Les combats faisaient rage au -1, mes amis et moi même étions couverts de sang de nos ennemis quand je décidai, après avoir tué un morbelin, de m'attaquer à un de leur chef, Osan. Après quelques messages échangés me voila avec une proposition dure à accepter.
Osan, ou devrais-je dire Ochan ( pourquoi ces "ch" il chique du tabac ? ), me proposa un deal. Lui et ses compagnons veulent construire un village après avoir repoussé les Orks. Je réfléchis et trouve bizarre une alliance avec des monstres. Mais pas n'importe quel monstre des monstres opprimés par de l'esclavage que leur ont fais subir les Orks.
Je concerte ma Guilde et finit par trouver un accord et accepte de suivre ces Morbelins mais avec un doute persistant encore dans ma tête. Que ferions-nous s’ils décident de se retourner contre nous une fois la bataille terminée ...
Bref, nous verrons bien et après tous pour quoi ne pas les aider cela pourrait peut être, être un changement d'attitude face à ces monstres qui sont peut être pas si méchant que sa ? ( aaahhh ch’est beau l'innochenche ... ).
De l'aide pour construire un village Morbelin ...
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Sombre Epine
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Sombre Epine
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riton8532az
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Remontés depuis peu aux extérieurs pour accueillir 15, oui vous avez bein entendu, mais je le répète quand même: 15 nouvelles recrues, dans leur guilde si incroyable (:ange:), fX et Bonobo, accompagné de Varroanikt empruntèrent un escalier descendant, désireux de retrouver les Guyldiens du -1. La surprise fut de taille en foulant la dernière marche de l'escalier.
Ce fut d'abord Bonobo qui se cassa un ongle (qu'il venait de vernir) en tombant sur un tas de glaive. Ceux ci, aussi gros que lui, n'appartenaient certainement pas à des Morbelins. Il n'en avait jamais vu de semblables.
"Aïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïï¨-eeeeeeeeeeeeeeeeee!
'tin (pour crotin, NDLR), je viens de me casser un ongleeeeee.
pfffffffffffff.
Non pi c'est quoi ici, heinnnnnnn.
Rhoooooooo.... pi on y voit rien-eeee."
Il saisit un glaive:
"Non mais.C quoi çaaaaa??? Mais c'est énoooooooorme
""
Il se leva, examina son ongle avec une rage, alluma sa torche et se mit vite en chemin.
Sous l'effet du sort magique de Hâte, il se hâta (ben oui normal) d'explorer cet étage. Très vite il fut rejoint par le sombre, ténébreux, froid, austère, rabat-joie, anxieux, déprimé et pessimiste fX, le mage du groupe; Varroa, une des nouvelles recrues, magicien en herbe, et un familier, qui ressemblait plus à un poussin qu'autre chose.
Dans un renfoncement, il trouva un groupe d'aventuriers engagés contre des morbelins et des orcs.
En fait, très vite il constata que les orcs et les morbelins se battaient aussi les uns contre les autres.
"Ma fois...."
Il s'adressa à l'un d'entre eux pour de plus amples renseignements.
Le morbelin lui répondit promptement et diligemment qu'ils (les morbelins) avaient besoin d'aide pour le moment, et qu'il leur expliquerait tout ensuite.
Tout émoustillé, Bonobo sorti sa Labrys, la brendit en l'air et tourna sur lui même, sur la pointe de son pied gauche.
"ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, allons y ma belle c'est l'heure de décapiter.
ah ah ah.... laa laaa lala lala lalalala...."
Il s'élança avec un pas de danseuse dans la mêlée qui ne faisaient déjà presque plus rage: un seul orc, appuyé sur glaive, ne gisait pas encore au sol.
"C'est le moment, finis-le" ordonna fX à son familier.
Il lança alors une série d'incantation et on put voir le familier se transformer une redoutable bête de combat. Enfin, en apparence.
Malgré tout les sorts, ses petites griffes, encore recouvertes de duvet, ne réussire qu'à éponger le sang de l'orc.
":roll: *soupir*...."
