophée, et nous comme des morts en sursis…
Ulrich aussi m’adressa un mot : « Je serre les dents »…
« Certainement une menace » pensai-je…
Je gardais cependant, un bon souvenir de cette aventure et éprouvais un certain respect pour le clan uni que ces sauvageons formaient.
Seuls les mots d’Ulrich resteraient pour moi, une cicatrice amère…
Il avait bafoué son honneur et trahit ses promesses…Cependant, je le comprenais…Les liens du sang…Forcément…
La tension retombée, nous quittâmes les lieux pour retrouver enfin l’auteur du mystérieux courrier reçu quelques jours plus tôt…
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Paladhe, soucieux du choix de notre direction future, pointa son doigt vers le nord, Humbert vers le sud, Morel vers l’est, et Raskolnikof, ne résistant pas à l’envie de jouer, vers le sud…
Ca négociait ferme.
Bref, chacun agissait de nouveau « normalement »…
J’observai quelques instants cette bataille d’index levés, puis m’éloignai de cette agitation, pour m’asseoir aux côtés d’Ecate.
Ecate, que nous avions livrée, inconscients que nous sommes, à l’ennui.
Aussi, s’occupa-t-elle comme elle le put. jugeant opportun d’adresser une petite douceur à … :
-« David Von Carstein, tu étais venu pour moi ?!
Tu ne me connaissais pas, je ne te connaissais pas et pourtant tu pensais que j'allais te suivre ? Ou bien t'aider à tuer les seuls qui ont eu le courage, l'audace, d'affronter le seul véritable être que je hais : Kaali.
Sache que j'ai du me débrouiller, seule. Ma mère que je respecte et que j'aime malgré tout, m'a abandonnée à ces ennemis… Les CDJ.
J'ai du survivre car mes tuteurs ne m'aimaient guère et aujourd'hui, seul compte pour moi le résultat. La manière m'importe peu.
Je respecte le gagnant et méprise les perdants. Kaali, encore lui, est une exception, c'est un gagnant mais il m'a humiliée et je le haïrais à jamais pour cela.
Non, David Von Carstein, je ne suis pas Nenya. Et je ne trahis en rien ma mère. Je suis mon propre destin. Et je ne l'oublie pas non plus. J'applique même son enseignement chaque jour.
Et, non, je ne fais pas partie de ta race. Maman n'en a eu ni la force ni le pouvoir. Nos destinées auraient toutefois pu se suivre un temps ... Mais tu as fui.
Au revoir David Von Carstein. Un jour peut-être nous nous retrouverons et qui sait, tu auras changé, tu seras prêt à m'écouter et me servir. »
Je ne sus jamais comment David réagit à tant de tendresse…
Je tus, cependant ma colère…Ecate allait devoir affronter d’autres épreuves...
La lettre… Athalante en était l’auteur.
Elle souhaitait récupérer un anneau…Son anneau. Celui que Kaali avait ramassé sur sa dépouille et que, moi-même, j’avais récupéré sur celle du Mercenaire…
Je m’engageai, auprès de la guerrière, à satisfaire sa demande. Bouclant ainsi cette étrange boucle.
Cependant, l’angoisse, cette perfide qui m’affectionne tant, s’amusa avec mon humeur.
-« Athalante est proche…Très proche…Allons-nous te perdre Ecate ? » lachai-je.
La fillette me jeta un regard sombre et enchaîna :
-« Vous ne me laissez pas le choix. Vous faites comme l'a fait ma mère auparavant, vous m'abandonnez à d'autres…Sauf qu'à présent, je suis suffisamment aguerrie pour me défendre seule ... je verrai donc si ma "tante" saura me garder.
Mais je ne reviens pas sur ma décision. Je vous suis, vous ne m'avez toujours pas déçue. »
Puis…Elle me gâta :
-« Mais ne te crois tout de même pas tout permis ... Ta familiarité pourrait te jouer des tours une prochaine fois… »
La peste…
Je déployai toute mon énergie à taire ma colère, et poursuivai :
« mmm….Je vais te parler comme je le ferais à mon enfant.
Paladhe, Celebfin, Morel, Belonda ont su gagner mon estime.
Nous avons enduré bien des épreuves ensemble…J’ai été témoin de leur courage et de leur vaillance.
Leurs vies m’importent plus que celles de 100 Dieux…
Le respect se mérite…C’est une lutte de chaque jour. Ne pense pas qu’il t’est acquis juste parce que tu es qui tu es…
Tu ne me connais pas encore assez bien pour porter un jugement sur moi.
Les aventuriers qui se destinent au « Bien » se font rares…Tous nous ont abandonné alors que nous avions sollicité leur bravoure. Nos actes on attisé la haine… Et toi, Ecate, tu nourris ces inimitiés par les paroles que tu verses dans les oreilles ennemies…
Je sais apprécier la provocation, mais uses-en avec réflexion et sagesse et surtout, sois sûre d’être en mesure de répondre à cette provocation lorsque tu l’agites sous le nez de tes adversaires.
Ne mets pas la vie des miens en danger, ne mets pas ta vie en danger…Juste par caprice.
Encore une chose Ecate… Je ne t’abandonne à personne.
Ne crois pas tout ce que je dis à mes ennemis.
Tu t’es offerte au vainqueur, lorsque Von Carstein nous faisait face…
Les mots que j’ai prononcés : « Je ne la retiendrai pas » n’étaient que stratégie.
Ecate, je te devine très puissante, et capable de nous briser tous.
Donc, garde tes menaces…Elles n’ont pas d’effet sur moi.
Puis, pour assurer mon trépas, je préfère tes mains à d’autres que je hais… »
Le silence s’immisca alors entre nous…
Ca négociait ferme.
Bref, chacun agissait de nouveau « normalement »…
J’observai quelques instants cette bataille d’index levés, puis m’éloignai de cette agitation, pour m’asseoir aux côtés d’Ecate.
Ecate, que nous avions livrée, inconscients que nous sommes, à l’ennui.
Aussi, s’occupa-t-elle comme elle le put. jugeant opportun d’adresser une petite douceur à … :
-« David Von Carstein, tu étais venu pour moi ?!
Tu ne me connaissais pas, je ne te connaissais pas et pourtant tu pensais que j'allais te suivre ? Ou bien t'aider à tuer les seuls qui ont eu le courage, l'audace, d'affronter le seul véritable être que je hais : Kaali.
Sache que j'ai du me débrouiller, seule. Ma mère que je respecte et que j'aime malgré tout, m'a abandonnée à ces ennemis… Les CDJ.
J'ai du survivre car mes tuteurs ne m'aimaient guère et aujourd'hui, seul compte pour moi le résultat. La manière m'importe peu.
Je respecte le gagnant et méprise les perdants. Kaali, encore lui, est une exception, c'est un gagnant mais il m'a humiliée et je le haïrais à jamais pour cela.
Non, David Von Carstein, je ne suis pas Nenya. Et je ne trahis en rien ma mère. Je suis mon propre destin. Et je ne l'oublie pas non plus. J'applique même son enseignement chaque jour.
Et, non, je ne fais pas partie de ta race. Maman n'en a eu ni la force ni le pouvoir. Nos destinées auraient toutefois pu se suivre un temps ... Mais tu as fui.
Au revoir David Von Carstein. Un jour peut-être nous nous retrouverons et qui sait, tu auras changé, tu seras prêt à m'écouter et me servir. »
Je ne sus jamais comment David réagit à tant de tendresse…
Je tus, cependant ma colère…Ecate allait devoir affronter d’autres épreuves...
La lettre… Athalante en était l’auteur.
Elle souhaitait récupérer un anneau…Son anneau. Celui que Kaali avait ramassé sur sa dépouille et que, moi-même, j’avais récupéré sur celle du Mercenaire…
Je m’engageai, auprès de la guerrière, à satisfaire sa demande. Bouclant ainsi cette étrange boucle.
Cependant, l’angoisse, cette perfide qui m’affectionne tant, s’amusa avec mon humeur.
-« Athalante est proche…Très proche…Allons-nous te perdre Ecate ? » lachai-je.
La fillette me jeta un regard sombre et enchaîna :
-« Vous ne me laissez pas le choix. Vous faites comme l'a fait ma mère auparavant, vous m'abandonnez à d'autres…Sauf qu'à présent, je suis suffisamment aguerrie pour me défendre seule ... je verrai donc si ma "tante" saura me garder.
Mais je ne reviens pas sur ma décision. Je vous suis, vous ne m'avez toujours pas déçue. »
Puis…Elle me gâta :
-« Mais ne te crois tout de même pas tout permis ... Ta familiarité pourrait te jouer des tours une prochaine fois… »
La peste…
Je déployai toute mon énergie à taire ma colère, et poursuivai :
« mmm….Je vais te parler comme je le ferais à mon enfant.