Comble d'ironie, Bonobo avait pendant ce temps là ramassé un des fameux glaives d'orc et se retrouvait considérablement alourdi: il regarda fX avec des yeux de martyrs, l'implorant de le débarrasser de cet objet démesurément énorme.
"Je hais ces butins d'orcs", grogna le mage...
Enfin Varroa, à la traîne, était plus ou moins perdu.
Ainsi arriva the Guylde dans la bataille....
Ce fut d'abord Bonobo qui se cassa un ongle (qu'il venait de vernir) en tombant sur un tas de glaive. Ceux ci, aussi gros que lui, n'appartenaient certainement pas à des Morbelins. Il n'en avait jamais vu de semblables.
"Aïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïï¨-eeeeeeeeeeeeeeeeee!
'tin (pour crotin, NDLR), je viens de me casser un ongleeeeee.
pfffffffffffff.
Non pi c'est quoi ici, heinnnnnnn.
Rhoooooooo.... pi on y voit rien-eeee."
Il saisit un glaive:
"Non mais.C quoi çaaaaa??? Mais c'est énoooooooorme
""Il se leva, examina son ongle avec une rage, alluma sa torche et se mit vite en chemin.
Sous l'effet du sort magique de Hâte, il se hâta (ben oui normal) d'explorer cet étage. Très vite il fut rejoint par le sombre, ténébreux, froid, austère, rabat-joie, anxieux, déprimé et pessimiste fX, le mage du groupe; Varroa, une des nouvelles recrues, magicien en herbe, et un familier, qui ressemblait plus à un poussin qu'autre chose.
Dans un renfoncement, il trouva un groupe d'aventuriers engagés contre des morbelins et des orcs.
En fait, très vite il constata que les orcs et les morbelins se battaient aussi les uns contre les autres.
"Ma fois...."
Il s'adressa à l'un d'entre eux pour de plus amples renseignements.
Le morbelin lui répondit promptement et diligemment qu'ils (les morbelins) avaient besoin d'aide pour le moment, et qu'il leur expliquerait tout ensuite.
Tout émoustillé, Bonobo sorti sa Labrys, la brendit en l'air et tourna sur lui même, sur la pointe de son pied gauche.
"ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, allons y ma belle c'est l'heure de décapiter.
ah ah ah.... laa laaa lala lala lalalala...."
Il s'élança avec un pas de danseuse dans la mêlée qui ne faisaient déjà presque plus rage: un seul orc, appuyé sur glaive, ne gisait pas encore au sol.
"C'est le moment, finis-le" ordonna fX à son familier.
Il lança alors une série d'incantation et on put voir le familier se transformer une redoutable bête de combat. Enfin, en apparence.
Malgré tout les sorts, ses petites griffes, encore recouvertes de duvet, ne réussire qu'à éponger le sang de l'orc.
":roll: *soupir*...."
Comble d'ironie, Bonobo avait pendant ce temps là ramassé un des fameux glaives d'orc et se retrouvait considérablement alourdi: il regarda fX avec des yeux de martyrs, l'implorant de le débarrasser de cet objet démesurément énorme.
"Je hais ces butins d'orcs", grogna le mage...
Enfin Varroa, à la traîne, était plus ou moins perdu.
Ainsi arriva the Guylde dans la bataille....
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riton8532az
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Un mois s'était écoulé entre la rencontre avec les Morbelins et la fin tragique de cette histoire.
Outre la mort de quelques familiers (ahh les bons familiers
), et celle de Varroannikt (ahh le bon Varroanikt ), aucune autre victime ne fut à déplorer dans les rangs des aventuriers. Du côté ennemi, les Orks, les élémentaires et les Chauves-Souris tombaient les uns après les autres sous les coup des guerriers.
Un soin par ci, une bénédiction par là, la bataille menait bon train. Les Morbelins, de leur côté, tapotaient les cibles tant bien que mal, mais leur aide, plus symbolique qu'autre chose, était synonyme de courage, et porteuse d'espoir.
Au bout de plusieurs semaines, enfin, les portails se tarrirent et les créatures se faisaient plus rares. Tous voyaient la fin de cette sombre histoire. C'est alors qu'un son de clochette se fit entendre dans les galleries...