Paladhe, Celebfin, Morel, Belonda ont su gagner mon estime.
Nous avons enduré bien des épreuves ensemble…J’ai été témoin de leur courage et de leur vaillance.
Leurs vies m’importent plus que celles de 100 Dieux…
Le respect se mérite…C’est une lutte de chaque jour. Ne pense pas qu’il t’est acquis juste parce que tu es qui tu es…
Tu ne me connais pas encore assez bien pour porter un jugement sur moi.
Les aventuriers qui se destinent au « Bien » se font rares…Tous nous ont abandonné alors que nous avions sollicité leur bravoure. Nos actes on attisé la haine… Et toi, Ecate, tu nourris ces inimitiés par les paroles que tu verses dans les oreilles ennemies…
Je sais apprécier la provocation, mais uses-en avec réflexion et sagesse et surtout, sois sûre d’être en mesure de répondre à cette provocation lorsque tu l’agites sous le nez de tes adversaires.
Ne mets pas la vie des miens en danger, ne mets pas ta vie en danger…Juste par caprice.
Encore une chose Ecate… Je ne t’abandonne à personne.
Ne crois pas tout ce que je dis à mes ennemis.
Tu t’es offerte au vainqueur, lorsque Von Carstein nous faisait face…
Les mots que j’ai prononcés : « Je ne la retiendrai pas » n’étaient que stratégie.
Ecate, je te devine très puissante, et capable de nous briser tous.
Donc, garde tes menaces…Elles n’ont pas d’effet sur moi.
Puis, pour assurer mon trépas, je préfère tes mains à d’autres que je hais… »
Le silence s’immisca alors entre nous…
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Celebfin ouvrit un passage qui allait nous porter à quelques lieues d’Athalante et de toute sa clique MDMienne.
L’intrépide Morel fut la première à l’emprunter.
-« C’est bon les mecs…Amenez-vous ! ! » s’enthousiasma l’elfette.
-« Beuh ? ? Mais qu’est’que tu vois ? ? » grogna Humbert qui profitait d’une brève sobriété.
-« Ben…Rien… » assura l’elfette.
Là, évidemment, tous comprirent qu’une embrouille de taille nous attendait à l’issue du passage…Tous sauf…Paladhe qui, oubliant de secouer sa prudence, se rua.
-« AAAhhhaaaaaHHH ! ! ! La sal…. » cracha-t-il, alors qu’une armée lui faisait face.
Les rejetons Malkiaresques semblaient affamés, l’œil exorbité, l’écume moussant au coin des babines. La fureur se lisait sur leurs traits, et la panique sur les nôtres …
Celebfin ne tarda pas à loucher sur les multiples cailloux qui dormaient sur le sol, les estimant bien plus attrayants que les bestioles qui se trémoussaient devant nous…
Il voulut s’élancer, mais je retins son geste, l’attrapant avec force par le col, et pointai mon index sur les monstres qui eux, louchaient sur nous.
L’ordre quelque peu rétabli, Belonda savoura et bastonna avec rage tout ce qui lui passait sous le nez, pendant qu’Ecate se délectait de la boucherie, les bras croisés…
Nos lames s’aiguisèrent un temps sur les têtes monstrueuses, puis le calme…
J’en profitai pour annoncer notre arrivée à Athalante.
« Tantine » s’ enfiévra.
Elle ignorait encore que la diablesse nous donnait la main...
L’intrépide Morel fut la première à l’emprunter.
-« C’est bon les mecs…Amenez-vous ! ! » s’enthousiasma l’elfette.
-« Beuh ? ? Mais qu’est’que tu vois ? ? » grogna Humbert qui profitait d’une brève sobriété.
-« Ben…Rien… » assura l’elfette.
Là, évidemment, tous comprirent qu’une embrouille de taille nous attendait à l’issue du passage…Tous sauf…Paladhe qui, oubliant de secouer sa prudence, se rua.
-« AAAhhhaaaaaHHH ! ! ! La sal…. » cracha-t-il, alors qu’une armée lui faisait face.
Les rejetons Malkiaresques semblaient affamés, l’œil exorbité, l’écume moussant au coin des babines. La fureur se lisait sur leurs traits, et la panique sur les nôtres …
Celebfin ne tarda pas à loucher sur les multiples cailloux qui dormaient sur le sol, les estimant bien plus attrayants que les bestioles qui se trémoussaient devant nous…
Il voulut s’élancer, mais je retins son geste, l’attrapant avec force par le col, et pointai mon index sur les monstres qui eux, louchaient sur nous.
L’ordre quelque peu rétabli, Belonda savoura et bastonna avec rage tout ce qui lui passait sous le nez, pendant qu’Ecate se délectait de la boucherie, les bras croisés…
Nos lames s’aiguisèrent un temps sur les têtes monstrueuses, puis le calme…
J’en profitai pour annoncer notre arrivée à Athalante.
« Tantine » s’ enfiévra.
Elle ignorait encore que la diablesse nous donnait la main...
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Je tentai de raisonner Celebfin, mais, n’obéissant qu’à son avidité, il se livra à une cueillette effrénée, oubliant nos objectifs…
J’avançai donc vers Athalante, l’estomac malmené par mon angoisse…
Mon regard balaya les lieux, et aperçut NérOcrO qui, comme à son habitude, sortait d’un passage. Nous échangeâmes quelques mots, après quoi, lui et son groupe s'installèrent confortablement, tel un public attendant le début d’une représentation.
Aerielle fut la première à relever ma présence et à me saluer.
Puis Duron, Athalante, Korgrim. Les autres observaient la scène tout en bataillant avec les bestioles qui s’agitaient sous leurs nez.
La douce athalante me témoigna sa gratitude, pendant que Korgrim fulminait.
Chaque clan guettait l'autre.
Puis, j’aperçus Délia…
-« mmm...La nôtre est plus...Agitée...
Cependant, j'y suis attaché.
Aussi, quelque soit son humeur du jour, tâchez de retenir vos nerfs...Parce qu'elle saura les éprouver, soyez en sûrs. » précisai-je, annonçant ainsi et à demi mots la présence d’Ecate la sulfureuse.
Athalante comprit tout de suite. L’effroi la terrassa.
Korgrim se montra des plus suspicieux, me harcelant de questions. Je décidai de le satisfaire, et contai l’histoire de ma rencontre avec Ecate.
Puis, je gardai le silence, attendant, que la diablesse intervienne. Je savais qu’elle ne résisterait pas.
Sa réponse musclée musela toute l’assemblée :
-« Bardamu, si je t'étais tombée dessus comme tu dis, tu serais aujourd'hui en train de me servir et de ramper à mes pieds. Cela dit, vu ta taille, on n'en est pas si loin. »
Puis, dans un sourire qui déforma ses traits, elle lâcha :
-« Je vois que tu t'es fait rapidement des amis nains et d'autres qui ont toutes les qualités pour en être. Ca promet, déjà que tout seul, tu me donnais des maux de têtes ...
C'est donc cela l'escorte de Délia.
Je constate ma chère que tu n'as pas été plus gatée que moi. »
Son œil luciférien scruta la masse, et nota un détail qui le ravit :
-« Ah si, un peu plus quand même !
C'est donc toi, Korgrim. Nous avons eu quelques échanges. Tu es plus ...hum .... intéressant que ce que j'imaginais. Nous avons encore à parler. On verra ca plus tard.
Athalante, je t'avoue ne pas avoir gardé de souvenirs de toi. Ma mère m'a parlé de toi. Elle te tenait en estime. Sur les conseils de Bardamu, je tacherai d'oublier ton attachement aux chevaliers de Justice pour te connaitre.
Il y a de la tension ici, ca se sent
Parfait ça ... Parfait »
Même les sbires de Malkiar s’outragèrent de ses crachats mélodieux, oubliant quelques instants de tabasser leurs proies…
J’avançai donc vers Athalante, l’estomac malmené par mon angoisse…
Mon regard balaya les lieux, et aperçut NérOcrO qui, comme à son habitude, sortait d’un passage. Nous échangeâmes quelques mots, après quoi, lui et son groupe s'installèrent confortablement, tel un public attendant le début d’une représentation.
Aerielle fut la première à relever ma présence et à me saluer.
Puis Duron, Athalante, Korgrim. Les autres observaient la scène tout en bataillant avec les bestioles qui s’agitaient sous leurs nez.
La douce athalante me témoigna sa gratitude, pendant que Korgrim fulminait.
Chaque clan guettait l'autre.