Le vieux Osan ne connaissait que trop bien ce son:
"Méffiez vous, ch'est un très maufais chigne vous chavez...Fuyons touch, partons touch d'ichi avant qu'il ne choit trop tard!!!"
Et il ne s'y trompa pas. Dans une gerbe de feu (fffrrrousshhh) et d'étincelles (pch pich frsh) apparut..... le Rédempteur (tsssssssssin!!). Ce démon mineur ne jeta qu'un oeil désintéressé aux aventuriers et s'adressa directement aux Morbelins.
Osan et les autres redoutaient le sort qui les attendait. Une fois de plus n'est pas coutume, le vieux sage du village Morbelin ne s'était pas trompé: le landemain de l'apparition du démon, alors que les autres aventuriers s'étaient réfugiés dans les galleries alentours pour se reposer, un hurlement d'agonie résonna dans les souterrains:
"...Ch'est la fin mes ch'amis...che....che....argh"
Ainsi s'éteignit Osan le sage.
Fous de rage, plusieurs Morbelins se jetèrent sur le démon. Alertés par les bruits, les aventuriers n'arrivèrent que trop tard et ne purent que constater la boucherie. Mais ils étaient prêts à venger leurs amis Morbelins et se jetèrent à leur tour contre le démon, de toute leur force et de tout leur courage.
Les mages incantaient, les guerriers chargeaient et les archers...bandaient.
Les épées, les haches, les sorts et les flèches fusèrent en direction du démon.
"ting, ting, pouic, toc, whof, pshhh"
Tel fut le triste résultat de leur massive attaque. Visiblement immortel pour l'heure, le démon, néanmoins touché, s'édressa aux aventuriers, sans doute impressionné par leur héroïsme, ou intrigué par leur inconscience.
Avec une grosse voix (mais quel démon aurait une voix de fillette?), il leur expliqua qu'il n'était venu que pour punir ces Morbelins, ces "déviants". Il leur lança d'ailleurs un ultimatum: que ceux-ci se rebellent contre les aventuriers qui les avaient aidés, ou qu'ils périssent de la main du démon et soient damnés à jamais.
Les aventuriers, impuissants, redoutaient un autre bain de sang. Ils redoutaient encore plus l'affrontement avec les Morbelins, pour qui ils se battaient jusqu'à présent. C'est alors que les Morbelins, dans leur infinie sagesse, se mirent à frapper les aventuriers. Leur coup étaient en fait plus une incitation à quitter ce lieu sinistre, et on lisait de la rage, de la haine et une profonde tristesse dans leur yeux:
"Partez, allez fous ch'en. Et racontchez che qui vient de che pacher ichi. Chi notre hichtoire tombe dans l'oubli, nos morts auront été vaines. Que le chouvenir d'Ochan puiche guider cheux qui auront de nouveau la forche de che rebeller, et d'achpirer à une vie paichible. Fuyez pauvre fous!"
Les aventuriers, acculés par la situation, écoutèrent les Morbelins et s'en allèrent. un grand nombre d'entre eux aire toujours dans cet étage oublié. Avant de se quitter, ils se sont tous promis de répendre cette histoire autour d'eux, y compris aux Morbelins. Il est désormais de leur ressort que ceux-ci sachent qu'il existe une autre voie que celle de Malkiar. Une ligne télépathique directe, anonyme bein sûr, aurait même été créée pour les Morbelins cherchant de l'aide.
Ainsi s'achève tristement cette histoire. Tout du moins cette partie de l'histoire. Certains disent en effet, que déjà la rumeur d'une rebellion s'est répendue aux extérieurs.
Allez aventuriers intrépides! A votre tour répendez cette histoire autour de vous, et que vive la rebllion morbeline!!!
Outre la mort de quelques familiers (ahh les bons familiers
), et celle de Varroannikt (ahh le bon Varroanikt ), aucune autre victime ne fut à déplorer dans les rangs des aventuriers. Du côté ennemi, les Orks, les élémentaires et les Chauves-Souris tombaient les uns après les autres sous les coup des guerriers.Un soin par ci, une bénédiction par là, la bataille menait bon train. Les Morbelins, de leur côté, tapotaient les cibles tant bien que mal, mais leur aide, plus symbolique qu'autre chose, était synonyme de courage, et porteuse d'espoir.