Puis, j’aperçus Délia…
-« mmm...La nôtre est plus...Agitée...
Cependant, j'y suis attaché.
Aussi, quelque soit son humeur du jour, tâchez de retenir vos nerfs...Parce qu'elle saura les éprouver, soyez en sûrs. » précisai-je, annonçant ainsi et à demi mots la présence d’Ecate la sulfureuse.
Athalante comprit tout de suite. L’effroi la terrassa.
Korgrim se montra des plus suspicieux, me harcelant de questions. Je décidai de le satisfaire, et contai l’histoire de ma rencontre avec Ecate.
Puis, je gardai le silence, attendant, que la diablesse intervienne. Je savais qu’elle ne résisterait pas.
Sa réponse musclée musela toute l’assemblée :
-« Bardamu, si je t'étais tombée dessus comme tu dis, tu serais aujourd'hui en train de me servir et de ramper à mes pieds. Cela dit, vu ta taille, on n'en est pas si loin. »
Puis, dans un sourire qui déforma ses traits, elle lâcha :
-« Je vois que tu t'es fait rapidement des amis nains et d'autres qui ont toutes les qualités pour en être. Ca promet, déjà que tout seul, tu me donnais des maux de têtes ...
C'est donc cela l'escorte de Délia.
Je constate ma chère que tu n'as pas été plus gatée que moi. »
Son œil luciférien scruta la masse, et nota un détail qui le ravit :
-« Ah si, un peu plus quand même !
C'est donc toi, Korgrim. Nous avons eu quelques échanges. Tu es plus ...hum .... intéressant que ce que j'imaginais. Nous avons encore à parler. On verra ca plus tard.
Athalante, je t'avoue ne pas avoir gardé de souvenirs de toi. Ma mère m'a parlé de toi. Elle te tenait en estime. Sur les conseils de Bardamu, je tacherai d'oublier ton attachement aux chevaliers de Justice pour te connaitre.
Il y a de la tension ici, ca se sent
Parfait ça ... Parfait »
Même les sbires de Malkiar s’outragèrent de ses crachats mélodieux, oubliant quelques instants de tabasser leurs proies…
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Il fallait réagir…Je me dévouai :
-« Bien...Bein...Ecate...As-tu fini ?? »
Silence….
-« Les présentations sont donc faites... »
Puis, approchant mes lèvres des oreilles de la chipie, je l’invitai à cesser son manège :
-« Tu viens d'exhiber ta véhémence et de postillonner ton fiel...
Maintenant, du calme, ok ?? »
Les conversations reprirent dans la « sérénité »…
Korgrim s’afficha en patriarche. Ce qui m’amusa beaucoup, et m’incita à un peu de provocation . Duron se proposa d’arbitrer la joute oratoire à laquelle nous nous adonnions, non sans plaisir, mais ses rires le secouèrent tant que la tâche s’avéra au dessus de ses forces.
Délia était paniquée de se découvrir une sœur si venimeuse alors que Sandria exultait.. .Enfin des petites copines pour jouer…
Quant à Athalante, exaspérée par les mots que Korgrim et moi nous jetions à la figure, elle se glissa entre nous, dans l’espoir de nous calmer…
Je lui offris son anneau. Elles respirait. Enfin…Elle n’eut le temps que d’inspirer, tant ce que je lui demandai alors lui coupa le souffle. Je lui confiai la garde d’Ecate, afin de me délecter de quelques jours de sommeil....
Je la rassurai comme je pus, lui promettant un réveil très prochain.
La totale flippe. Je crus un moment qu’elle allait s’effondrer dans mes bras, ce qui n’aurait pas arranger mes relations naissantes avec son amant…Je priai…Elle contrôla.
Puis, je m’approchai d’Ecate, dissimulant tant bien que mal l’émotion qui me submergeait :
-"Ecate...Nous avons déjà évoqué cette séparation.
Je ne t'abandonne pas...
Athalante prendra soin de toi.
Ne la torture pas et tiens-toi tranquille.
Sandria se propose même d'être ton nouveau jouet^^...
Je reviendrai te chercher Ecate...N'en doute pas."
Je baisai le front de l'effrontée, prêt à quitter les lieux.
Ecate afficha une moue boudeuse…Presque triste. Puis, son oeil pétilla de nouveau, annonçant une crasse… :
-"Mais regardez le comme il est tout triste mon Bardamuchou !