Au bout de plusieurs semaines, enfin, les portails se tarrirent et les créatures se faisaient plus rares. Tous voyaient la fin de cette sombre histoire. C'est alors qu'un son de clochette se fit entendre dans les galleries...
Le vieux Osan ne connaissait que trop bien ce son:
"Méffiez vous, ch'est un très maufais chigne vous chavez...Fuyons touch, partons touch d'ichi avant qu'il ne choit trop tard!!!"
Et il ne s'y trompa pas. Dans une gerbe de feu (fffrrrousshhh) et d'étincelles (pch pich frsh) apparut..... le Rédempteur (tsssssssssin!!). Ce démon mineur ne jeta qu'un oeil désintéressé aux aventuriers et s'adressa directement aux Morbelins.
Osan et les autres redoutaient le sort qui les attendait. Une fois de plus n'est pas coutume, le vieux sage du village Morbelin ne s'était pas trompé: le landemain de l'apparition du démon, alors que les autres aventuriers s'étaient réfugiés dans les galleries alentours pour se reposer, un hurlement d'agonie résonna dans les souterrains:
"...Ch'est la fin mes ch'amis...che....che....argh"
Ainsi s'éteignit Osan le sage.
Fous de rage, plusieurs Morbelins se jetèrent sur le démon. Alertés par les bruits, les aventuriers n'arrivèrent que trop tard et ne purent que constater la boucherie. Mais ils étaient prêts à venger leurs amis Morbelins et se jetèrent à leur tour contre le démon, de toute leur force et de tout leur courage.
Les mages incantaient, les guerriers chargeaient et les archers...bandaient.
Les épées, les haches, les sorts et les flèches fusèrent en direction du démon.
"ting, ting, pouic, toc, whof, pshhh"
Tel fut le triste résultat de leur massive attaque. Visiblement immortel pour l'heure, le démon, néanmoins touché, s'édressa aux aventuriers, sans doute impressionné par leur héroïsme, ou intrigué par leur inconscience.
Avec une grosse voix (mais quel démon aurait une voix de fillette?), il leur expliqua qu'il n'était venu que pour punir ces Morbelins, ces "déviants". Il leur lança d'ailleurs un ultimatum: que ceux-ci se rebellent contre les aventuriers qui les avaient aidés, ou qu'ils périssent de la main du démon et soient damnés à jamais.
Les aventuriers, impuissants, redoutaient un autre bain de sang. Ils redoutaient encore plus l'affrontement avec les Morbelins, pour qui ils se battaient jusqu'à présent. C'est alors que les Morbelins, dans leur infinie sagesse, se mirent à frapper les aventuriers. Leur coup étaient en fait plus une incitation à quitter ce lieu sinistre, et on lisait de la rage, de la haine et une profonde tristesse dans leur yeux:
"Partez, allez fous ch'en. Et racontchez che qui vient de che pacher ichi. Chi notre hichtoire tombe dans l'oubli, nos morts auront été vaines. Que le chouvenir d'Ochan puiche guider cheux qui auront de nouveau la forche de che rebeller, et d'achpirer à une vie paichible. Fuyez pauvre fous!"
Les aventuriers, acculés par la situation, écoutèrent les Morbelins et s'en allèrent. un grand nombre d'entre eux aire toujours dans cet étage oublié. Avant de se quitter, ils se sont tous promis de répendre cette histoire autour d'eux, y compris aux Morbelins. Il est désormais de leur ressort que ceux-ci sachent qu'il existe une autre voie que celle de Malkiar. Une ligne télépathique directe, anonyme bein sûr, aurait même été créée pour les Morbelins cherchant de l'aide.
Ainsi s'achève tristement cette histoire. Tout du moins cette partie de l'histoire. Certains disent en effet, que déjà la rumeur d'une rebellion s'est répendue aux extérieurs.
Allez aventuriers intrépides! A votre tour répendez cette histoire autour de vous, et que vive la rebllion morbeline!!!
The Guylde: Paint power