Il se prend maintenant pour une maman poule. T'inquiète ma poulette, ton poussin est entre de bonnes mains ou ne va pas tarder a l'être"
Elle s’avança ensuite vers Korgrim .
Profitant de la stupéfaction de ce dernier, elle passa les bras autour son cou :
-"Dis moi mon grand Korgydounet, tu veux bien me prendre ... dans ton escorte pour un temps ...S'il te plait »
Korgrim était au bord du malaise…
Son tourment semblait tant l’affliger que je lui conseillai de ne pas entrer dans le jeu d’Ecate, lui précisant, non sans malice, que la fillette allait le tester, et qu’il lui fallait se cramponner.
Mais, trop c'est trop, et même le « Valeureux » exhiba son anxiété ...
Son œil me suppliait d’en dire plus…Je cédai, étouffant un éclat de rire:
-« Euh...Ben, tu connais les femmes, non ??
Celle-là *pointe Ecate du doigt* est redoutable...Aucun rapport avec...*pointe Athalante du doigt* »
L’asphyxie le menaçait.
-« Bien...Bien...Reprends-toi là ! Parce que sinon, elle va t'avaler tout cru !
Même si tu perds les pédales, feins la maîtrise, ok ??"dis-je simulant une complicité virile…
Duron se roulait par terre, secoué par une violente crise de rires, alors que Korgydounet se décomposait.
Je l’anbandonnai à son affolement, espérant ma chipie sous bonne garde.
-« Bien...Bein...Ecate...As-tu fini ?? »
Silence….
-« Les présentations sont donc faites... »
Puis, approchant mes lèvres des oreilles de la chipie, je l’invitai à cesser son manège :
-« Tu viens d'exhiber ta véhémence et de postillonner ton fiel...
Maintenant, du calme, ok ?? »
Les conversations reprirent dans la « sérénité »…
Korgrim s’afficha en patriarche. Ce qui m’amusa beaucoup, et m’incita à un peu de provocation . Duron se proposa d’arbitrer la joute oratoire à laquelle nous nous adonnions, non sans plaisir, mais ses rires le secouèrent tant que la tâche s’avéra au dessus de ses forces.
Délia était paniquée de se découvrir une sœur si venimeuse alors que Sandria exultait.. .Enfin des petites copines pour jouer…
Quant à Athalante, exaspérée par les mots que Korgrim et moi nous jetions à la figure, elle se glissa entre nous, dans l’espoir de nous calmer…
Je lui offris son anneau. Elles respirait. Enfin…Elle n’eut le temps que d’inspirer, tant ce que je lui demandai alors lui coupa le souffle. Je lui confiai la garde d’Ecate, afin de me délecter de quelques jours de sommeil....
Je la rassurai comme je pus, lui promettant un réveil très prochain.
La totale flippe. Je crus un moment qu’elle allait s’effondrer dans mes bras, ce qui n’aurait pas arranger mes relations naissantes avec son amant…Je priai…Elle contrôla.
Puis, je m’approchai d’Ecate, dissimulant tant bien que mal l’émotion qui me submergeait :
-"Ecate...Nous avons déjà évoqué cette séparation.
Je ne t'abandonne pas...
Athalante prendra soin de toi.
Ne la torture pas et tiens-toi tranquille.
Sandria se propose même d'être ton nouveau jouet^^...
Je reviendrai te chercher Ecate...N'en doute pas."
Je baisai le front de l'effrontée, prêt à quitter les lieux.
Ecate afficha une moue boudeuse…Presque triste. Puis, son oeil pétilla de nouveau, annonçant une crasse… :
-"Mais regardez le comme il est tout triste mon Bardamuchou !
Il se prend maintenant pour une maman poule. T'inquiète ma poulette, ton poussin est entre de bonnes mains ou ne va pas tarder a l'être"
Elle s’avança ensuite vers Korgrim .
Profitant de la stupéfaction de ce dernier, elle passa les bras autour son cou :
-"Dis moi mon grand Korgydounet, tu veux bien me prendre ... dans ton escorte pour un temps ...S'il te plait »
Korgrim était au bord du malaise…
Son tourment semblait tant l’affliger que je lui conseillai de ne pas entrer dans le jeu d’Ecate, lui précisant, non sans malice, que la fillette allait le tester, et qu’il lui fallait se cramponner.
Mais, trop c'est trop, et même le « Valeureux » exhiba son anxiété ...
Son œil me suppliait d’en dire plus…Je cédai, étouffant un éclat de rire:
-« Euh...Ben, tu connais les femmes, non ??
Celle-là *pointe Ecate du doigt* est redoutable...Aucun rapport avec...*pointe Athalante du doigt* »
L’asphyxie le menaçait.
-« Bien...Bien...Reprends-toi là ! Parce que sinon, elle va t'avaler tout cru !
Même si tu perds les pédales, feins la maîtrise, ok ??"dis-je simulant une complicité virile…
Duron se roulait par terre, secoué par une violente crise de rires, alors que Korgydounet se décomposait.
Je l’anbandonnai à son affolement, espérant ma chipie sous bonne garde.
La Horde Sauvage / Le Fight Club
Belonda s’engouffra la première dans le passage qui venait de s’ouvrir.
Elle reprenait vie. Cette pause papotages l’avait exaspérée.
Elle courait maintenant avec frénésie jusqu’au lieu choisi pour notre retraite.
Une fois sur place, elle stoppa net son pas, et se planta devant moi, mains crispées sur les hanches, alors que son œil noir menaçait le mien :
-« Nous allons faire couche commune…Mais, bas les pattes ! ! ! »
Argh…La déception m’accablait de tout son poids.
Puis, histoire de me mettre définitivement K.O., elle m’affubla d’un taquin « Monseigneur Bardamu »…
-« mmm…Ma belle, tu es bien trop "armurée" pour qu’un seul de mes doigts virils ne parvienne à t’effleurer ! » rétorquai-je.
Elle sourit, espiègle, et s’offrit à mon rival : le sommeil.
Puis, notre attention fut happée par deux problèmes d'importance: Paladhe et Humbert.
Décidés à nous en faire baver, les deux hyperactifs refusaient catégoriquement de s’assoupir.
Celebfin prit Humbert en mains, lui présentant un tonneau empli de son nectar favori.
Le nain s’en délecta jusqu’à la dernière goutte, et s’écroula comme une masse.
Un souci de moins.
Restait Paladhe, dont la nervosité nous alarma particulièrement.
Il voulait trucider tous les monstres qui traînaient dans le coin, grognant bruyamment dans leur direction et dressant deux majeurs rageurs sous leurs nez.
L’engeance Malkiaresque s’en troubla, ne sachant comment appréhender le phénomène.
Bref…Mon poing serré vint s’écraser sur la tête de l’excité le plongeant de force dans un sommeil abyssal.
La « nuit » allait être longue.
Mes pensées ne lâcheraient pas Ecate…
Elle reprenait vie. Cette pause papotages l’avait exaspérée.
Elle courait maintenant avec frénésie jusqu’au lieu choisi pour notre retraite.
Une fois sur place, elle stoppa net son pas, et se planta devant moi, mains crispées sur les hanches, alors que son œil noir menaçait le mien :
-« Nous allons faire couche commune…Mais, bas les pattes ! ! ! »
Argh…La déception m’accablait de tout son poids.
Puis, histoire de me mettre définitivement K.O., elle m’affubla d’un taquin « Monseigneur Bardamu »…
-« mmm…Ma belle, tu es bien trop "armurée" pour qu’un seul de mes doigts virils ne parvienne à t’effleurer ! » rétorquai-je.
Elle sourit, espiègle, et s’offrit à mon rival : le sommeil.
Puis, notre attention fut happée par deux problèmes d'importance: Paladhe et Humbert.
Décidés à nous en faire baver, les deux hyperactifs refusaient catégoriquement de s’assoupir.
Celebfin prit Humbert en mains, lui présentant un tonneau empli de son nectar favori.
Le nain s’en délecta jusqu’à la dernière goutte, et s’écroula comme une masse.
Un souci de moins.
Restait Paladhe, dont la nervosité nous alarma particulièrement.
Il voulait trucider tous les monstres qui traînaient dans le coin, grognant bruyamment dans leur direction et dressant deux majeurs rageurs sous leurs nez.
L’engeance Malkiaresque s’en troubla, ne sachant comment appréhender le phénomène.
Bref…Mon poing serré vint s’écraser sur la tête de l’excité le plongeant de force dans un sommeil abyssal.
La « nuit » allait être longue.
Mes pensées ne lâcheraient pas Ecate…
Dernière modification par bardamu le 22 août 2005 11:03, modifié 1 fois.
La Horde Sauvage / Le Fight Club